Contrôle de gestion/finance d'entreprise

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Centre de coût

Groupement de charges en fonction d'un critère particulier tel qu'une période, un atelier, un chantier, un produit, une commande... facilitant le rapprochement des réalisations avec les prévisions. Les centres de coût sont aussi définis comme des centres de responsabilité sans objectif de profit (exemples des centres de dépenses, des centres de chiffre d'affaires et des centres de frais).

Levier operationnel

Il exprime le % de variation (Var) du résultat pour une variation en % du CA. Il mesure la sensibilité du re par rapport aux vtes. LO = Var RT/RT/ Var CA/ CA = MCV/ CV = 1/ IS

Compte de resultat différentiel

Il s'agit d'un compte de resultat faisant apparaître les marges sur coût variable à chaque étape de la production. Cette présentation met l'accent sur les CV. Les CF sont prises globalement. le manager a alors pour objectif de diminuer ses coûts variables (ou augmenter les quantités vendues et ou le prix (voir élasticité )) afin que la marge sur coût variable permette de couvrir les CF (sur lesquelles il n'a pas prise ( du moins à CT)

Centres principaux

Ils contribuent directement à l'act pdve de l'entreprise. Il reçoivent les prestations fournies par les centres auxiliaires. Il peut s'agir de : Centres de gestion des approvisionnements ; Centres de production Centres des études techniques et recherches Centres de distribution...

produits finis

Ils ont terminé la tot du cycle de production

Centres auxiliaires

Ils veillent au bon fonctionnement des centre principaux et des centre de structure. Leurs charges sont répartiesvsur les centre principaux. Il s'agit par exemple de : Centres de gestion du personnel ( embauche, formation, services sociaux..) ;Centres de gestion des bâtiments ( éclairage, hygiène, entretien...) ;Centres de gestion du matériel ( entretien, révision, réparation...) ;Centres des prestations connexes ( transport, reproduction de documents, traitement de l'information...).

masse salariale

L'INSEE définit la masse salariale comme « le cumul des rémunérations brutes des salariés de l'établissement ». Il s'agit du total des rémunérations brutes et des primes versées à tous les salariés d'une entreprise (ou d'un établissement pour les grands comptes). Les avantages en nature n'entrent pas dans la masse salariale.

Imputation rationnelle

L'imputation rationnelle des charges fixes consiste à variabiliser les charges fixes incorporées aux coûts en fonction du niveau de production ou d'activité.

Economie d'échelle

L'économie d'échelle est une expression faisant référence à la baisse du coût d'un produit à l'unité grâce à l'augmentation de la productivité. Pour réaliser des économies d'échelle, l'entreprise devra produire en grande quantité pour réduire le coût unitaire de production.

Élasticité croisée

L'élasticité est croisée lorsque la modification du prix d'un pdt entraîne à la fpis une modification de la demande du pdt et une modification de la demande d'un autre produit. Élasticité demande produit B/prix pdt A = (Var DB/ DB) / Var PA/PA Pour pdts substituables élasticité croisée sup à 0 Pour pdt complèmentaires élasticité inf à 0

Marge de sécurité

La MS représente ble montant du CA qui peut être supprimé par un conjoncture défavorable sans entraîner de perte pour l'entreprise. = CA - SR en qté = Q- SR qté Ce concept peut également être exprimé en % du CA et représente alors l'indice de sécurité, cad la diminution maximum de CA (en %) sans entraîner de perte.

Comptabilité analytique

La comptabilité analytique est un mode de traitement des données financières ayant pour objectif d'expliquer les résultats financiers : la comptabilité généraledonne une vue globale des comptes de l'entreprises ; la comptabilité analytique présente, quant à elle, une vision détaillée de chaque activité. Cette technique permet d'identifier les coûts des différentes fonctions assumées par l'entreprise : production, commercialisation, service après-vente, etc. Elle est propre à chaque entreprise et constitue un système de mesure neutre et objectif. La comptabilité analytique permet également de déterminer les bases d'évaluation de certains éléments du bilan comptable (elle peut servir, par exemple, à évaluer les stocks). Enfin, elle sert de base pour bâtir des prévisions, prévoir des budgets, constater leur réalisation et expliquer les écarts qui en résultent. Elle constitue donc un véritable outil de contrôle budgétaire.

Comptabilité générale

La comptabilité générale est un système d'organisation dans lequel les flux en procomptabilité généralevenance ou à destination de l'entreprise sont identifiés et traduits sur le plan financier dans les comptes de celle-ci. Elle représente un outil permettant, au titre d'une période appelée « exercice comptable » : d'une part de prendre connaissance du patrimoine d'une entité (ce qu'elle possède et ce qu'elle doit),d'autre part de mesurer périodiquement les performances de celle-ci au travers du résultat qu'elle a réalisé sur une période.

Marge commerciale

La marge commerciale correspond à la marge brute pour les entreprises commerciales. Il s'agit donc du prix de vente hors taxe des marchandises vendues moins le coût d'achat des marchandises vendues. Le coût d'achat des marchandises vendues est calculé à partir de l'achat des marchandises et de la variation du stock de marchandises.

