Eco-ethologie

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25. Le simple fait de savoir que mâles et femelles d'une certaine espèce sont très différents en taille et/ou ornements vous permet de poser certaines hypothèses sur le comportement des deux sexes. Lesquelles? Pourquoi? Chez les hominidés, discutez les prédictions que vous tirez du fait que les hommes actuels sont seulement un peu plus grands que les femmes, alors que les australopithèques mâles étaient bien plus grands que les femelles.

Darwin : avait constaté lien entre dimorphisme sexuel (≠ M - F) et polygynie. Espèces où M sont vivement colorés, de grde stature v dangereusement armés sont plus souvent polygynes (dc ceci corresp aux situations v la compét ê + vive () M) P/ contre : expèces v M ^ F sont semblables sont le + souvent monogames. o Ex chez pinnipèdes : corrélation claire entre dimorphisme de taille corporelle et nb de F dans harem du M. o Pour ê humains : on peut constater qu'ils sont légèrement dimorphiques, M étant un peu + grd ^ lourd que F. On peut dc supposer s/ base de ce simple critère, une légère tendance à la polygynie chez l'humain. • On peut donc supposer que chez les australopithèques, polygynie était plus prononcée ^ que pdt sont évolution H ê devenu plutôt monogame

28. Comment comprendre l'infanticide par les mères dans certaines peuplades humaines? Rapportez à ce que vous savez de l'animal. En quoi ceci est-il lié à la manipulation de la sex ratio par les femelles de cerfs en fonction de leur statut hiérarchique?

Difficile à comprendre infanticide p/ mère o Ex peuple Ayoreo : ethnie frontière Bolivie/Paraguay ; agriculture brûlis s/ moitié de l'année et récolte nomade l'autre moitié. Tribu basée s/ structure matrilinéaire ^ s/ lignées des sœurs (H s'en va habiter ds famille de sa F). Mariages sont arrangés p/ principaux intéressés eux-mê. Il n'y a pas de polygynie, mais typiquement une série de cohabitations temporaires et d'aventures impliquant ≠ partenaires avant le mariage effectif. o Au moment de la naissance d'un bb : la mère se rend dans les bois w/ d'autres F. (sol ê rembourré là où le bb va naître car naissance se fait sans qu'on touche bb) ; à côté on creuse un trou. Lorsque bb naît, s'il ê désiré, les F coupent le cordon et lavent bb ; si pas désiré : bb ê poussé à l'aide d'un bâton dans le trou creusé et celui-ci ê refermé. Il ê courant qu'une F, au cours de ses premières unions, ait ainsi enterré plusieurs enfants. Raisons principales de la décision de ne pas garder un bébé : o Pas de soutient paternel o Malformations constatées o Naissance de jumeaux o Arrivée d'un second bb trop tôt surchargerait la mère et mettrait en danger la survie de l'aîné. Ex pour comprendre : lorsque situation ê désespérée (attaque du nid p/ coléoptères qui le détruisent et mangent les larves), guêpes polistes mangent leurs propres larves avant qu'elles soient dévorées. Ceci corresp : à une attribution optimalisée des ressources (en clair, réduire les dégâts autant que possible, en récupérant sous forme énergétique une partie de l'investissement parental, qui servira pour la prochaine tentative de reproduction - p.ex. /s forme d'énergie pour reconstruire un nid)

10. Chez l'être humain, l'identité de genre et les rôles de genre sont-ils uniquement une construction sociale, ou alors uniquement d'origine biologique, ou encore un mélange des deux? Donnez des arguments théoriques et empiriques.

