Chp2 commerce international - fiches bac
A. Les effets théoriques de court terme induit du commerce international (cours)
*regarder doc 3 p.11* Le surplus du consommateur va augmenter grâce à l'ouverture international et le surplus du producteur va diminuer. Les grands gagnants de l'ouverture international sont les consommateurs, en revanche les grands perdants sont les producteurs nationaux. Le surplus économique total est plus important lorsque l'économie est ouverte à l'ouverture national.
III. Quelles sont les effets du commerce international ? 1. Les effets Induits du commerce international sur les consommateurs et les producteurs 1) expliquer pourquoi la spécialisation selon les avantages comparatifs permet-t-elle des gains de productivité selon Ricardo et une baisse des coûts selon le théorème HOS ? 2) On note trois effets au commerce international : en effet de concurrence, en effet d'apprentissage et un effet de dimension. Rattaché chacun de ses effets ou paragraphes correspondant dans le texte. 3) pourquoi les économies d'échelle liée au commerce international permet-elle de baisser les prix de vente des produits ? 4) qu'est-ce que l'effet de concurrence lié au commerce international ? 5) Comment la diffusion du progrès technique par importation d'ordinateur permet-elle de contribuer à une baisse des coûts de production et des prix dans les pays en développement ?
1)Les pays vont se spécialiser dans la production où sont les meilleurs ou les moins mauvaise, cela veut dire qu'ils vont gagner en productivité, efficacité, si il y a gains de productivité ils peuvent être distribué de trois manières : - baisse des prix - augmentation des investissements de capacité (objectif : augmenter la production donc augmenter les emplois) et investissement de rationalisation (innovation) -augmentation des revenus distribués (salaire/bénéfices) - augmentation des recettes fiscales (va permettre une redistribution qui fait augmenter les revenus sociaux) Les pays se spécialise dans les productions où ils détiennent en abondance relative le plus de facteurs de production. Cela signifie que les producteurs vont pouvoir diminuer leurs coûts de production notamment le coût unitaire de production et le répercuter sur le prix. (Théorème HOS) 2) il existe trois effets lié au Commerce international: -Les faits d'apprentissage : les pays les moins développés apprennent des autres pays en important la technologie des pays les plus développés (c'est une manière d'apprendre des autres), la Chine a de cette façon ou son développement économique et c'est une stratégie de filière. - L'effet de dimension : grâce aux économies d'échelle, car le marché international est plus important que le marché national, cela veut dire que pour un petit pays une entreprise peut accroître sa taille tout en baissant le coût unitaire de production grâce a une extension du marché. - effet de concurrence : la concurrence est bénéfique notamment pour les consommateurs (car il y a diminution des prix, et augmentation des choix) elle permet aussi aux producteurs d'améliorer leurs produits pour gagner des parts de marché et donc c'est favorable à la croissance économique. le fait d'obtenir des économies d'échelle permet aux producteurs de diminuer les prix en conservant et voir même augmenter le profit. En effet, le coût marginal (le coût de la dernière unité produite) diminue. En théorie, le profit est maximum lorsque le prix est égal au coût marginal (optimum de Pareto, prix égal coût marginal) Avec l'extension du marché des producteurs peuvent diminuer leurs prix des produits de haute technologie ce qui permet aux PMD de les acheter et ainsi intégrer la haute technologie en les imitant et entraînant une nouvelle diminution des prix. Cela entraîne une augmentation du pouvoir d'achat (capacité à acheter) Doc2 Selon la loi d'Engel les ménages ayant des revenus qui augmente peuvent accéder à d'autres produits que ceux de nécessité.
B. Effets induits de long terme du commerce international (cours)
REGARDER P.12 SCHÉMA
A. Effet du commerce mondial sur les inégalités entre les pays (cours) b. Rattrapage des pays en développement.
Stratégie de développement : remontée en filière -> vol d'oies sauvage Cette stratégie de développement se base sur le commerce international. Il y a quatre étapes : Première étape : les pays importe des pays développés Deuxième étape : ils vont produire ses produits, substituer les importations Troisième étape : exporter Quatrième étape : délocalisation vers les pays les moins développés Une politique d'éducation est nécessaire à la stratégie d'oies sauvages.