CUMP à chaque entrée

(Valeur du stock existant + coût d'achat de l'entrée)/(Quantité du stock existant + Quantité entrée) Toutes les sorties suivant l'entrée sont valorisées à ce CUMP jusqu'à la prochaine entrée et le nouveau calcul du CUMP. Avantages - Suivi précis de l'évolution des prix et des coûts. - Répartition des calculs tout au long de la période. Inconvénients - Nécessite un connaissance précise du coût de l'entrée. - Calculs importants et fréquents, inconvénient résolu par les systèmes d'information.

stock de prdts finis

Avt la distribution , les pdts peuvent ê stockés les entrées st valorisées au ct de production les sorties st valorisées en fonct d'une meth de tenue des sks entrées : à ce qui a été produit sortie : à ce qui a ete vendu: ct de pdtion des pdts vendus (CPPV)

Profitabilité

C est une indication sur le revenu que peut rapporter une ressource au sein d'une entreprise. Lorsque l'on parle de profitabilite, les principaux ratios utilisés sont les svts: le tx de marge= marge dégagée/CA tx de profitabilité= résultat net/ CA

Indicateurs de performance

Ce sont les stars des tableaux de bord. Les indicateurs de performance sont d'excellents outils pour piloter une activité et s'assurer que les équipes produisent leurs efforts dans le même sens. Ils permettent l' alignement entre la stratégie et l'opérationnel. Donc faire en sorte que les actions décidées en comité de direction soient déclinées au niveau de l'ensemble des services au plus près du terrain. Ils présentent d'autres vertus : fixés au niveau individuel et en liaison directe avec les objectifs, ils sont à la base de l'implication des collaborateurs dans leurs missions. Que ce soit pour calculer une prime de performance ou bien favoriser l'avancement de carrière . Ils fournissent en outre une ligne directrice claire et renseignent chacun sur son positionnement par rapport à ses résultats.

Centre operationnelle

Centre d'analyse dont l'unité d'œuvre est physique (heure ouvrier, heure machine, tonne consommée...). Les centres opérationnels peuvent être principaux ou auxiliaires. Coût de l'unité d'œuvre = Coût du centre d'analyse /Nombre d'unités d'œuvre du centre d'analyse

centre de profit

Centre de responsabilité pour lequel a été fixé un objectif de profit ou de marge (atteindre un objectif de profit ou de marge donné, ou maximiser le profit ou la marge). La performance de ce centre étant déterminée par le profit ou la marge dégagée, il est dès lors possible de donner à son responsable toute liberté dans le domaine des prix (dans la mesure toutefois où la fixation des prix n'est pas incompatible avec la stratégie marketing de l'entreprise...) et de l'engagement des coûts (inutilité d'un budget détaillé imposé). Il est clair qu'un centre de profit doit être de préférence en contact avec le marché, ce qui n'élimine pas les cessions d'une partie de ses prestations à d'autres divisions de l'entreprise (ces transactions internes s'effectuant alors à des prix de cessions internes).

En-cours

Certains produits ou certains services peuvent ne pas être achevés en fin de période. Certains d'entre eux sont en-cours de production, en début comme en fin de période. Donc, une partie des charges de la période concernera la fraction des produits qui restent en-cours de fabrication. Ces produits en-cours doivent être évalués afin de déterminer le coût de production des produits achevés qui seront stockés et/ou vendus, qu'il s'agisse de produits intermédiaires ou de produits finis.

Méthodes d'équivalence

Ces méth st fondées sur l'idée que l'on peut évaluer une production de plrs articles en fonction d'un unique article de référence.

Charge directe

Charge dont la consommation est nulle si le produit n'est pas fabriqué. Peut être rattachée sans ambigüité au coût d'un objet (matière première, main d'œuvre directe)

Charge indirecte

Charge qui nécessite un traitement particulier avant de faire l'objet d'une imputation au coût des produits. (Frais d'administration, de recherche, de développement...)

Methode de l'abonnement

Consiste à imputer à la periode utilisée pour le calcul des cts tous les elts concernant cette periode.

DEPS / LIFO

Dernier entré, premier sorti (Last in, First out). Le lot le plus récent en stock sera le premier sorti du stock. Avantages - Contrairement au FIFO : avertissement rapide en période d'inflation. - Stocks finals sous-évalués permet une baisse du résultat et don une baisse des dividendes et des impôts. Permet de répondre au principe de prudence. Inconvénients - Nécessite une identification, une gestion différenciée et la connaissance du coût unitaire de chaque lot.

Indice de sécurité

Diminution maximum du CA en % sans entraîner de perte MS/CA ou MS qté/ Q

Centre d'analyse

Division de l'entreprise, dans laquelle sont regroupées les charges indirectes préalablement à leur imputation aux coûts (PCG 1982) Les centres sont associés à des fonctions de l'entreprise : approvisionnement, atelier 2, administration....

Date de seuil (point mort)

Ds l'hypothèse d'un CA regulier sur l'année , il est possible de determiner la date à laquelle le SR sera atteint.

Chaîne de valeur

Elle désigne la suite des différentes activités qui contribuent à la création de la valeur générée par la production de l'entreprise. Il faut optimiser le rapport valeur (qu'attribue le client )/ le coût.

