consonnes doubles

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Le groupe latin ______ a abouti par assimilation à _____ et puis à _____. La graphie étymologique avec -MN a été conservée dans (L. autumnus) > _____________ (L. damnare) > damner Mais la graphie usuelle -NN a réussi à se maintenir dans (L. solemnis) solemnel > solennel (L. columna) colomne > _____________ La graphie -MN se prononce [n], mais on est revenu peu à peu à une prononciation _______ : hymne, amnistie, calomnie , insomnie

-MN; NN, N; automne; colonne; [mn]

Devant deux _______, les grammairiens étaient d'accord que l'on reconnaissait un E ____________ [ɛ] : terre, serrer, derrière Mais devant le -LL, -TT, -FF, ils ne percevaient pas le même son : ellipse, cuvette, effet Certains entendaient un -E bref, ouvert [ɛ] ou fermé [e] (les deux étant un -E « plein ») Ce -E bref était opposé à -E __________(sourd) et à -E long, noté dans l'ancienne orthographe par un -S diacritique. Finalement, le redoublement des consonnes permettait de noter la prononciation du _____ : adresser, blesser, celle

-RR; ouvert; caduc; [ɛ]

- _____ (ac-, af-, ap-, at-) : addiction, acclamer, affaiblir, apparenter, attendrir - _____ (é-, es-, ef-) : exclamation, essouffler, effeuiller - _____ : mission, missiles, missives, missels - _____ (of-, op-) : officier, offusquer, offrir, opprimer, opposer - _____ (suc-, suf-, sup-) : succomber, successeur, suffixe, suffoquer, supplanter, supplier, supporter

AD; EX; MIS; OC; SUB

Là où le -S n'avait pas été redoublé, la prononciation par ______ s'est généralement imposée : designer (de même origine que dessiner), ____________, etc. Sauf dans les mots comme entresol, vraisemblable où le sens s'est fait sentir dans la composition. La graphie avec un seul -S l'emporte largement dans les ________________ du XXe.s. : désensibiliser, désynchroniser, désolidariser, désophistiquer, et après le préfixe -A _____________ (asocial, asymétrique) - opposition avec A "de _______________" : assermenter, assoupir

[z], résigner; néologismes; négatif; rapprochement

L'Académie en 1694 va simplifier que trois séries de préfixes considérés comme d'origine française : -ad(d) : adosser, ________, __________ -ap(p) : apanage, aplanir, apaiser, apercevoir, hypocras* -at(t) : atermoyer, etc. L'abbé d'Olivet en 1740 va réussir à simplifier les séries -ab(b) : abaisser, ___________, _____________ -ag(g) : agréger, __________, ___________ (contre l'étymologie)

adoubler, adresser; abandonner, abreuver; agrandir, agresser

En fait, il y avait bien pour -NN/-N un système de classification à l'époque, mais qui ne fait plus sens aujourd'hui. Il y avait une double opposition entre : 1- mots récents et mots _____________(qui avaient connu la nasalisation) 2- mots à voyelles toniques et mots à voyelles ____________(dans les formes longues et les dérivés)

anciens; atones

• -S (ss) à la limite préfixe-radical et en composition, deservir/desservir Sur le même modèle que les __________ latines et françaises, le -S du préfixe a été redoublé devant un radical commençant par -S. La double consonne -SS, qu'elle soit étymologique ou analogique, avait deux avantages : elle permettait de noter ∞ la prononciation ___________[s] à l'intervocalique ∞ et celle du -E précédent, ___________ ou légèrement ouvert.