II. La fragmentation de la chaîne de valeur B. Les CVM des pays comparables
• Des pays comparables peuvent être intégré dans une même chaîne de valeur mondiale, entraînant un commerce entre deux pièces détachées. • différents pays aux économies comparables participe ainsi production de l'Airbus A320, un des avions de ligne moyen- courriers le plus vendus au monde. La France, par exemple, produit une partie du fuselage est reçoit des pièces détachées provenant d'Allemagne, du Royaume-Uni et d'Espagne pour l'assemblage final. L'internationalisation des chaînes de valeur consiste à localiser, via des filiales ou l'externalisation, chaque élément de la production dans le pays c'est le produit de manière optimal en fonction de ses avantages comparatifs. Cette internationalisation permet d'optimiser les coûts de production et de se adapter très vite aux changements. Il est également utile de produire là où l'on vend, afin d' être proche de ses clients.
II. Les déterminants de la compétitivité d'un pays B. Des critères sociaux politiques et géographique
• L'économiste américain Paul Krug manne affirme que la compétitivité ne peut être réduit à la productivité, car elle a une dimension politique et sociale. Un pays n'est pas une entreprise. • L'attractivité d'un pays et sa capacité à attirer et à retenir sur son territoire des activités économiques et des facteurs de production (travailleurs et capitaux). • la compétitivité d'un pays peut être alors mesurée par son attractivité. Celle-ci dépend des coûts de production ou du niveau des impôts ; mais aussi de la disponibilité et de la qualité des infrastructures (établissements scolaires, hôpitaux, etc.), de la stabilité politique, de la situation géographique, etc.
I. Les facteurs techniques et politiques B. Le rôle des firmes multinationales (FMN)
• Les différentes phases de production d'un produit étant segmentable, les entreprises cherchent installer leurs unités de production dans différents pays, selon leur attractivité. • les firmes multinationales recours également de plus en plus à l'externalisation : elle renonce alors au contrôle d'une étape de la production au profit de multiples partenaires extérieurs (clients, fournisseurs, etc.) pour se concentrer ainsi sur le cœur de leur activité. • une firme multinationale ou transnationales, est une firme qui possède ou contrôle des unités de production dans plusieurs pays. • cette CVM peut s'inscrire également dans les logiques de glocalisation, consistant à concilier concentration de la production afin de réaliser des économies d'échelle, et adaptation du profit final aux demandes locales. Les sandwiches de l'entreprise McDonald par exemple, s'adapte aux habitudes alimentaires locales.
II. Les modalités de transnationalisation des entreprises A. Les investissements directs à l'étranger
• Les firmes transnationalisent en opérant des investissements directs à l'étranger (IDE). On distingue les investissements qui réside dans le fait de créer de toutes pièces une unité de production dans un pays étranger de ceux qui consistent à acquérir une unité déjà existante.
II. Les déterminants de la compétitivité d'un pays A. La compétitivité des firmes
• Plus les compétitivité prix est hors prix de ces firmes sont élevés, plus les exportations d'un pays sont susceptibles d'être élevées. • cette compétitivité peut être stimuler par des gains de productivité qui réduisent les coûts unitaires de production et procure un revenu qui peut-être rien investi pour innover. • Elle peut être stimuler de différentes autres manières : une baisse de la rénumération du travail du capital qui permet de réduire les coûts de production ; des consommations intermédiaires accessibles à bon marché ; des niveaux d'impôt et de cotisations sociales modéré en comparaison des pays concurrents.