Genre : p/ opposition au concept de sexe, fait réf aux aspects non-physiologiques de l'identification d'un individu id étant mâle v femelle. => produit de consrtuits culturels subjectifs en cste variation en f(x) du temps Identité de genre : se réfère en sociologie au genre auquel une personne appartient. Est le penchant personnel et individuel des rôles de genre. Elle relève de l'expérience privée, de la perception et de la réflexion d'un individu s/ sa propre identification v catégorisation en tant que mâle v femelle. Identité de rôle : se réfère aux rôles que la société attribue aux hommes et aux femmes s/ une base différentielle. C'est en fait ce qui ê consid id approprié à un sexe donné s/ le plan des relations, traits de perso, attitudes, compo, valeurs, pouvoir et influences sociales. Aujd, on affirme encore que si garçons préf jouer w/ camion et filles w/ poupée, cela tient à des facteurs culturels uniquement : influence des modèles parentaux ^ stéréotypes sociaux notamment. Mais n'ê pas question ici de minimiser l'effet des modèles environnementaux s/ dév du compo. o ce n'ê pas parce qu'on reconnaît l'influence massive de l'environnement socio-culturel qu'on ê amené à nier l'existence probable de colorations biologiques s/ l'identité sexuelle et les rôles de genre : Il n'y a pas d'incompatibilité entre ces deux hypothèses. Société véhicule img ^ modèles qui vont certainement influencer le compo, puis il n'y a aucune raison de supposer que l'héritage biologique, lié aux mécanismes comportementaux qui ont assuré la survie et la reproduction optimale de nos ancêtres, n'ait plus aucune influence, puisque mécanismes d'apprentissage ^ mécanismes instinctifs cohabitent depuis tjr, id montre règne animal. Biologie : expérience de l'apparition précoce du jeu « genré » o Enfants de 9-32 mois testés réaction devant ≠ jouets. o Résultats : plus petits montrent intérêt différencié pour les jouets genrés, cette différence se maintenant chez les enfants plus âgés. o Keske ça dit : apparition précoce de ces préférences laisse supposer, selon les auteurs, qu'elles apparaissent avant la socialisation et ne dépendent pas seulement d'une connaissance s/ les catégories de genre, mais reflètent une part d'héritage biologique. Cette supposition ê également soutenue p/ des travaux s/ les singes vervets. (expérience qui montre que singes vervets mâles sont plus attirés aux voitures et femelles attirées par les poupées)

33. Explicitez l'articulation entre Fixed Action Patterns, Stimuli Signaux, et Mécanisme Inné de Déclenchement. Que manque-t-il pour expliquer le comportement si on ne considère que ces trois éléments? Illustrez.