assimilations; sourde; fermé

• Consonnes doubles notant les suffixes diminutifs et autres finales de même type : (-ETE/-ETTE) menote/menotte, (-OLLE/-OLE) clochete/clochette et consonne double ou simple après -E (bourrelier/bourrelier) À la finale des mots, on constate l'existence d'un nombre important de redoublements après les voyelles -E et -O : hirondelle, caillebotte, _____________, lancette, pincette, _______________

carotte, recette

Mais l'introduction de la consonne double a ____________ la prononciation du -E. Pour des mots comme essouffler, essuyer, presser et dessiner, le redoublement signalait que la lettre -E se prononçait en ______. Mais ce qui n'était pas le cas dans les mots ____________, dessus, resserrer, ressentir. Dans les mots radicaux, pour éviter que l'on prononce le -E en [ɛ], le double -SS a été remplacé par le Ç : hamesson > hameçon calesson > caleçon.

compliqué; [ɛ]; dessous

Par contre, la ______________ entre -OTE et -OTTE est très importante (échalotte/échalote). Cette concurrence se voit dans des mots sentis comme ____________ antidote, pilote, pholidote, coyote, zygote, épiglotte, polyglotte, griottes, sciotte Dans les ____________ matelote, idiote, capote, note, cote, décote, despote, anecdote barbote biscotte, bouillotte, cagnotte, barbotte, calotte, roulotte, mascotte, sotte, crotte Mais également dans les dérivés des verbes en -OTER ou les diminutifs petiote, fiérote, loupiote, patriote, paillote menottes, quenotte, poulotte, boulotte, jeunotte

concurrence, savants, féminins

Ce principe aurait dû se généraliser en français contemporain, mais le redoublement a été ___________ ∞ pour certains mots (L. querela > querelle) ∞ et les diminutifs d'origine _________ (itta fém./ittu masc.) : L. pop. ūvitta > luette L. capra > L. capraitta > frq. cheure > _____________

conservé; latine; chevrette

Ces redoublements ont deux caractéristiques : 1- ils ______________ généralement l'étymologie dans les finales des radicaux, comme c'est le cas pour les redoublements notant d'anciennes ___________. 2- Dans les ___________, les redoublements concernant -E et -O suivis de -L ou de -T (-elle, -olle, -ette, -otte). Parce que ces redoublements proviennent de diminutifs issus du latin -ellum, -ettum, -ottum. Au cours des siècles, on va redistribuer des consonnes. Les mots d'emprunt sentis comme tels (on savait qu'ils étaient des emprunts) vont ____________la consonne double (comète, planète, secrète, clientèle, isocèle).

contredisent, nasales; suffixes; perdre

Le son [a], écrit -EN ou -EM, a donné la riche série _____________ en -EMMENT (ardemment, évidemment, avènement, etc.) Le maintien des consonnes doubles finales sert à rappeler graphiquement la formation initiale sur les adjectifs en _________ _____ __________ : prudent = prudemment ; constant = constamment D'autres adverbes en -EMENT (sans doubles consonnes) viennent d'adjectifs qui n'ont pas de terminaison en -ENT/-ANT.

d'adverbes; -ENT ou -ANT

Les quatre principes - étymologique - historique - analogique - phonologique/phonétique se sont donc opposés constamment, d'où les très nombreuses contradictions qui règnent dans le domaine des consonnes doubles, probablement le plus compliqué de toute l'histoire de l'orthographe du français. Trois cas présentent beaucoup _______________

d'hésitation

Les consonnes qui suivent la lettre -E sont devenues un signe ________________, comme dans -enne, -ette, -elle, -otte, -olle. chienne (L. canis) moyenne (L. medianus) recette, belle, menotte, folle [e] > [ɛ] [o] > [ɔ]

d'ouverture

Ainsi, on a eu les mots latins : L. designare > français ____________ L. deservire > français _____________ (-S intervocalique > [s]) + (-E bref et ouvert > [ɛ]) Certains préfixes sans le S ont été rapprochés d'autres finissant en S : ∞ -de rapproché de -dis (desserrer, desservir > dissimuler, dissoudre ∞ -prae rapproché de -pres(us) : pressentir > pressuriser

dessiner; desservir

Le -D _______________ muet servait à l'origine à indiquer que la lettre suivante était un _____ ou un _____. Devant -M, la consonne n'a pas été doublée pour éviter de marquer une nasalisation __________ : _____________, amenuiser, amoindrir, amonceler.