C. Les différences entre les nouvelles théories du commerce international et celle de Ricardo
Dans sa théorie des avantages comparatifs Ricardo insiste sur le fait que c'est parce qu'un pays est plus compétitif dans la fabrication d'un produit qu'il exporte. Dans les nouvelles théories du commerce international développé notamment par Paul Krug manne considère au contraire que c'est surtout en export tant qu'un pays devient plus compétitif. C'est en prenant part au commerce international et en faisant le pari aux échanges internationaux que chaque pays multiplie ses avantages. Cette approche est d'une portée considérable, elle montre que les avantages comparatifs n'ont rien de définitif ni de exclusif. Ils peuvent être choisi voir construit arbitrairement. Un pays peut donc se fabriquer un avantage comparatif en privilégiant une production même si au départ il n'est pas forcément bien noté en facteurs de production pour y parvenir. De plus les nouvelles théories du commerce international considère que les gars du commerce International sont cumulatifs. En définitif, l'ouverture internationale et l'accès à des marchés plus vaste Permettre des rendements d'échelle croissant c'est-à-dire en accédant à démarcher plus vaste. Une entreprise peut mieux tirer partie de sa spécialisation. Les investissements pour améliorer sa compétitivité lui permettre d'écouler sa production auprès de plus de consommateurs. Le principe des rendements d'échelle croissance est simple : l'accroissement de la rentabilité des investissements provient de plusieurs choses : 1- L'existence de nouveaux marchés 2- mise en place de nouvelles techniques de nvx brevets -> baisse des prix et augmentation de la qualité Compétitivité prix : prix bas, qualité moyenne mais augmentation des ventes Compétitivité hors prix : qualité Les rendements croissants mènent un monopole. La taille du marché favorise les entreprises conquérantes et les rendent plus apte à la conquête. Les nouvelles théories du commerce international montre que les échanges sont dans une large mesure-par la recherche d'économies d'échelle plutôt que par les avantages comparatifs. Les marchés internationaux sont en concurrence imparfaite. Selon Paul Krug manne, la priorité des politiques de développement doit être l'ouverture internationale, il montre toutefois que cette libéralisation du commerce doit être encadré par une politique étatique que l'on nomme une politique commerciale stratégique (subvention) Politique commerciale stratégique : subventions Protectionnisme éducateur : protéger les nouvelles entreprises. Une grande partie des échanges se fait entre pays ayant des dotations factoriel proche. Les nouvelles théories du commerce international explique les échanges de produits similaires entre pays proches par une demande de variété de la part des consommateurs et par les économies d'échelle réalisé grâce a la spécialisation. Ce même mécanisme peut conduire les entreprises à localiser les étapes de leur production dans différents pays.
A. D'où vient la compétitivité ? (Cours)
La compétitivité Désigne l'attitude d'un pays à satisfaire la demande (nationalité étrangère) et à faire face a la concurrence, pour mesurer la compétitivité il y a deux approches : -approche exempté de la compétitivité : attractivité du territoire -> Instrument de mesure : IDE, pour être un IDE les agents économiques (entreprises) doivent acheter au moins 10 % du capital social (action) d'une entreprise étrangère. -> flux entrants : entreprise étrangère qui achète ses IDE en France -> flux sortant : entreprise française qui achète les idéaux des entreprises étrangères. -approche ex poste de la compétitivité : performances réalisées par les entreprises à l'exportation -> instrument de mesure : pourcentage de répartition -> exportation du pays/ensemble du commerce mondial X 100 Lorsque les entreprises investissent moins de 10 % du capital social d'une entreprises étrangères, on parle de investissement de portefeuille. Compétitivité c'est la capacité à exporter : -Compétitivité prix -Compétitivité hors prix La compétitivité prix dépend : des coûts de production : - il faut diminuer : les coûts du