Analyse 1
L'intégrale ∫[de 0 à 1] cosh(x²³)dx est strictement inférieure à 2 S14
Faux cosh(x) ≥ 1 ∀x ∈ R donc 1 ≤ cosh(x²³)) ∀x ∈ R Ainsi 2 = ∫[−1,1] 1dx ≤ ∫[−1,1] cosh(x²³)dx (= ~2.02219)
La fonction f(x) = arccot(x) + arccot(1/x) est constante sur R* S12
Faux f(1) = π/2 et f(−1) = − π/2
Si f ∶ R → R est continue et bijective alors f possède un point fixe S10
Faux f(x) = x + 1 est bijective et continue mais elle n'a pas de point fixe
La fonction f(x) = sinh(x²) est impaire S13
Faux f(−x) = sinh((−x)2) = sinh(x2) = f(x), donc paire
La limite lim(x→+∞) 3^x/x¹⁰⁰⁰ vaut 0 S13
Faux lim(x→+∞)3^x/x¹⁰⁰⁰ = +∞ L'exponentielle l'emporte sur la puissance
La fonction f(x) = tan(x) est contractante sur l'intervalle [-(√2)/2, (√2)/2] S11
Faux tan est bornée, 2-limpide mais pas contractante (sa dérivée n'est pas strictement bornée par 1)
La fonction f(x) = (x − π)⁷ + π poss`ede un point fixe dans l'intervalle ]3, 4[ S11
Vrai
Le développement limité d'ordre 4 de cos²(x) en α = 0 vaut 1 − x² + x³/4 + x⁴ ε(x) S12
Vrai
Si f ∶ R → R est continue et impaire alors ∫[de −a→a] f(x)dx = 0 pour tout a ∈ R⁺ S14
Vrai
Si f ∶ |R → |R est continue et vérifie f(x + y) = f(x) + f(y) ∀x, y ∈ |R alors f est |R-linéaire S10
Vrai
Soit (an) une suite convergente de nombres réels. Alors ∀ε > 0, ∃ k ∈ N tel que ∀n ≥ k on a |an+1 − an| ≤ ε
Vrai
Soit f ∶ R → R une fonction continue telle que lim(x→+∞) f(x) − x ≥ 0 et lim(x→−∞) f(x) − x ≤ 0. Alors f possède un point fixe S10
Vrai
Soit p un entier ≥ 1 et une série absolument convergente. Alors la série élevée à la puissance p est aussi absolument convergente
Vrai
Tout polynôme est dérivable une infinité de fois S11
Vrai
Pour tout x, y ∈ R on a ∣cos(x) − cos(y)∣ ≤ ∣x − y∣ S12
Vrai Conséquence de TAF
Toute fonction continue sur [a, b] possède une primitive sur [a, b] S14
Vrai Définition de la primitive
La fonction f(x): sin(1/x), si x ≠ 0 et 0, si x = 0 envoie tout intervalle sur un intervalle S10
Vrai Fonction impaire possède une symétrie axiale avec l'axe oblique = -x
Si f ∶ R→ R vérifie l'inégalité ∣f(x) − f(y)∣ ≤ ∣x − y∣² pour tous x, y ∈ R, alors f est constante S12
Vrai L'inégalité entra^ne que x≠y alors lim(x→y) (|(x)-f(y)|)/(|x-y|) ≤ lim(x→y)|x-y| = 0 et f est constante par conséquence du TAF
La fonction f(x) = e^sin²(x) possède un point stationnaire dans l'intervalle ]π/2, 3π/2[ S12
Vrai Par le théorème de Rolle, on trouve la dérivée f' = 2sin(x)cos(x)e^(sin²(x)) qui s'annule en x = π (∈ ]π/2, 3π/2[)
L'intégrale ∫[de 0 à 1] (du)/(1+√u) est strictement inférieure à 1 S14
Vrai Par le théorème de la moyenne, ∃c ∈ [0, 1] tel que: ∫[0,1] (du)/(√1+u) = (du)/(√1+c) (1 − 0) = (du)/(√1+c) < 1
Si f ∶ |R → |R est continue et vérifie f(q) = 0 ∀q ∈ |Q alors f(x) = 0 pour tout x ∈ |R S10
Vrai Propriété 1 des fonctions continues
Si f ∶ |R → |R est continue et lim(x→+∞) f(x) = −∞ et lim(x→−∞) f(x) = +∞, alors f s'annule S10
Vrai f prend des valeurs positifs et négatifs, donc s'annule forcément
La fonction f(x) = tanh(sinh(x)) est strictement croissante S13
Vrai f ′(x) = cosh cosh 2(sinh (x) (x)) > 0 Donc f est strictement croissante