Charges incorporables

Elts ayant un rapport avec l'activité. Il s'agit des charges correspondant à des facteurs concourant à la production ou à la vente du pdt.

Processus

Ensemble d'activités liées entre elles pour réaliser un objf précis

Méthode ABC

La méthode ABC signifie Activity Based Coasting. C'est un outil d'analyse des coûts par activité. Ce modèle de travail permet de diviser les différentes activités d'une entreprise commerciale pour en analyser les coûts et dégager la rentabilité de chaque référence. Dans la méthode ABC, on réfléchit ainsi : chaque produit ou client consomme des activités qui sont elles-mêmes génératrices de coûts. On va répartir les différentes références en groupes A, B et C. Il s'agit ensuite de faire le lien entre chaque activité et ses charges, puis de dégager un inducteur de coût. Un inducteur de coût est un indice regroupant tous les produits et activités induits par une référence donnée. Cette méthode a l'avantage de permettre une analyse par activité d'une entreprise et de faire ressortir ses points forts et ses points faibles. La méthode ABC est souvent complétée de la méthode ABM (Activity Based Management) qui permet aux managers d'agir ensuite en fonction des points soulevés pour définir objectifs, planification et arbitrages. Les principales étapes de la méthode: l'identificattion des activités l'affectation des ressources aux activités l'utilisation des inducteurs (il s'agit de rechercher les facteurs expliquant le mieux les consommations des ressources (charges) par les activités. le regroupement des activités et le calcul des coûts unitaires des inducteurs le coût unitaire des inducteurs est calculé par le rapport : volume des ressources / nb d'inducteurs (volume de l'inducteur) La determination des coûts de revient complet à base d'activités

Méthode des coûts partiels

La méthode des coûts partiels est une méthode utilisée en contrôle de gestion et en comptabilité analytique. Elle permet de déterminer la marge de chaque produit et sa contribution à la couverture des charges fixes. C'est une des méthodes qui peut être utilisée par l'entreprise pour connaitre la rentabilité de ses produits ou services de manière précise, comme d'autres méthodes comme la méthode ABC, la méthode des coûts complets ou la méthode du target costing.

Production

La production consiste à fabriquer des produits répondant aux besoins des clients. Elle s'effectue à partir d'inputs (marchandises, composants, énergies...) et de facteurs de production (capital et travail). Elle doit répondre à des objectifs de quantité, de qualité et de délai. Elle doit permettre à l'entreprise d'être aussi ou plus compétitive que ses concurrents.

Répartition primaire

La répartition primaire est l'attribution des charges indirectes aux centres principaux ou auxiliaires : Par affectation si l'on dispose de moyens de mesure des consommations de charges par nature pour chaque centre ( la consommation d'électricité mesurée par compteur ) Par répartition si l'on utilise des clés de répartition entre les centres ( consommation d'électricité proportionnellement aux nombres d'ampoules ou aux surfaces..).

Répartition secondaire

La répartition secondaire est la répartition des prestations des centres auxiliaires entre les centres principaux.

structure de coûts

La structure de coûts est une synthèse de l'ensemble des coûts générés par le fonctionnement de votre entreprise. L'idée est de regrouper les dépenses réalisées par nature, par fonction ou par affectation afin de pouvoir proposer aux dirigeants une présentation simple et concrète de la manière dont l'argent à été utilisée sur une période donnée ou pour un objectif défini. On ne parle pas ici de chiffres mais bien de problèmes concrets, qui soulèvent les problématiques suivantes : Qu'achète-t-on et pour combien ? Quelle est la nature de la dépense ? Est-ce qu'elle évolue ? A quoi a-t-elle servie ? Est-elle récurrente ? Fait-elle parti de impôts, des dépenses de fonctionnement ou des achats nécessaire à la production ?...

trésorerie

La trésorerie est un terme économique et comptable désignant les sommes immédiatement mobilisables par une entreprise. La trésorerie correspond à la différence entre les actifs disponibles dont dispose une entreprise, qui regroupe les comptes bancaires créditeurs et les sommes disponibles en caisse, et ses dettes à court terme (achat d'actif, paiement de charges...). En matière de comptabilité, la trésorerie d'une entreprise désigne la différence entre le fonds de roulement et les besoins en fonds de roulement (BFR).

Vente par lot

La vente par lot consiste à vendre plusieurs articles qui sont généralement placés au sein d'un même sur-conditionnement. Dans le cadre d'opérations promotionnelles, le prix unitaire au sein d'un lot est théoriquement inférieur à celui du produit vendu tout seul. Le lot peut être composé de produits identiques ou de produits différents éventuellement complémentaires. Dans le cas de produits différents, on parle de vente jumelée.

seuil de rentabilité

Le SR est le CA pour lequel l'entreprise realise un un résultat nul. Il est également appelé point mort (exprimé en jours) ou CA critique. SR en valeur = CF/taux MCV SR en quantité = CF/mcv unitaire

cash flow

Le cash flow, dont la traduction littérale est flux de liquidités, est un indicateur qui permet de mesurer le flux de trésorerie dont dispose une entreprise. Pour les analystes et les créanciers, il constitue un bon moyen d'appréhender la solvabilité et la pérennité d'une entreprise. C'est également un indicateur permettant de connaître l'aptitude de l'entreprise à financer ses investissements à partir de son exploitation ou encore sa capacité à distribuer des dividendes à ses actionnaires.