travail -> salaire, cotisations sociales, salariales, patrimonial - il faut : des coûts du capital -> augmentation des intérêts, productivité - coûts de transport - taux de change : parité entre 2 monnaies - le niveau de la concurrence : plus il y a de la concurrence plus le prix doit baisser, Price taker Les entreprises ne peuvent pas contrôler les coûts de transport et le niveau de la concurrence. En revanche les états peuvent jouer sur le niveau de taux de change en mettant en place des politiques monétaires et/ou en jouant sur les coûts de production : politique budgétaire. L'État met en place des politiques conjoncturelles c'est-à-dire de court terme qui vise la régulation de la situation économique. -> politique monétaire : instrument le taux d'intérêt: -Si le taux des investissements augmente, il y a moins de crédit, moins de monnaie en circulation, l'offre de monnaie est inférieur à la demande de monnaie -si le taux des investissements diminue, il y a plus de crédit, plus de monnaie en circulation, l'offre de monnaie est supérieur à la demande de monnaie, dépréciation monétaire La monnaie forte et positif pour les importations car les importations coûte moins cher. La monnaie faible favorise les exportations car les prix des exportations est plus faible. La Chine pour rester compétitif par rapport aux États-Unis je suis l'évolution de la monnaie américaine : si la monnaie américaine s'apprécie, la monnaie chinoise s'apprécie mais dans une moindre mesure. En revanche lorsque le dollar se déprécie la monnaie chinoise se déprécie encore plus. -> Politique budgétaire : instrument -> budget de l'État ( dépenses + recette) Pour améliorer la compétitivité/production il faut les infrastructures, les bons partenaires (localisation), la qualification de la main-d'œuvre, l'organisation de l'entreprise et le progrès technique. La compétitivité hors prix vient des stratégies des entreprises : qualité des produits, innovations Les stratégies sont déterminés par les environnements : -Économique -fiscal -réglementaire -social des pays. Pour favoriser la compétitivité hors prix il y a trois leviers : - innovation et formation - la montée en gamme - le pôle de compétitivité (relier les acteurs, recherche fondamentale et recherche appliquée) c'est trois leviers sont des politiques structurelles (à long terme). Les politiques structurelles vise à transformer/améliorer l'appareil productif. Les conséquences de la compétitivité sont diverses : - Sur la croissance économique - Sur les créations d'emploi - Sur l'aménagement du territoire Ce sont les bas salaires, les moins qualifiés qui subissent la concurrence des salariés des pays en développement La compétitivité prix et la capacité de produire des biens et des services à des prix inférieur à ceux de ses concurrents. La compétitivité structurelle correspond à la capacité à vendre des biens et des services pour d'autres motifs que leur prix, ainsi le prix n'est pas la seule variable qui rentrent en compte dans la décision d'achat, donc la qualité, l'efficacité du réseau de commercialisation, le sérieux du service, le positionnement de la gamme, l'image de marque ... Il ne faut pas comprendre compétitivité et attractivité qui est mesurée par les IDE entrant dans le pays.
B. La courbe du sourire (cours)
Le cours du sourire décrit la manière dont la valeur ajoutée (richesse créée) se répartie le long des chaînes de valeur. Les étapes les plus créatrice de valeur sont situés en amont et en aval du processus de production. En amont : rechercher développement, la conception/design, et en aval : le service après-vente, le marketing, la publicité. Les étapes les moins créatrice de valeur concerne la production et l'assemblage. Les activités innovante sont localisés dans les pays développés la main-d'œuvre très qualifié. En revanche les métiers d'assemblage sont situés dans les pays en développement qui dispose de manœuvre non qualifiés, abondante et docile. La courbe du sourire se déforme a l'avantage des pays développés depuis les années 1870 plus que la valeur ajoutée tirer des activités en amont et en aval du processus de production et puis j'ai élevé et inversement.