Les oiseaux, + que les mammi, présentent compo très rigides (intelligence + spécialisée ^ moins souple, w/ davantage de compo stéréotypés). Insectes aussi montrent compo rigides. Contrôle d'un comportement peut ê conceptualisé p/ aspect moteur, perceptif et fimalement aux mécanismes organisateurs => MID • Aspect moteur : FAP => séquences fixes de contractions musculaires arrangées temporellement et spatialement qui produisent des patrons de mouvement biologiquement appropriés. o FAP : sont déclenchés p/ stimuli externes spécifiques, mais leur déroulement n'en ê plus dépendant. Leur forme ê stéréotypée, la cste de forme ê propre à toute espèce, on parle d'invariant spécifique. o Cette constance laisse supposer un contrôle génétique (inné). Ne nécessitent pas de feedback, mais peuvent ê liés à des mouv d'ajustement v d'orientation, qui eux, dépendent d'un ctrl continu p/ le stimulus o Seuil de déclenchement du FAP : s'abaisse entre deux actes (Fact int + ext = stimuli) = double quantification o si les facteurs internes sont trop élevés : FAP peut se réaliser à vide, ce qui le différencie du réflexe qui ne peut pas se déclencher sans stimulation o Ex. compo de cour du canard colvert : séquence de mouv très stéréotypés ^ identique d'une fois à l'autre et d'un individu à l'autre. o Ex. chant des grillons : frottent leurs élytres de manière rythmique o Ex. piqûre abeille : dard qui reste dans la victime et qui continue de se'enfoncer en injectant du venin o Ex. humain : bâillement (qui ê également son propre stimulus signal) Marche automatique chez bb jusqu'à 1 mois Salut p/ haussement des sourcils qui se retrouve dans toutes les cultures • Aspect perceptif : stimuli signaux => aspects d'une configuration perceptive intégrale qui provoquent une réponse (v classe de réponses) spécifique chez le récepteur. Peuvent ê liés à la communication o Ex : bâillement, acide butyrique qui provoque le lâcher prise de la tique, couleur rouge chez épinoche mâle provoque compo agressif de dissuasion => renversement de la tête, esquisse de mouvements de creusage • Entre perceptif et moteur : MID (organisateur) : mécanisme neurosensoriel qui s'assure que les stimuli soient reliés au comportement approprié. Ce centre de traitement permet d'intégrer la prise en compte des facteurs internes influençant le déclenchement du FAP. • Traitement des ≠ dimensions du signal (taille, couleur, suivant les caractéristiques prises en compte) + génération de la réponse de type et degré appropriés. Point faible : confusion, exploitation p/ des profiteurs v de vrais parasites, stimuli supra-normaux • Facteurs internes : sont donc éléments manquant du schéma de contrôle du comportement o Illustration : œufs de l'oie cendrée Stimulus : œuf hors du nid => compo de récup qui comprend une composante fixe : FAP ^ composante taxique d'ajustement qui disparaît si on enlève l'œuf, ce qui n'ê pas le cas du mouvement global, qui continue quoi qu'il arrive, jusqu'à son terme. C'ê un pure programme moteur, aucun contrôle extéroceptif ni proprioceptif s/ le mouvement. o Illustration : compo territorial de l'épinoche à 3 épines Stimulus : ventre rouge du M épinoche s/ sont territoire => mouvement de renversement + creusage du sol (ici il s'agit d'un signal de communication pour dissuader le mâle de s'aventurer dans cette direction).

27. Pensez-vous que les cas d'infanticide observés chez l'animal (notamment commis par les mâles, mais aussi par les femelles) relèvent de la pathologie? Sinon, argumentez, et illustrez par des cas vus en cours.

Non, ce compo ne relève pas d'une pathologie. Au début, on a imaginé que ça pourrait ê une réponse (psk infanticide nous donne de la répugnance) mais dans ce cas le M infanticide ne gagnerait rien p/ son compo. Hypothèse infanticide : a évolué p/ action de sélection sexuelle et précisément de l'élément compétition entre M o Ex langurs gris : vivent en bandes unimâles, constit d'1 seul grd M reproducteur. Qd M ê chassé pour un autre, petits ont ensuite tendance à crever. On soupçonne que ces disparitions sont commises p/ le new M. F privée de ses petits va rapidement redevenir sexuellement réceptive. o Chez bcp de mammifères : lactation interrompt l'ovulation et infanticide interrompt la lactation. Chez langur, ovulation revient 4j après o Ex lions : vivent en bandes appelées pride, ê constit p/ noyau de F adultes et plusieurs M résidents. Lorsqu'un grp de lions M expulse les M résidents d'une pride, ils font la chasse aux lionceaux de <9mois. F qui perdent leurs petits recommencent à ovuler et s'accouplent w/ nouveaux M.

29. Quelle est la raison fondamentale pour laquelle il faut d'une certaine manière considérer que les gènes, métaphoriquement, ont un fonctionnement égoïste? Illustrez par des cas de comportement (ou de mécanismes, plus généralement) qui le traduisent assez directement.