Contrôle de gestion

Le contrôle de gestion est une notion anglo-saxonne. Pour aborder la définition du contrôle de gestion, il est donc nécessaire de repartir sur le terme anglais de management control ou de management audit. Le terme anglais de "control" a un sens bien plus riche en anglais (piloter, maîtriser, manager, évaluer) que son équivalent français "contrôler" et, à la différence de ce dernier, n'est pas connoté négativement. Le contrôle de gestion est une discipline qui associe management et comptabilité (le contrôleur de gestion est celui qui établit la comptabilité analytique dans l'entreprise, à la différence de la "comptabilité financière") mais, à la différence de la comptabilité, le contrôle de gestion n'est pas une discipline normée, c'est-à-dire qu'elle ne répond pas à des règles qui s'imposent à tous (comme c'est le cas pour la comptabilité qui répond au droit comptable). En ce sens, le contrôle de gestion est mis en place par l'entreprise dans l'entreprise pour l'entreprise. Chaque entreprise choisit donc ses outils, ses méthodes (notamment de calcul de coûts), sa fréquence de travail, ses propres règles d'évaluation. Au sein de l'entreprise, le contrôle de gestion a essentiellement 2 rôles : Pilotage de la performance Pilotage du changement

Contrôle stratégique

Le contrôle stratégique consiste à mesurer les écarts qui peuvent apparaître entre les objectifs stratégiques définis par les dirigeants et les résultats réels de l'organisation.

Coût cible

Le coût cible (ou target costing) est une méthode d'évaluation des coûts de production qui ne prend en compte que les fonctions qu'attendent les clients d'une entreprise. C'est une méthode de gestion prévisionnelle des coûts mise en œuvre lors de la conception initiale du produit. Le coût est déterminé par les contraintes du marché et par les objectifs de profits de l'entreprise. C'est donc une méthode de comptabilité analytique qui est une méthode préférentielle en marketing.

Coût de revient

Le coût de revient est un terme économique qui équivaut à l'ensemble des coûts supportés par une entreprise pour produire un bien ou un service. Le coût de revient est parfois appelé prix de revient ou prix naturel. Le calcul doit tenir compte à la fois des coûts directs mais aussi des coûts indirects, c'est-à-dire des dépenses qui ne sont pas directement rattachées à la production du produit ou du service (publicité, location de locaux, salaires...).

Coût marginal

Le coût marginal de production est le coût induit par la fabrication d'une unité supplémentaire d'un bien. Dans le domaine de l'économie digitale et des biens numériques, le coût marginal de production est pratiquement nul. Si un logiciel est téléchargé par des clients, son coût de reproduction peut être considéré comme nul.

Flux tendu

Le flux tendu désigne une méthode d'optimisation de la production. Concrètement, il s'agit de réduire à zéro les stocks de matière première et de produits finis pour réduire les coûts et minimiser les délais. Issue du toyotisme, la production en flux tendus'applique majoritairement dans l'industrie.

retour sur investissement

Le retour sur investissement (RSI), aussi appelé aussi ROI (Return on Investment), est un indicateur financier, il permet de mesurer et de comparer le rendement d'un investissement. Généralement, le retour sur investissement se base sur le calcul du ratio bénéfices de l'investissement / coût de l'investissement. Le retour sur investissement est un indicateur essentiel pour choisir entre plusieurs projets et déterminer celui qui rapportera le plus d'argent par rapport aux sommes initiales investies. Le retour sur investissement peut être calculé pour deux types de décisions : Pour les investisseurs, dans le cas d'un choix à faire entre différents produits ou investissements financiers. L'investisseur prendra en compte le retour sur investissement, ainsi que d'autres indicateurs comme par exemple le risque. Au sein d'une entreprise, dans le cas d'un choix entre différents projets. L'entreprise pourra déterminer notamment à partir du retour sur investissement les produits ou projets les plus rentables, à priori ou à posteriori. La formule générale pour calculer le retour sur investissement est la suivante : Retour sur investissement (%) = (gain de l'investissement - coût de l'investissement) / coût de l'investissement.

Résultat analytique

Le résultat analytique est la différence entre les ventes et le coût de revient. Par conséquent, on ne parle pas d'un seul et unique résultat analytique mais de plusieurs puisqu'on peut calculer différents coûts de revient, pour différents produits ou activités. En fait, le résultat analytique global est identique au résultat de la comptabilité générale. La diversité des résultats analytiques est à l'image des différents focus que permet la comptabilité analytique. Formules: Résultat = CA-CV (=MCV) - CF = MCV- CF = Q × mcvu (prix-cvu)-CF =CA× taux de MCV (MCV/CA) - CV L'administration fiscale n'exige pas la production de résultats analytiques. Si le chef d'entreprise décide de le faire, c'est à des fins de gestion et d'aide à la prise de décision. D'ailleurs, le résultat analytique est intimement lié à la structure de l'organisation et aux soldes intermédiaires de gestion. Ainsi, les dirigeants pourront s'appuyer sur les résultats analytiques par produits ou par activités afin de savoir quel produit ou quelle activité est plus rentable que l'autre. Cet outil de gestion est donc un indicateur de performance. Le résultat analytique par la méthode des coûts complets La méthode des coûts complets a pour objectif d'imputer la totalité des charges de l'entreprise à ses produits : à chaque produit correspond ses charges directes et sa quote-part de charges indirectes. Le coût complet d'un produit permet de répondre à la question : combien ce produit me coûte ? Le résultat analytique répond à la question : combien ce produit me fait-il gagner ? Comment retrouver le résultat de la comptabilité générale? Ainsi, pour retrouver le résultat de la comptabilité générale à partir du résultat analytique, on effectuera les retraitements suivants : Résultat analytique + Charges supplétives + Charges non incorporables - Produits supplétifs - Produits non incorporables = Résultat comptabilité générale