A. Effet du commerce mondial sur les inégalités entre les pays (cours) a. Réduction des inégalités (cours)
Les inégalités sont des différences qui avantage certain et désavantages d'autres. Il existe deux types d'inégalités économiques : -De revenus (flux entrants) -de patrimoine ( épargne -> achat de bien) ouverture nationale permet une réduction des inégalités entre les pays, il y a en effet grâce a L'ouverture internationale une convergence en terme de niveau de vie. La demande de travail émane des entreprises car Plus le salaire réel augmente moins il y a de demande de travail. L'offre de travail émane de la population en âge de travailler et elle augmente quand le salaire augmente. L'ouverture national permet une spécialisation dans les production intensive en main-d'œuvre pour les pays en développement ce qui a pour résultat une augmentation de la demande de travail qui entraîne une augmentation de la quantité de main-d'œuvre et du salaire réel * regarder le graphique Hausse de demande de travail P. 12*
II. Les dotations factorielles A. Le modèle HOS
• Si Ricardo explique les avantages comparatifs par les différences de productivité, le modèle HOS (Heckscher- Ohlin-Samuelson) les explique par des différences de dotations factorielles. • les différences de coûts de production s'explique par l'abondance relative des facteurs de production. Ainsi, si le pétrole est abondant dans un pays, son offre sera importante et donc son prix faible. Il est alors intéressant pour ce pays de se spécialiser dans la production de biens qui requièrent un usage intensif de pétrole, car leur coût de production sera moins élevé qu'ailleurs. les pays doivent se spécialiser dans les productions incorporé dans une forte quantité de facteurs de production qu'elle détiennent en abondance. Elle exporte ses produits et importer les produits qui nécessite des facteurs de production dont elles sont dotées. Les facteurs de production sont : le travail, le capital, la terre Ils prennent l'exemple de la Grande-Bretagne qui penser une production forte en teneur capitale et l'Australie en terre. La Grande-Bretagne va se spécialiser dans les produits à forte teneur en capital comme les produits industriels alors que l'Australie en produits agricoles. L'abondance est relative elle dépend : de la quantité du facteur de production mais aussi du prix du facteur la dotation factoriel correspond à l'importance relative des différents facteurs de production dans les pays participants au commerce international. La théorie HOS enrichit la théorie de David Ricardo introduisant la notion de dotation factoriel : les pays se spécialise dans les productions qui nécessite les facteurs dont ils sont abondamment dotés.
II. La fragmentation de la chaîne de valeur A. L'organisation de la production autour des CVM
• Une chaîne de valeur désigne l'ensemble des activités menées par les entreprises et mettre un produit sur le marché, depuis sa conception jusqu'à sa livraison. ou Correspond à l'ensemble des étapes du processus de production permettant un secteur ou une entreprise d'obtenir un avantage concurrentiel. Ces chaînes de valeur permet de produire la où c'est le plus efficace. • la production s'organise autour de chaîne de valeur mondiale. Différentes activités sont réalisés dans plusieurs pays, au gré des opportunités qu'ils présentent (fiscalité, facteurs de production, etc.). • les activités des CV aime peuvent être réalisés par une seule entreprise, transnationales (commerce intra firme), ou répartis entre plusieurs intervenants. Les chaînes de valeur comprends des activités comme le recherche de la conception, la production, la distribution, marketing, service après-vente et l'appuie au consommateur et ses activités peuvent être dispersées partout dans le monde. Il y a donc une chaîne de valeur mondiale. Chaque entreprise se spécialise donc dans une tâche et donne alors un meilleur rendement que si c'était une entreprise qui les exécuter tous. La chaîne de valeur mondiale se nomme aussi la division internationale du processus productif.