diacritique, -V, -J; absente, amener

Consonnes doubles _______________ Ces consonnes ont joué un rôle très important en français. Elles servaient à noter les voyelles précédentes. C'est pourquoi nous avons en français un triple système de notation du [ɛ], qu'on appelait le ____ __________. Cette voyelle est notée soit :

diacritique; E ouvert

Dans des mots comme becqueter, le groupe consonantique CQU a une valeur ___________ de notation du timbre de la voyelle _______________: blocquer [blɔke] > bloquer Plus tard, on considèrera CQU comme un redoublement [kk], et on ___________ le C : crocquer > croquer, evocquer > évoquer, mocquer > moquer On a gardé le CQU dans le ____________de mots comme grecque dans les mots : acquitter, becqueter

diacritique; précédente; enlève; féminin

Puisque la distinction entre préfixes latins/français était très ____________ à faire pour certains mots, le redoublement s'est conservé dans des mots tels que : accompagner, accoler, accroître, ____________. Devant U et I consonnes (v écrit u; j écrit i), l'habitude a été de _____________ les formes -AD, -AB, aujourd'hui prononcées : abject, abjecte, ____________, adjoindre, adjacent

difficile; affaiblir; conserver, advenir

• Remplacement de la consonne diacritique par la consonne ____________, recepte/recette Au XVIe. siècle, c'est le -S et les consonnes muettes qui signalent que la voyelle est plus ou moins _________(ou longue). Ces consonnes sont remplacées par une consonne double. C'est le cas de : recepte > recette debte > dette dacte > datte iecter > jetter quicter > quitter

double; ouverte

Ces adjectifs étaient issus de la troisième _____________ latine. Ils avaient seulement un genre masculin en ancien français ; ils n'avaient pas un féminin distinct du masculin. Les formes féminines ont été refaites par __________. doux = douce = doucement gentil = gentille = gentiment doux (masculin et féminin) > douce (forme féminine refaite) > doucement

déclinaison; analogie

Suite à la ______________, on aurait dû ___________ une des deux consonnes (année > anée). Mais plusieurs consonnes ___________ ont été gardées, notamment la série en ANN : année anneau annoncer annales. Et peu à peu, la voyelle devant les consonnes doubles a été présentée comme brève.

dénasalisation; supprimer; nasales; brève

Il est souvent même impossible de distinguer s'il s'agit d'une finale de radical ou d'un suffixe : nacelle, variole, carotte. C'est pourquoi il est plus facile de parler de ces consonnes doubles en regroupant radicaux et _____________.

dérivés

Contrairement aux finales en -ETTE/ELLE, nettement senties comme suffixes et qui ont en général _____________ le redoublement, les finales en -OLE, -EROLE sont souvent dans les mots empruntés à ______________: farandole, girandole, bénévole ou au grec/latin : parabole, symbole, boussole, obole, parole. Ils ont perdu la consonne double. Certaines finales en -OLE ont conservé le redoublement ∞ soit à cause de _______________(corolle, colle), ∞ soit à cause de la ____________des féminins d'adjectifs (folle, molle), ∞ soit pour des raisons peu claires (bouterolle, barcarolle, fumerolle, lignerolle)

gardé; l'italien, l'étymologie; notation

Les réformateurs français étaient persuadés que la consonne double était la bonne manière d'orthographier. Ils adoptèrent cette mode de la consonne double, entièrement ________________pour le français. Pour -TT : esclatter/éclater (it. schiattare) escarlatte/écarlate (it. scarlatto) botte (it. botta, terme d'escrime) Pour -PP, on trouve cappe/cape (it. cappa) enveloppe (it. viluppo) développer (it. sviluppare)

graphique

Aujourd'hui, les verbes en -ELER, -ETER qui doublent la consonne sont en ___________ par rapport aux centaines de verbes du type geler/gèle, acheter/achète, céder/cède Ce qui nous amène au __________ de la consonne double diacritique dans les mots d'origine savante, la plupart d'origine grecque : comette > comète, parfois latine : secrette > __________.