résultat net

Le résultat net (aussi appelé résultat net comptable) est le dernier indicateur financier du compte de résultat et des soldes intermédiaires de gestion (SIG). Il figure également dans les capitaux propres du bilan comptable, au passif. Concrètement, il mesure la richesse créée au cours d'une période (généralement l'exercice comptable). Il prend en compte toutes les activités de l'entreprise : activités opérationnelles, activités financières (politique de financement c'est-à-dire endettement et placements) et activités exceptionnelles (ventes de matériel de production, perception de subventions d'investissement...). S'il est supérieur à zéro, on parle de bénéfice net. Dans le cas contraire, c'est une perte nette ou un déficit. Le résultat net a vocation à rémunérer les associés et actionnaires sous forme de dividendes et/ou à être placé en report à nouveau, en réserves ou incorporé au capital. Le résultat net est la somme de trois sous-résultat : le résultat d'exploitation, lerésultat financier et le résultat exceptionnel. Mais il peut faire l'objet d'un calculbeaucoup plus simple puisqu'il représente tout simplement la différence entre les produits et les charges d'une entreprise.

tableau de bord de gestion

Le tableau de bord de gestion est un outil d'évaluation de l'organisation d'une entreprise ou d'une institution constitué de plusieurs indicateurs de sa performance à des moments donnés ou sur des périodes données.

Yield management

Le yield management est une technique marketing et commerciale basée sur une tarification et une offre flexibles qui est utilisée dans les services caractérisés par une forte présence de coûts fixes et par une certaine inertie des capacités proposées ( transport en commun, hôtellerie, ferries, cargos, ...). Utilisée initialement principalement dans le domaine du transport aérien, puis de l'hôtellerie, elle gagne de nombreux autres domaines (voir par exemple la notion de yield management en monétisation publicitaire). Le yield management consiste à maximiser le chiffre d'affaires ou, encore mieux, la marge générée, en jouant principalement sur les combinaisons de variables prix et de taux d'occupation (chambres, sièges d'avion ou de train, place de spectacles, etc.) à l'aide d'une politique de tarification différenciée et dynamique. Dans certains domaines, d'autres paramètres d'offre que le prix peuvent être optimisés et modifiés de manière dynamique (packages, conditions d'annulations, etc.) Dans ce cadre du yield management, les prix les plus bas sont souvent proposés pour des réservations effectuées très en avance ou au contraire à la dernière minute mais cette

capitaux propres

Les capitaux propres sont les ressources financières que possède l'entreprise (hors dette). Une entreprise investit et génère ses propres capitaux pour son fonctionnement mais aussi pour rémunérer ses actionnaires. C'est au passif du bilan comptable que l'on retrouve les capitaux propres. En finance, la notion de capitaux propres symbolise la trésorerie de l'entreprise toujours disponible au sein de celle-ci. On parle de capitaux propres ou fonds propres pour définir tout ce que l'entreprise possède à l'exception de ses dettes. Les capitaux propres constituent une ressource stable pour l'entreprise (l'autre ressource étant l'endettement). La loi oblige les sociétés à détenir un montant minimal de capitaux propres au moins égal à la moitié du capital social, dans le cas contraire l'entreprise doit procéder à une assemblée générale, décider de son sort et soit régulariser sa situation dans les 2 ans soit dissoudre l'entreprise.

Charges fixes

Les charges fixes ne sont pas fonction de l'activité de l'entreprise. Ces charges fixes sont les frais qu'on doit payer régulièrement (mensuellement en général). Les charges fixes sont souvent financées par la marge sur charges variables. Si cela n'est pas le cas, les entreprises doivent chercher à se financer autrement (dette bancaire, apport des actionnaires...) ou réduire les coûts (licenciements, délocalisation...). Pour un chef d'entreprise bien connaitre le niveau de ses charges variables et ses charges fixes est déterminant pour la mise en place de sa politique commerciale, de prix, de commercialisation et de distribution. Car pour chaque entrepreneur qui se respecte, le but c'est d'être rentable. Et l'un des déterminants de cette rentabilité est bel et bien la perception des charges variables et charges fixes supportées par l'entreprise.