Si f ∶ R → R est dérivable et périodique alors f′ est périodique S11
Vrai f(x + T) = f(x) f′(x + T) = f′(x), donc bien périodique
Si f est paire et infiniment dérivable alors f^(k)(0) = 0 pour tout k impair S12
Vrai f(−x) = f(x) f ′(x) = −f ′(−x) et donc f ′(0) = 0 De même avec les dérivés d'ordre impair
Si f ∶ R→ R est dérivable et paire alors f′ est impaire S11
Vrai f(−x) = f(x) −f′(−x) = f′(x), donc bien impair
Si f ∶ R→ R est dérivable et impaire alors f′ est paire S11
Vrai f(−x) = −f(x) −f′(−x) = −f′(x) ⇔ f′(−x) = f′(x) donc bien pair
Si f ∶ R → R est 2 fois dérivable et f′′(x) = 0 ∀x ∈ R, alors f est un polynôme de degré ≤ 1 S12
Vrai g(x) = ax (f−g)′(x) = f′(x)−g′(x) = a−a = 0 Donc f-g=b est constante et on a f(x) = b*g(x)
On a lim(x→+∞) arctan(x²) − tanh(x³) = (π − 2)/2 S13
Vrai lim(x→+∞) arctan(x²) − tanh(x³) = lim(x→+∞) arctan(x²) − lim(x→+∞) tanh(x³) = (π/2)− 1 = (π − 2)/2
La fonction e^∣x∣*log3(∣x∣) admet une limite lorsque x→ 0 S13
Vrai lim(x→0) e^x = 1 lim(x→0) log3(|x|) = 0
Si f n'est continue en aucun point, alors f² à la même propriété S9
faaaaux f(x) = -1 si x appartient à IQ et f(x) = 1 si x n'app. pas à IQ pas continue fais f² = f(f(x)) = 1 donc continue
L'équation ∣z∣ = −1 possède une solution dans C S4
faux
La somme d'un rationnel et d'un irrationnel est rationnelle. S3
faux
La suite xn = (−1)^n * n tend vers +∞. S6
faux
Le produit de deux imaginaires purs est imaginaire pur. S4
faux
Si f est injective, alors f⁺ aussi. S8
faux
Si f est une fonction bornée alors lim(x→±∞) f(x) existe et est ≠ ±∞ S9
faux
Si f² est paire, alors f aussi S8
faux
Une suite convergente peut admettre plusieurs limites. S5
faux
Une suite géométrique est toujours de Cauchy S7
faux
Le produit d'un rationnel et d'un irrationnel est rationnel. S3
faux (1 * √2)
La limite supérieure d'une suite existe toujours. S6
faux (si suite pas bornée supremum existe pas)
Si lim(n→∞) xn = 0 et xn ≠ 0 pour tout n. alors (1/xn) tend vers +∞. S6
faux (si xn est >0) xn = (-1)^n / n
Toute suite croissante tend vers +∞. S6
faux (suites croissantes et bornées)
La somme de deux irrationnels est irrationnelle. S3
faux (√2 + (-√2))
Le produit de deux irrationnels est irrationnel. S3
faux (√2 irrationele mais 2 non)
Si lim(x→x₀) f(x) = +∞ et si f(x) ≥ 0 alors lim(x→+∞) √f(x) = +∞ S9
faux On ne peut pas déterminer lim(x→+∞) à partir de lim(x→0)
Si f est injective, alors ∣f∣ aussi. S8
faux dans IR f(x)=x |f(x)| = |x| pas injectif car f(-1) = f(1)
Si f est surjective, alors ∣f∣ aussi S8
faux dans IR f(x)=x |f(x)| = |x| pas surjectif
Si f est surjective, alors f⁺ aussi. S8
faux duuh
Si f² est périodique, alors f aussi. S8
faux f(x) = -1 si x<0 et 1 si x>0 f² est constant donc periodique
Si ∣f∣ est périodique, alors f aussi. S8
faux f(x) = -1 si x<0 et 1 si x>0 |f| est cst donc périodique
Si f⁺ est continue en tout point, alors f aussi est continue en tout point S9
faux f(x) = 0 si x>0 et f(x) =-1 si =<0 pas continue en 0 mais f⁺ oui
Si lim(x→+∞) f(x) = +∞ alors il existe α ∈ R tel que f est croissante sur [α,+∞[. S9
faux f(x) = x −([x]/2) la fonction n'est pas croissante sur les intervalles mais tend vers l'infini .