II. Les dotations factorielles B. Des dotations factorielles évolutive
• dans sa théorie du cycle de vie du produit, l'économiste américain R. Vernon montre que les pays avancé technologiquement je spécialise dans des secteurs qui nécessite de haute compétences technologiques pour produire des biens innovants. • Mais des pays moins innovant finissent par acquérir la technologie nécessaire pour produire alors tour accentuant ainsi la concurrence. Les pays de départ finissent à leur part délaissé la production et se tourner vers d'autres biens plus innovant. La demande représentative de Linder : Linder rejette le modèle HOS en constatant l'importance des échanges de produits similaires entre pays riches on parle de commerce intra branche. Pour linder les productions sont dépendante de la demande et les producteurs nationaux produisent d'abord pour le moment leur marché et ensuite ils exportent. La demande est ainsi une demande domestique représentative et c'est elle qui détermine la nature des produits exportés. Comme les pays de même niveau de développement ont des demande représentative identique, les exportations seront les mêmes. Les produits plus sophistiqué sont dans les pays les plus riches comme l'Allemagne et la Corée-du-Sud au niveau des voitures : il y a une différenciation des biens sur la qualité A Vernon élabore une explication des échanges centré sur les caractéristiques de l'offre des produits, les échanges de biens s'explique par les innovations Des pays riches qui créer sans cesse de nouveaux biens, au départ ils sont chers et destinés à leurs marchés nationaux. La croissance de la demande locale stimule la production en grande série ce qui réduit les coûts de production et favorise dans une deuxième étape les exportations vers l'étranger. Une fois le produit banaliser les producteurs délocalisent la production pour bénéficier d'une main-d'œuvre meilleur marché. Les pays riches au départ sont exportateur puis deviennent importateur
I. Les facteurs techniques et politiques A. L'évolution des technologies et le libre-échange
• la baisse des coûts de transport à faciliter la dispersion géographique de la production. • les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) ont faciliter la synchronisation de unité de production dispersés. • L'évolution des techniques de production a permis la décomposition et la stand arisassions les étapes de production qui peuvent être confiée à des unités de production différente, situées dans différents pays. • pour que les composants puisse être transporté puis assembler pour former un produit fini, les pays doivent pratiquer le libre-échange.
I. De la productivité à la compétitivité des firmes A. Définition de la productivité des firmes
• la productivité d'une firme mesure son efficacité productive. Une firme est ainsi plus productive qu'une autre si elle réalise un produit pour un coût plus faible. • la productivité se calcule en divisant une production par ces facteurs de production (travail et capital). On mesure ainsi la productivité du travail en divisant la valeur ajoutée par le nombre de travailleurs mobilisés. La productivité peut aussi être mesuré par la PGF. • différents déterminants peuvent stimuler la productivité des entreprise, notamment le progrès technique, la formation des travailleurs, les économies d'échelle ou encore une augmentation de rénumération qui peut motiver les travailleurs.
I. De la productivité à la compétitivité des firmes B. La simulation par les gains de productivité
• les gains de productivité permettent aux firmes de réduire leurs coûts de production et, conséquemment, leur prix de vente, et ainsi d'augmenter leur compétitivité prix, c'est-à-dire leur capacité à vendre leurs produits à un prix moins élevé que le prix de leur concurrent. • mais la compétitivité ne dépend pas seulement du prix. La qualité d'un produit, son caractère innovant ou les services associés (Service après-vente, garantie, etc.) stimule la compétitivité hors prix (ou structurel) de la firme qui le réalise et sa capacité à gagner des parts de marché sur des concurrents parfois moins cher. • la compétitivité et la capacité à augmenter et maintenir ses ventes de biens et services sur le marché international ou sur le marché national. • les revenus résultant des gains de productivité peuvent être investi en recherche et développement pour améliorer les produits et stimuler la compétitivité hors prix des firmes. *regarder schéma cours « b. Productivité et compétitivité »* La compétitivité d'une entreprise et sa capacité à maintenir ou accroître ses parts de marché dans un environnement concurrentiel. Il est plus difficile de définir la compétitivité d'un pays, qui peut être assimilé à sa capacité à faire croître durablement le niveau de vie de sa population. L'aptitude d'un pays as insérer dans les échanges internationaux (Tarentaise et notamment à exporter) dépend de la compétitivité de ces firmes. Celle-ci comporte une dimension de prix, en partie déterminée par le coût unitaire du travail et donc la productivité, et une dimension hors prix. La compétitivité prix dépend, à côté d'autres coûts, de la comparaison du coût du travail et la productivité du travail, donc du coup salarial unitaire. La capacité d'adaptation à la demande détermine la compétitivité hors prix elle dépend notamment du rythme du progrès technique évalué par la productivité globale des facteurs.