Charges variables

Les charges variables, aussi appelées charges opérationnelles ou charges d'activité, sont liées au fonctionnement de l'entreprise et sont fonction du volume d'activité de l'entreprise. Les charges variables sont fonction de l'activité de l'entreprise. Plus l'activité de l'entreprise est importante plus le montant des charges variablesest grand. En effet, un restaurant devra acheter plus de pains pour faire ses sandwichs si le nombre de clients augmentent. Il conviendra donc de déterminer le montant des charges variablesconsommées pour un produit ou un service afin de fixer son prix. Dans ce sens, la détermination des charges variables permettra de déterminer la marge réalisée à la vente par produit ou service. La marge générée permettra de financer les charges fixes.

Coûts complets

Les couts complets est une méthode de calcul avancée permettant de déterminer le coût de revient d'un produit vendu. Les couts complets correspondent à la somme de tous les coûts liés à la fabrication jusqu'à la vente d'un produit. Une détermination pertinente des couts complets est indispensable afin de fixer un prix de vente, permettant d'une part d'être rentable et d'autre part d'analyser la compétitivité du prix déterminé. L'analyse des couts complets, c'est déterminer en quelque sorte si le projet est à envisager ou non.

coûts de production

Les coûts de production (également appelés coûts opératoires) sont les coûts nécessaires pour maintenir en production une usine, une ligne de production ou un équipement donné. Dans une entreprise en bonne santé, la différence entre les revenus (produit des ventes ou d'autres sources) et les coûts de production représente la marge brute.

Unités d'œuvre

Les unités d'œuvre (UO) permettent en comptabilité analytique de répartir des charges indirectesen fonction de critères tel que le volume d'heures utilisé, le volume de chiffres d'affaires, le nombre de salariés... pour les imputer par la suite dans un calcul de coût de revient d'un bien ou d'un service.

Optimum du profit

Lorsqu'une entreprise connait son marché, elle peut se servir de l'élasticité pour déterminer le couple demande/prix qui assure le profit maximum. Il s'agit de determiner mathématiquement la fonction de profit qui dépend du prix de la demande. Dans ce type de pb, on connait généralement : le prix de vente P les qttés vendues D des info permettant de calculer la MCV le mt des CF : F L'élasticité de la dde par rapport au prix e D/P

Marge sur coût variable

MSCV = Chiffre d'affaires - Charges Variables Remarque : Les Charges Variables correspondent aux charges qui varient en fonction de l'activité de l'entreprise (exemple : achat de marchandises ou matières premières)

Méthode des centres d'analyse

Meth de calcul des coûts qui à chq stade du processus industriel et commercial prend en cpte la totalité des charges le concernant. Le modèle des centres d'analyse s'articule autour de deux notions/ concepts de base : - une approche « fonctionnelle » des organisations - une distinction entre charges directes et charges indirectes. Cette approche est adaptée dans le cas : - d'une production peu diversifiée, en grande série. - Dans un environnement technologique et concurrentiel relativement stable. Dans la méthode des centres d'analyse, on considérera l'entreprise comme un enchaînement de fonctions : - d'approvisionnements (coûts d'achats) - de production (coûts de productions) - d'administration, commercialisation, financement (coûts hors productions) NB : le but est d'obtenir un coûts de revient = coût de production + coût hors production Il s'agit d'une approche « classique » (Taylor, Faylor...) Le modèle était assez bien adapté aux entreprises jusqu'aux années 70 environ : - standardisation des produits et production de masse - part importante de charges directes Actuellement, les charges indirectes sont de plus en plus importantes en proportion (ex : les frais de R&D) Les produits sont fabriqués en petite série et diversifiés. Les besoins d'information des entreprises ont donc évolués, la méthode des centres d'analyse n'est pas toujours la plus pertinente.

Methode des coûts variables

Meth qui consiste à ne prendre en cpte que les ch qui varient ds le mm sens que l'act mesurée

Objet de coût

Michel Gervais définit l'objet de coût comme « un élément significatif de l'entreprise pour lequel une mesure du coût est jugée utile. Il peut correspondre à un produit, une commande, un projet, un client, un département, une activité... »

Couts préétablis

On appelle couts préétablis des couts évalués « à priori » c'est à dire avant que les divers événements donnant naissance aux couts aient lieu. Exemple : courant décembre on pourra calculer des couts pour janvier, février... Par contre, les couts de novembre, déjà connus, seront qualifiés de couts réel ou constatés

chiffre d'affaires

Par définition, le chiffre d'affaires d'une entreprise correspond à la somme des ventes effectuées par celle-ci. Il peut être dit HT (hors taxes) ou peut inclure la TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée), auquel cas on parle de chiffre d'affaires TTC (toutes charges comprises). Selon le besoin, il pourra être intéressant d'observer plusieurs indicateurs, basés sur le chiffre d'affaires, qui permettront d'interpréter la performance de l'entreprise. Par exemple : chiffre d'affaire encaissé vs encours clients, la marge brute, l'EBE, chiffre d'affaires par salarié, etc. D'un point de vue financier, cette notion est utilisée à des fins multiples : évaluer sa société évaluer et ou suivre la performance des ventes déterminer ses parts de marchés dans un secteur Voici la formule du calcul du chiffre d'affaires d'une entreprise : CHIFFRE D'AFFAIRES = PRIX DE VENTE * QUANTITÉS VENDUES

Main d'oeuvre directe

Personnes dont l'activité peut être affectée sans calcul intermédiaire, du fait de l'organisation de l'entreprise, à un coût de produit.