On peut considérer les gènes id « égoïstes » au sens de Dawkins : car ceux que l'on retrouve ajd sont ceux qui ont survécu, au détriments d'autres. Ce sont donc ceux qui ont la manière plus efficace de se répliquer. Et ces manières de se répliquer sont les ê vivants qui les portent. Théorie du gène égoïste : permet d'expliquer des compo qui ne sont pas directement dans l'intérêt de l'invididu, mais qui permettent aux gènes de se répliquer, id p.ex., compo altruistes. Comportements altruistes : servent à aider les autres, et l'individu n'en retire, à priori, aucun bénéfice. Cependant, si l'on se place du pt de vue des gènes, l'individu aidant un autre individu apparenté contribue à la survie d'une partie de gènes qu'ils ont en commun. o En plus de n'en tirer aucun bénéfice : compo altruiste engendre un coût pour l'individu qui le produit. o Ex geai à gorge blanche de Floride : aides au nid sont le plus souvent apparentés aux deux parents. Ces aides au nid ont pour effet qu'un nb plus grand des petits du couple survivent que s'ils n'étaient pas présents. Ils contribuent dc à la survie des gènes qu'ils ont en commun w/ les petits On comprend aussi mieux le fonctionnement des espèces eusociales, ds lesquelles les individus ont un rôle donné, afin de servir le groupe, mais n'ont pas eux-mê de possibilité de se reproduire. Selon théorie de Darwin : ces individus ont une fitness nulle, parce que leur succès reproducteur relatif l'ê aussi. Ces individus servent à aider des individus apparentés à survivre et à se reproduire, perpétuant les gènes qu'ils ont en commun. Id p.ex. chez les abeilles.

1. Qu'est-ce que la théorie synthétique de l'évolution? Pourquoi "synthétique"? Expliquez précisément ses mécanismes; et, sans perdre de vue la synthèse, expliquez comment vous vous représentez l'émergence de traits comme le pénis à épines de certains coléoptères.

Théorie synthétique de l'évolution : o évolution = fait établi (qui n'ê pas issu d'une obs directe, mais induit logiquement à part d'un faisceau d'obs directes ^ certain nb de lois préalablement établies) o Ex : distance soleil-terre = 150 mio km => pas mesuré w/ règle (pas obs directe) mais fait établi à l'aide de lois physiques. o Théorie synthétique de l'évolution donc : théorie qui explique ce fait établi qu'est l'évolution : la théorie synthétique de l'évolution, mouture moderne de théorie sélection nat de Darwin et Wallace. Fait de l'évolution et la théorie qui l'explique ne sont pas réductibles l'uns à l'autres. o Synthétique : synthèse de la théorie darwinienne de la sélection naturelle et théorie mendélienne de l'hérédité. => travaux de ces chercheurs de nature mathématiques, se fondant s/ découvertes de génétique en labo id celles de Thomas Hunt Morgan s/ la drosophile. Ces travaux ont démontré que cette synthèse était possible si on réalise ce qui change dans l'évo, c'est la fréquence relative des gènes dans une population. C'ê dc la fusion de ces 2 théoriqes qui constit la théorie synthétique de l'évolution. Théorie synthétique : explique complètement la variété des organismes vivants à partir d'une ascendance commune Mécanismes, composantes de la théorie synthétique : Variation génétique héritable : gènes existent en formes alternatives (allèles) ; de +, lors de méiose, gènes se recombinent. Ces variations (qui se traduisent en variations morphologiques, physiologiques ^/v comportementales) sont transmises aux descendants Reproduction différentielle : certains allèles ^ combi d'allèles ont pour effet final que les individus qui les portent se reproduisent en moy un peu + que ceux qui en portent d'autres Effet s/ génétique des populations : dès lors, ces variantes vont se répandre + que d'autres dans la popu (il y a augmentation de leur fréq relative dans pool génétique de la popu) : c'est l'évolution (pool génétique, aussi appelé pool génique, ê constit p/ l'{} des gènes possédés en commun p/ les membres d'une popu de la mê espèce). Pénis à épines coléoptère : Caractères ne sont pas tous des adaptations : o Certains caractères actuels ne sont pas des adaptations, on peut dire que : Soit ils résultent d'une simple dérive génétique : neutres, pas sélectionnés, mais changent through temps p/ simple accumulation de chgmnt accidentels dans le génome Soit caractères qui étaient adaptations avant, mais à des conditions qui n'existent plus Soit effets collatéraux (éventuellement néfastes) d'un autre mécanisme proximal qui, lui, ê une adaptation. Chez certains coléoptères mâles, pénis, en raison de sa morpho, blesse organes génitaux femelle : o (Le fait que le mâle blesse la femelle)=> ce n'est pas une adaptation : blessure n'offre pas d'avantages reproducteurs o Mais : morphologie du pénis mâle est une adaptation qui augmente son succès reproducteur o Le fait que femelle soit blessée : effet malheureux de cette adaptation