Si ∣f∣ est continue en tout point, alors f aussi est continue en tout point S9
faux f(x) =-1 si x<0 et f(x) = 1 si x>=0 pas continue en zéro mais valeur absolue oui
Si lim(n→+∞) ∣x(n+4) − xn∣ = 0 alors (xn) est de Cauchy S7
faux on peut prendre xn =√n qui vérifie la condition mais qui est non bornée, donc pas de Cauchy
Une suite divergente tend forcément vers +∞ ou −∞. S6
faux suites bornées et divergentes
Si f est une fonction non bornée alors lim(x→+∞) f(x) = ±∞ . S9
faux x* cos(x) pas bornée et sa limite n'existe pas
Si (xn^2) est de Cauchy alors (xn) est aussi de Cauchy S7
faux xn = (-1)^n
Une suite bornée est toujours convergente. S5
faux xn = (-1)^n
Une suite divergente est forcément non-bornée S5
faux xn = (-1)^n
Une suite qui ne tend pas vers +∞ est bornée. S6
faux xn = (-1)^n
Si une suite tend vers −∞ alors son carré aussi. S6
faux xn = -n
Toute suite décroissante converge. S5
faux xn = -x
Si (xn) est de Cauchy et xn≠0 pour tout n ∈ N, alors (1/xn) est de Cauchy S7
faux xn = 1/(n+1) convergente mais 1/xn = n+1 pas bornée
Si xn > 0 pour tout n ∈ N et (xn) converge vers x, alors x > 0. S5
faux xn = 1/n
La multiplication par i correspond à une rotation d'angle π dans le plan. S4
faux π/2
Si une suite converge alors sa racine aussi. S5
faux en général si suite < 0 impossible. si suite > 0 vrai
L'équation z³ = −1 possède 3 solutions dans C. S4
vrai
La somme de deux nombres imaginaires purs est imaginaire pure. S4
vrai
La somme de deux rationnels est rationnelle. S3
vrai
Le produit de deux rationnels est rationnel. S3
vrai
Pour tout z ∈ C et pour tout n ∈ N on a ∣z^n∣ = ∣z∣^n S4
vrai
Si (xn) est bornée alors toute sous-suite de (xn) est bornée aussi. S5
vrai
Si f est bornée alors f² l'est aussi. S8
vrai
Si f est impaire et lim(x→+∞) f(x) = l ∈ |R alors lim(x→−∞) f(x) = −l. S9
vrai
Si f est paire et lim(x→−∞) f(x) = +∞ alors lim(x→+∞) f(x) = +∞.
vrai
Si f est paire, alors f² aussi S8
vrai
Si f est périodique, alors f² aussi S8
vrai
Si f est périodique, alors ∣f∣ aussi. S8
vrai
Si f² est bornée alors f aussi. S8
vrai
Si une suite tend vers +∞ alors son carré aussi. S6
vrai
Si une suite tend vers +∞ alors toutes ses sous-suites aussi. S6
vrai
Si ∣f∣ est injective, alors f aussi S8
vrai
Une suite de Cauchy est toujours bornée. S7
vrai
Une suite qui est à la fois croissante et décroissante est forcément constante. S6
vrai
Une suite qui vérifie ∣x(n+1)−xn∣ < 10^(−n) pour tout n ∈ N est de Cauchy. S7
vrai Cas particulier du critère
Si une suite converge alors son carré aussi. S5
vrai le produit de 2 suites convergentes est une suite convergente
Si (xn) est de Cauchy alors lim(n→+∞) ∣x(n+k) − xn∣ = 0 pour tout k ∈ N S7
vrai selon def ∣xm − xn∣ < ε on prend m = n+k
Si ∣z∣ = 1 alors z⁻¹ = conjugué de z. S4
vrai |z|=1 alors z*z = |z|² = 1 et dont z⁻¹ = conjugué de z
Si f ∶ R→ R est telle que f(I) est un intervalle, pour tout intervalle I, alors f est continue S10
Faux
Si f ∶ ]a, b[→ R est continue alors f(]a, b[) est un intervalle ouvert S10
Faux Contre-exemple vu en classe
La fonction f(x) = x − [x] envoie tout intervalle sur un intervalle S10
Faux Contre-exemple: I = [ ½ , ¾ ] f(I) = [0, ¹/₃ ] ∪ [ ½ , 1[
Si f a un développement limité d'ordre n en 0 qui est nul pour tout n alors f est nulle S12
Faux Contre-exemple: f(x) = e^(−1/x²) si x ≠ 0 et f(0) = 0.