PEPS / FIFO

Premier entré, premier sorti / First in, First out. Aussi appelée méthode de l'épuisement des lots. Le lot le plus ancien en stock sera le premier sorti du stock. Avantages - Utile pour les stocks périssables. - Evite que l'entreprise n'augmente son prix de vente dès que les coûts augmentent, c'est la raison de la préconisation par le PCG. Inconvénients - Nécessite une identification, une gestion différenciée et la connaissance du coût unitaire de chaque lot. - Valorise les sorties à des coûts anciens et les stocks finaux à des coûts récents. Pose donc un problème en période d'inflation en surévaluant le résultat d'exploitation, entraînant un risque de versement de dividendes non réels et le paiement d'impôts excessifs. Les coûts sont sous-estimés et l'enregistrement de l'inflation en retard entraîne une constatation tardive de la dégradation du résultat.

Produit complémentaire

Produit dont la consommation ou l'utilisation est liée à celle d'un autre produit. Exemples : des pneumatiques/une automobile, des vidéocassettes /un magnétoscope, des agrafes/une agrafeuse...

Élasticité

Rapport des variation (Var) relatives de deux variables économiques. Elle traduit l'impact de la variation de la variable du dénominateur sur la variable du numérateur. L'élasticité mesure la volatilité d'une variable par rapport à une autre. Élasticité demande (D)/prix (P) = (Var D/ D) / (Var P/ P) Élasticité demande/publicité = (var D/D) / ( Var dép pub/ dep pub) Si L'élasticité est de -2, cela signifie que qd le prix augmente de 1% la demande diminue de 2%. Si élasticité prix inf à 0 : qd le prix augmente la D baisse Si élasticité prix sup à 0 qd le prix augmente la D augmente ( ex les biens de luxe) Autres cas qd elasticite -prix est proche de zero on dit que la D est inelastique cad quelle change peu qd le prix varie ( comme les biens indispensables tels que les oeufs) qd élasticité prix est loin de zero on dit que la D est élastique cad que la D varie bcp qd le prix change

cle de repartion

Règle adoptée pour la répartition des frais d'un centre comptable entre d'autres. Par exemple, les frais d'entretien peuvent être répartis au prorata du volume de production de chaque atelier.

Stock théorique

Stock comptable déterminé d'après les mouvements : Stock Initial + Entrées - Sorties = Stock Final

Bien ou produit substituable

Un bien ou produit substituable est un bien pouvant remplacer ou être remplacé par un autre bien pour répondre à un même besoin. Le caractère substituable de deux types de biens peut être subjectif et variable selon les individus. Maïzena ® est un produit substituable à la farine. Sur certaines distances, le train et l'avion sont des services substituables L'existence de biens ou produits substituables sur un marché introduit une concurrence qu'on qualifie parfois de concurrence indirecte.

budget

Un budget est un document produit annuellement par les entreprises, les administrations ou encore les organisations. Il fait état des recettes et des dépenses prévisionnelles planifiées pour l'exercice à venir. Le budget est un outil incontournable pour les chefs d'entreprise qui l'utilisent à des fins de pilotage, de prévision et de contrôle de leurs activités. Il peut se focaliser sur les recettes et dépenses liées à l'exploitation ou à l'investissement et peut recouvrir un caractère indicatif ou impératif.

Centre de structure

Un centre de structure est un centre d'analyse pour lequel aucune unité d'œuvre physique ne peut être définie. L'imputation aux coûts des produits ou des commandes se fera donc obligatoirement au moyen d'une clé de répartition adéquate. En l'absence d'unité d'œuvre, on calcule un taux de frais en fonction d'une base exprimée en euros. Taux de frais = Coût du centre d'analyse /Base de répartition en euros Exemple Soit un centre « administration générale » dont on souhaite répartir les charges entre les coûts de revient proportionnellement aux coûts de production des produits vendus. Dans ce cas on aura : Taux de frais = Coût du centre administration générale/Somme des coûts de production des produits vendus

Subventionnements croisés

Un choix non pertinent d'unité d'œuvre peut conduire à une mauvaise répartition des charges et à sous estimer le coût d'un produit au détriment d'un autre produit dont le coût sera surestimé d'autant. Si dans un atelier utilisateur de main d'œuvre et de machines la répartition se fait en fonction des heures de main d'œuvre, le ou les produits consommateurs de peu d'heures de main d'œuvre mais de beaucoup de temps de machines seront subventionnés par le ou les produits qui se trouvent dans la situation inverse. De même, pendant longtemps dans le secteur automobile les grandes séries subventionnaient les petites, car la répartition des charges se faisait essentiellement sur des critères volumiques sans tenir compte ou insuffisamment compte des coûts induits par le nombre et la taille des séries. Ces phénomènes demeurent importants et altèrent la crédibilité des coûts calculés.