minorité; remplacement; secrète

Mais à la limite du préfixe/radical, l'ambiguïté du timbre de -E a persisté, ce qui a renforcé l'option _____________actuelle de la notation par -S simple. Cette option a le mérite de préserver la lecture du radical, mais aussi de pouvoir utiliser en cas de besoin un ____________sur le -É : e. résigner. Toutefois, le son [s] se transforme en _____. résider réserver résister résonner résulter résurrection

morphologique; accent; [z]

• Hésitation consonne double/consonne simple NN/N Les infractions au principe d'alignement dérivatif se rencontrent aussi dans les familles de mots en -ON, -ONNE, -EMME, -OMME : femme/féminin homme/bonhomie patronne/matrone Des infractions se trouvent également dans les finales de ______________en -ONAL, -ONALISME nationalisme, rationalisme, traditionalisme, communisme fonctionnalisme, distributionnalisme, protectionnisme

néologisme

Pour les voyelles nasales, cette notation par alternance _______________(qui contredisait le principe d'alignement dérivatif) était renforcée par le fait que les emprunts récents n'avaient pas connu la nasalisation et par conséquent ils ne présentaient pas de consonnes doubles nasales, d'où les oppositions : honneur/honorer sonner/sonore dissonant/consonante

phonologique

En revanche, les finales des mots ______________, notant plus ou moins nettement un diminutif, prennent et ______________ -TT ou -LL. Pour les autres consonnes et après d'autres voyelles, les redoublements sont _________ ou inexistants, et ceux qui ont existé au XVIe. siècle ont été supprimés (fritte/frite, frippon/fripon) 19 En français contemporain, le sens diminutif est mieux ressenti et le redoublement est plus stable pour le -E que pour le -O. En fait, le -OLLE est assez rare (-ole > banderole).

populaire, conservent; rares

• Hésitation consonne double/consonne simple à l'intérieur des mots (alegre/allègre) et dans les finales (eclatter/éclater) Parmi les mots à consonnes doubles internes non étymologiques, on trouve un bon nombre de mots expressifs et _______________: avec _______ : coppe/coupe, échoppe, échapper, huppe, juppe/jupe, pouppe/poupe avec _____ : attiffer/attifer, bouffer, coiffe, coiffer, couffin, griffe. Plusieurs de ces mots sont des emprunts à l'italien. Au retour des guerres d'Italie, l'italianisation de la Cour de France était à son comble. Et les consonnes doubles étaient très nombreuses en ____________, où elles étaient prononcées.

populaire; -pp; -ff; italien

• Consonnes doubles simplifiées à la limite ________-_________, abbaisser > __________ À l'époque de la Renaissance, les réformateurs ont essayé en vain d'imposer la simplification. On a essayé de distinguer les préfixes latins des préfixes français. Quand la consonne double existait en latin, par exemple -BB, -CC, - DD, -FF, -PP, -TT, on la conservait : abbé, abbaye, accumuler, accommoder, accélérer, addition, affliger, hippocras*, Philippe, opprimer.

préfixe-radicale; abaisser

Consonnes doubles à la limite préfixe-radical En latin, quand le __________ finissait par une consonne et que le radical commençait aussi par une consonne, on a conservé la présence des deux consonnes. Ce redoublement est donc le résultat d'une ancienne ______________. Il a touché un nombre important de mots, notamment les séries formées sur :

préfixe; assimilation

• Alternance verbale entre consonne simple/consonne double dans les verbes en -ELER, -ETER, appeler Cette règle servait à l'origine à distinguer des paradigmes verbaux : la forme du __________ -ELLE et la forme du _________ ELE. Ce n'est que beaucoup plus tard que les grammairiens vont parler du timbre de la voyelle E. ∞ L ou un T suivi d'un E sonore : peler, harceler, étinceler, geler ∞ LL ou TT suivi d'un E muet : pelle*, harcelle*, étincelle, gelle*

présent, passé

Consonnes doubles internes ou finales (devant syllabe muette) Dans la plupart des cas, les consonnes doubles dans les dérivés sont liées à celles des ___________. C'est ce qu'on appelle le principe dérivatif. Il est donc difficile de faire une ________________ entre : ∞ les consonnes doubles dans les finales devant -E caduc des radicaux ∞ les consonnes doubles internes des dérivés.