61. Comment expliquez-vous que, dans les mariages polygynes humains, les épouses de 3ème rang et suivants mettent au monde plus de filles que de garçons en moyenne? Rapportez à ce que vous savez de l'animal.

vu qu'il y a plusieurs femmes, il n'y a potentiellement pas le même traitement pour chacune d'entre elles. La 1ère est en quelque sorte la femme principale, puis après c'est des femmes de 2ème, 3ème rang. Le rang des femmes dans ces société polygynes a une importance parce que pour les femmes de rang inférieur, les enfants ont une grande mortalité et une moindre croissance. (Donc celle de 1er rang aura plus de chance de voir son enfant mieux se développer). Etude au Rwanda, plus la femme est bas dans le classement des épouses plus elles donnent naissance à des filles. Donc sex-ration la naissance est biaisée. On retrouve ça aussi à Genève pas selon le rang d'épouse, mais par rapport au statut-économique : celle d'un statut bas donne plus de naissance à des filles alors que celles d'un haut-statut donne plutôt naissance à des garçons. On peut expliquer cela par syllogisme de Trivers-Willard, sur les espèces polygynes des vertébrés : quand les mâles sont forts, ils vont avoir bcp d'accouplement, au contraire, si les mâles sont faibles pas d'accouplement ou peu. Cependant les femelles forte ou faible s'accouplent toujours, mais une femelle plus forte aura des enfants plus forts (mieux alimenté) il y a un avantage reproducteur pour une mère si quand elle est forte (bonne santé, haut statut) elle produise des mâle, car ils seront plus forts, se reproduiront mieux), contrairement aux mâles qui naîtront de femelles faibles (« on peut comparer à la femme de 3ème rang), donc pour ces femelles plus faible il est plus avantageux d'avoir des filles femelle car même si elles seront faibles, elles s'accoupleront. Posent l'hypothèse que les ères manipulent la sex ratio (qui est normalement de 1 : 1) On peut reporter ça aux cerfs, Si la femelle est en bonne santé donc dominante, elles vont avoir des fils qui vont mieux s'accoupler. Si la femelle n'est pas dominante ces petits, mâles eux ne vont que très peu s'accoupler. Cependant, pour les femelles peu importe si elles viennent de dominante, bonne santé ou pas, elles s'accoupleront toujours. Succès reproducteur des enfants est lié au statut de la mère chez les mâles mais pas chez les femelles. Le sex-ratio des petits de la mère : pour les femelle de pas statut font des femelles et les mère dominante font plutôt des mâles : manipulation de la sex-ratio. même chose pour les opossum, dans le groupe contrôl sex-ration 1 :1 mais dans le grouve une les femelles ont été mieux nourrit, elles donnent naissance à plus de mâles. 1.4 : 1 Chez le macaques, c'est l'inverse une femelle de haut statut a avantage à avoir des bébés femlles qui héritent du haut statut, est qui vont mieux se reproduire. Donc plus de bébés femelles

3. Dans une approche adaptationniste, les bénéfices et coûts dus au comportement sont exprimés en une certaine "monnaie", qui est au cœur des explications évolutionnaires. De quoi s'agit-il? Faites appel à ce concept pour expliquer l'infanticide occasionnel de leur petit par les lionnes.