Coût caché

Un coût caché peut être défini comme n'ayant pas d'existence dans le système d'information de l'entreprise. Ainsi, on ne le trouvera ni au sein des écritures comptables, ni dans les tableaux de bord. En revanche, un coût visible apparaît dans la comptabilité (financière et/ou de gestion) de l'entreprise. Un coût caché est provoqué par un élément connu (exemples : délai d'attente entre lots de fabrication, défaut de fabrication, file d'attente au guichet, etc.). Les charges qu'il engendre ne sont pas isolées par le calcul, mais diluées dans les différentes écritures comptables de l'entreprise et agrégées à un autre coût de l'entreprise (coût de production, coût indirect lié aux heures d'ouverture

Coûts standarts

Un coût standard est une variété de coût prévisionnel établis au moyen d'une analyse technique. Les coûts standards permettent de démêler, dans l'écart éventuel entre le coût prévu et le coût effectif, ce qui provient d'une variation de prix (d'origine externe à l'entreprise) et ce qui provient d'une variation de rendement (d'origine interne à l'entreprise).

Goulot d'étranglement

Un goulot d'étranglement est une difficulté d'une partie de la chaîne de production à répondre le plus rapidement possible à une hausse de la demande. C'est donc un point du système productif qui limite les performances globales du-dit système. Par exemple, un processus de production (non défini) comprend 4 étapes mais pour la troisième étape, l'entreprise utilise des machines très vieilles et peu efficaces. Lors d'une hausse de la demande, toutes les machines des étapes 1,2 et 4 sont capables de suivre cette hausse mais les vieilles machines de l'étape 3 sont incapables de produire plus. Ainsi, dans ce système productif, ce sont ces machines de l'étape 3 qui constituent le goulot d'étranglement.

Investissement de capacité/de productivité

Un investissement de capacité a pour but principal d'augmenter la production: cela consiste à accroître le capital technique disponible pour produire (machines, véhicules...). Un tel investissement s'accompagne en général d'embauches. Par opposition, un investissement de productivité vise à augmenter la productivité du travail, c'est-à-dire à produire plus avec le même nombre d'heures de travail, ou à produire autant avec moins de personnel. Voir "investissement", "taux d'utilisation des capacités de production

Activité

Une activité est un ensemble de tâches élémentaires enchaînées et liées entre elles pour réaliser un objectif précis.

Inducteur

Unité de mesure de l'activité, utilisée dans la méthode des coûts basés sur les activités (ABC), permettant d'attribuer la consommation de ressources de l'activité aux produits et services de l'entreprise. Par exemple, le nombre de commandes pour mesurer l'activité du service achat.

prix de vente

Valeur d'un produit ou d'un service à la vente ou à l'achat. Pour calculer ton prix de vente Hors Taxes, voici la formule : coût de revient HT + marge commerciale. Exemple : si cela te coûte 25 Euros d'acheter un produit, et que tu souhaite gagner 9 Euros de gains sur la vente, il te faut alors le vendre 32 Euros.

Référence de produit

Variété de produit vendue par un distributeur et possédant une ou plusieurs caractéristiques distinctives par rapport aux autres produits qu'il vend. Exemple : le chocolat Nestlé au lait et aux noisettes, vendu par lots de trois tablettes de 100 g.

charges non incorporables

ch sans rapport direct avec l'act, ch d'exploitation à caract non récurrent, ch qui n'ont pas le caract de ch. Les charges non incorporables sont des charges non attribuables à une activité telles que des contraventions, certains frais de réceptions ou des moins-values de cession.

charges supplétives

charges qui ne st pas enregistrées com ch en cpta gle (rem theo des capitaux propres, rem du travail de l'exploitant). mais prise en cpte pour le calcul des cts. Les charges supplétives sont des charges fictives que l'on ne retrouve pas dans la comptabilité générale mais que l'on comptabilise en comptabilité analytique. Par exemple, cela peut être le coût de la sous-activité, le coût d'heures supplémentaires prévues ou bien le salaire d'un gérant. Le but est de transcrire une réalité et de pouvoir comparer des résultats sur un périmètre constant.

charges d'usage

correspond à l'AMT eco des biens. Elle differe de l'Amt portéeen cpta gle qui obéit svt des règles fiscale.

produits intermediaires

ils ont terminé une partie du cycle de production

coût complet (méthode des centres d'analyse)

methbde calcul des cts qui à chq stade du processus industriel et commercial prend en cpte la totalitendes ch le concernant. L'évaluation des coûts complets permet d'affiner sa connaissance du prix de revient d'un produit ou d'un service. Cette étape est incontournable pour fixer un prix de vente en connaissance de cause. Cette méthode fait appel à de nombreuses notions : les différents types de charges (charges directes, indirectes, les charges supplétives, non incorporables, incorporées, les centres d'analyse, les unités d'œuvre). hiérarchie et les principales étapes du calcul des coûts complets : ct des approvisionnements la fiche de stk des matières ou march le ct de production la fiche de stk des PF le ct de revient des pdts vendus Pour chaque étape les frais directs et indirects sont pris en compte. Une des difficulté de la comptabilité analytique est de répartir les charges indirectes . La méthode d'analyse par centre d'activité permet de les affecter finement. Elle s'appuie sur des clés de répartition. D'autres méthodes d'affectation existent : l'analyse par produit, par fonction, par commande... Le choix de l'approche se fait en fonction des caractéristiques de la structure étudiée.

rebuts

pdts non conformes

Stock réel

stock physique évalué par inventaire.

déchets

élts résultant de la production.


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