II. Les modalités de transnationalisation des firmes B. Les délocalisations
• lorsque la firme ferme des unités de production dans un pays pour ouvrir des unités de substitution dans d'autres pays, on parle de délocalisation au sens strict. Selon l'INSEE, ce phénomène concerne 5 % des sociétés françaises non financières, principalement pour des raisons de coûts et d'accès à des marchés étrangers. Au sens large, on parle délocalisation lorsqu'une entreprise procède à un IDE. On considère en effet que même si elle ne ferme pas une unité de production, elle prive un pays d'un apport de capitaux au profit d'un autre.
I. L'avantage productif B. La théorie de l'avantage comparatif
• pour Ricardo, ce sont les avantages comparatifs qui justifie le commerce international • L'avantage comparatif est le nom donné à l'analyse de Ricardo démontrant qu'un pays doit se spécialiser dans les secteurs où son avantage en terme de productivité est le plus grand ou son désavantage le plus faible. • Ricardo prend l'exemple d'échanges entre le Portugal et l'Angleterre. Le Portugal a un avantage absolu dans la production de deux biens, le drap et le vin. Selon Smith, le Portugal n'a pas intérêt à importer l'un ou l'autre de ces biens de l'Angleterre, où leur coût de production est plus élevé. • Mais pour Ricardo, le Portugal a sans doute un plus grand avantage dans l'une de ces deux productions, par exemple celle du vin. Ce pays ferait alors un meilleur usage de ses travailleurs en les mobilisant dans la production de vin. Certes les travailleurs du drap sont plus productif au Portugal qu'en Angleterre, mais mobilisés dans le vin, il serait plus productif encore. • Ainsi, l'efficacité de l'économie mondiale augmente si chaque pays se spécialise dans la production pour laquelle il possède le plus grand avantage comparatif. Le commerce international permet donc une baisse des prix qui est favorable à la croissance économique. Le commerce international selon Ricardo est un jeu à somme positive. Pour Ricardo, les conséquences de la socialisation sont toujours positive. Ricardo fut membres du parlement où il a défendu les industriels anglais, il lutte contre les lois sur le blé en 1815, et en 1838 il y a suppression de cette loi. Suppression de la loi -> augmentation importation blé -> diminution de la rente foncière -> augmentation profit * -> augmentation des investissements -> augmentation de la production -> croissance économique -> débouchés insuffisants -> libre-échange. * pour Ricardo la richesse est partagé entre trois classes sociales : - propriétaire foncier : rente qui diminue - industriel/capitaliste : profit - travailleurs : salaire de substitution en diminution Le commerce international peut avoir des conséquences négatives notamment les spécialisation ne sont pas neutre. En effet, l'Inde a connu une désindustrialisation à cause de la colonie du Royaume-Uni : la spécialisation de l'Inde dans le produit agricole et la Grande-Bretagne qui va se spécialiser dans le textile. La théorie de Ricardo est validé et positive avec une terminologie mathématique si et seulement si les pays concernés ont le même niveau de développement autrement il existe un échange inégal, c'est-à-dire que les pays en développement sont souvent exploité par les pays riches comme la Grande-Bretagne avec l'Inde. Le modèle de Ricardo repose sur plusieurs hypothèses : 1 - La mobilité des biens (marchandises) 2 - Immobilité des facteurs de production 3 - les coûts de transport sont égal à zéro (conteneurisation) La théorie développée par David Ricardo au XIXe siècle explique l'échange par les avantages comparatifs, qui repose sur les différences de productivité du travail : chaque pays se réveillerais meilleur, ou moins désavantager pour produire des biens et/ou services et se spécialiserait donc dans leur production.