radicaux; distinction botte > botter enveloppe > enveloppement

Le ______________ consonantique pouvait avoir plusieurs origines : 1- ________________, par notation d'une prononciation qui a par la suite évolué, c'est le cas du -R double correspondant à un -R apical. 2- _________________, par référence à une graphie latine ____________ ou avérée, pour -LL, -TT, -FF, etc. après une réforme érasmienne du latin. 3- __________________: notations du timbre et de la brièveté de la _____________ précédente par une consonne double graphique.

redoublement; phonétique; étymologique, fausse; analogique, voyelle

1- Par une consonne _____________ quelconque prononcée ou muette fermant la _______________(position en syllabe fermée) : berger, bref 2- par un _____________: comète, fidèle, modèle 3- par une consonne ____________, ∞ qui s'est maintenue dans beaucoup de cas avec le même rôle (appeler/appelle) ____________, dette, ∞ dont la fonction était de rappeler tout d'abord la ___________ de la voyelle et ensuite l'ouverture : messager

simple; syllable; accent; double; recette; brieveté

∞ Ces consonnes doubles s'étaient _____________ en ancien français dans la prononciation et dans l'orthographe. ∞ La réforme ___________ du latin a __________ le redoublement dans les écrits en latin. Cet usage s'est étendu aux mots français provenant de préfixes latins, puis, par analogie, ou sous influence de l'italien, aux préfixes de formation française (ex. -A souvent confondu avec - AD)

simplifiées; érasmienne; rétabli

Selon ce système, on écrit ils prennent, ils tiennent, ils viennent avec -NN parce que le siège de l'accent est sur le -E de la syllabe pénultième. On écrit avec un seul -N -nous prenons, nous tenons, nous venons- parce que l'accent est passé sur la dernière _____________. De la même manière, on explique chapelle/chapelain, chandelle/chandelier, ___________/____________, donne/donateur

syllable; homme/homicide

On sait que les voyelles orales suivies d'une consonne nasale se sont nasalisées dès le Xe siècle. Pour marquer cette nasalisation, on inscrivait un ________ au-dessus de la voyelle ou on redoublait la consonne : L. pōma > põme, pomme L'usage des consonnes doubles nasales avait un fondement _____________dans un petit nombre de mots : année (L. annus), grammaire (grec grammatike). Mais cette tendance s'est étendue à de très nombreux mots qui avaient une consonne _________.

tilde; étymologique simple

Cependant, il n'y a pas toujours une analogie entre les radicaux et les dérivés. En effet, une des fonctions des consonnes doubles était l'opposition entre : (1) les voyelles ____________qui étaient brèves en syllabe fermée et qui avaient un timbre plus ____________: jette, appelle, folle, collier, trappe (2) et les voyelles ____________ dans les radicaux et les dérivés en syllabe ouverte (principe de l'alternance vocalique) : jeter, appeler, affoler, accoler, attraper d'où les oppositions [ ə/e = ɛ] et [o = ɔ]

toniques, ouvert; atones

Pendant longtemps, on a hésité entre le critère ____________(un - N/M) et le critère __________(deux -NN/MM) pour noter la consonne nasale. Critère phonologique (L. cōrona) couronne (L. hominem) homme (L. donarer) donner (Fcq. haunjan) honnir (L. honestus) honnête/honorable (L. honorem) honneur/honorer (L. bonus) bonne

étymologique; phonologique


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