a, b, c, d ∈ R avec a < b et c < d Si f ∶ [a, b] → [c, d] est une fonction bijective alors f est continue S10
Faux Contre-exemple: [0, 1]→[0, 1] f(x) = x, si 0<x<1 1 si x = 0 0 si x = 1
Si f ∶ [a, b]→ R est telle que f([a, b]) = [a, b] alors f est continue S10
Faux Contre-exemple: f ∶ [0, 1] → R définie par f(x) = x, ∀x ∈]0, 1[ f(0) = 1 f(1) = 0
Si f ∶ [0, 1] → R est continue et telle que f(0) = −1 et f(1) = 1 alors f(½) = 0 S10
Faux Contre-exemple: f ∶ [0, 1] →|R définie par f(x) = 4x − 1 si x ∈ [0, 1/2] f(x) = 1 si x ∈] 1/2, 1[
Si f ∶ I→ R est continue sur I est si I est un intervalle fermé, alors f(I) est un intervalle fermé S10
Faux Contre-exemple: f ∶ [1,+∞[→ [0, 1[ définie par f(x) = 1− 1/x
Si f ∶ I→ R est continue sur I et I est un intervalle ouvert, alors f(I) est un intervalle ouvert S10
Faux Contre-exemple: f ∶] − 1, 2[→ [0, 1] f(x) = 0, si −1 ≤ x < 0 f(x) = x, si 0 ≤ x ≤ 1 f(x) = 1, si 1 < x ≤ 2
a, b ∈ R avec a < b Si f ∶ [a, b] → [a, b] possède un point fixe e ∈ [a, b] alors f est continue en e S10
Faux Contre-exemple: f(x) = 0, si x = 0 et f(x) = si x ≠ 0
Si f ∶ R → R est telle que f² est continue alors f est continue S10
Faux Contre-exemple: f(x) = 1, ∀∈|R* et f(0) = -1
Soit f ∶ [−1, 1]→ R continue. Si ∫[de -1 à 1] f(x)dx = 0 alors f(x) = 0 pour tout x ∈ [−1, 1] S14
Faux Contre-exemple: f(x) = x
Si f ∶ R→ R est bijective et dérivable alors f′ ∶ R→ R est bijective S11
Faux Contre-exemple: f(x) = x³
Si x₀ ∈ R est un point stationnaire de f ∶ R → R alors x₀ est un extremum local de f S11
Faux Contre-exemple: f(x) = x³
Si f ∶ R → R est contractante alors f est dérivable
Faux Contre-exemple: f(x) = ∣x|/2
a, b∈ R avec a < b Si f ∶ [a, b]→ [a, b] est bijective alors f possède un point fixe S10
Faux Contre-exemple: f: [-1,1]→[-1,1] f(x) = -x si -1≤x<0 f8x) = x-1 si 0≤x≤1
Si f ∶ I→ R est continue sur I est si I est un intervalle borné, alors f(I) un intervalle borné S10
Faux Contre-exemple: tan: ]-π/2,π/2[ → |R
Si f ∶ [−1, 1] → R est telle que f(−1) = 1 3 et f(1) = 3 alors il existe c ∈ [−1, 1] tel que f(c) = 1 S10
Faux La fonction n'est pas continue
Si f ∶ [0, 1] → [0, 1] vérifie f(1/n)=1/n et f(1/m)=1/m pour n≠m alors f est contractante sur [0, 1] S11
Faux Par le théorème de Banach, pas contractant car f possède deux points fixes (1/n et 1/m)
Un polynôme de degré 34 possède au moins 33 points stationnaires S12
Faux P³⁴ possède AU PLUS 33 solutions