I. Les économies d'échelle et la différenciation B. La différenciation et la qualité
• pour l'économiste Linder, les producteurs nationaux produisent pour satisfaire les demandeurs locaux ; les exportations ne servant qu'à écouler leurs surplus. Les produits exportés ont une qualité correspondant à la « demande domestique représentative » de leur pays. Les pays comparables s'échange donc des produits comparables. Seul la qualité varie : seuls les pays riches exporte des produits de haut-de-gamme. • chaque consommateur souhaite consommer une variété particulière d'un produit. Dès lors, si cette variété n'est pas disponible dans son pays mais seulement dans un autre, le commerce international demeure l'option qui lui permet d'y accéder Chaque firme est capable d'offrir un produit différent de ce proposé par les entreprises rival on parle alors de concurrence monopolistique. Ainsi le consommateur a plus de choix en écho ouvert ce qui explique le développement du commerce intra branche. Le commerce intra branche correspond à l'exportation/importation de marchandises d'un même secteur d'activité. Le commerce un train branche concerne des pays et ont le même niveau de développement. Les produits sont similaires, souvent ayant le même usage mais pas identique. Les consommateurs ayant des goûts différents peuvent être satisfait grâce a l'ouverture internationale entre autres termes le commerce international permet d'améliorer le bien-être des consommateurs. Il existe deux types de différenciation : Horizontal : même niveau de qualité Vertical : niveau de qualité différente Cette différenciation de produit peut être analysé par la demande représentatif de Linder c'est-à-dire que la différenciation horizontale se base sur des effets de marque, des goûts de consommation. Ces différenciations horizontal repose sur des revenus moyens comparables. En revanche la différenciation verticale repose sur des ménages possédant de revenus différents, on parle de gamme de produits.
I. L'avantage productif A. La théorie de l'avantage absolu
• selon Smith, un pays A possède un avantage absolu dans la production d'un bien s'il lui faut moins de travailleurs qu'un pays B pour produire ce bien. • Le pays B doit alors abandonner sa production et se consacrer à celle pour laquelle il a un avantage absolu. En d'autres termes, il doit se spécialiser dans cette production et acheter les bien qu'il ne produit plus. Smith pars du principe de la division du travail qui correspond à la décomposition du processus productif en tâches simple et rapide à exécuter. Il vaut mieux faire faire que faire lorsque faire coûte plus cher que faire faire.
I. Les économies d'échelle et la différenciation A. Les économies d'échelle
• si la production d'un bien fait l'objet d'économies d'échelle, il est intéressant pour un pays d'en augmenter le volume de production. Chaque unité produit lui coûte ainsi de moins en moins cher. Le pays peut alors accroître sa clientèle locale et conquérir une clientèle étrangère amatrice de production similaire. • les économies d'échelle représente une diminution des coûts unitaires de production du à l'augmentation des quantités produites. • ici, ce ne sont pas les avantages comparatifs qui détermine la spécialisation, mais l'opportunité de réduire les coûts unitaires. Dès lors, des pays possédant des ressources et technologies comparables peuvent échanger entre : chacun se spécialise dans une production faisant l'objet d'économie d'échelle, destiné à des populations locales et étrangère aux caractéristiques comparables. Distinction entre économie d'échelle interne et externe de la firme: Les économies d'échelle interne conduises à la disparition de la concurrence. En effet si les coûts unitaires de production diminue de manière continue lorsque la taille de la ferme augmente elle élimine ses concurrents et le marché attends une situation de monopole. L'ouverture du commerce international conduit à la disparition des firmes les moins efficace et à la diminution des prix. Pour augmenter la taille il y a : - croissance interne : • Faire des investissements - croissance externe : • Fusion : A et B fusionnent en C • absorption : A absorbe B -> A • concentration économique : Concentration horizontale : l'entreprise absorbe ou fusionne avec une entreprise ayant les mêmes activités productives. Concentration verticale : l'entreprise absorbe ou fusionne avec une entreprise en amont ou en aval de son activité productive : soit les fournisseurs ou distributeur dans le but de maîtriser la filière de production. Concentration conglomérale : achat d'une entreprise dans l'activité est totalement différente pour éviter la faillite C'est croissance permettre une position dominante, de fixer les prix, avoir un pouvoir de marché et devenir Price maker. Les économies d'échelle externe à la firme mes internes au secteur d'activité sont compatibles avec la persistance de la concurrence. Puisque le coût unitaire de production diminue avec la croissance du secteur d'activité et non avec celle de la croissance des firmes. Ses économies viennent par exemple du regroupement dans un même lieu de firme vendant le même bien. Exemple entreprise pharmaceutique de Bâle.