Approche adaptationniste : demande à raisonner en termes de gains et de bénéfices reproducteurs, agissant en fin de compte s/ la persistance, génération après génération, de certains gènes au détriment d'autres. => évolution | potentiel reproducteur On pourrait s'étonner de ce qu'une mère abandonne son petit (qui ê évidemment bien le sien, sans moindre doute) et gaspille ainsi l'investissement parental (grossesse, allaitement) fourni jusque là. Cependant, si on tient compte du fait que la mère aura probablement d'autres portées ensuite, l'évaluation des coûts et bénéfices prend une autre allure. Succès reproducteur mesuré sur la vie entière de la femelle est plus grand si celle-ci abandonne les petits qui sont seuls, et s'investit exclusivement dans des portées de plus d'un petit.

60. Comment expliquez-vous les différences précoces de comportement observables, très tôt, entre petits garçons et petites filles? Réflechissez en termes de causes proximales et de causes ultimes.

Causes proximales (comment) : Les enfants de 9mois-17mois qui n'ont pas conscience encore de leur genre, on une préférence pour les jouets genré selon qu'ils soient filles ou garçons, les filles préfèrent les jouets genré filles et les garçons les jouets genré garçons. On constate la même chose pour les singes vervets, on leur a donné des jouets (d'humain) et les mâles ont eu une préférence pour les jouets genré masculin (camion, balle) et les femelles genré de féminins (poupée), et les neutres sont restés neutre. Cela peut vouloir dire, qu'il y a des différences perspectives qui ne sont pas les mêmes pour les mâles et les femelles des singes vervet, mâle chose qui bouge, coloré et les femelles des choses que l'on peut porter. Ces différences perspectives peuvent se fonder sur le style de vie, exemple : le fait que les femelles aiment bien porté des choses, cela peut évoquer leur comportement de futur mère lorsqu'elle porte leur petit. Pour les mâles, les choses qui bougent évoquent situation de conflits ou lorsque attrapent des proies. Causes ultimes (pourquoi) : Différence entre mâles et femelles sur la tendance à porter des objets pour les chimpanzés et cela a un lien avec le fait que c'est les femelles qui vont par la suite porté les petits : différence inscrite dans notre biologie, hommes et femmes ne sont pas les mêmes sur la maternité. Les femelles chimpanzés cessent de porter des objets (pierres, batôns) une fois qu'elles ont eu leur premier petit, ça semble être donc un substitut aux petits. Aussi différence en se qui concerne la violence dû à des points biologiques (agressivité, lien avec la sélection sexuelle -> compétition inter-sexe. (compétition avec les membres du même sexe, hommes, pour augmenter, maintenir la fitness) Enfants déjà les garçons se battent, détruissent des choses bien plus que les filles, plus de compétitions.

49. Pourquoi Darwin a-t-il été amené à postuler l'existence de la sélection sexuelle? Que cherchait-il à expliquer? Explicitez les différents volets de cette forme de sélection et illustrez.

Certains compo/caractères présents ds nature ne peuvent résulter d'une quelconque adaptation p/ sélection naturelle dans seul but de survivre. Ne peuvent refléter adaptation, du fait mê qu'ils provoquent dans quelques cas un handicap. Une autre pression de sélection doit donc entrer en jeu pour que la persistance de ces caractères puisse ê expliquée. « lorsque membres d'un sexe sont en compét, qui ê une ressource limitée, ^ que l'autre sexe exerce choix s/ les 1er, cond sont réunies pour qu'il y ait sélection sexuelle » • Sélection sexuelle est un volet de sélection naturelle : queue encombrante et voyante du paon, colorations chatoyantes des plumages de certains oiseaux • Sélection sexuelle : résulte d'une pression pour l'accès aux partenaires sexuelles ^ dc pour la reproduction. Elle comporte ≠ formes, qui dépendent de l'espèce ^ de sa répartition de la disponibilité sexuelle. Type de structure sociale, répartition de l'investissement parental, sex ration de la popu disponible... • Dans la plupart des cas : M sont surnuméraires, ^ F ont avantage à exercer un choix adapté. On a dc la sélection sexuelle au lvl du choix des F => augmentation fitness des petits v de la F directement, c'ê une sélection intersexuelle. Elle peut viser l'apport de ressource, la santé globale, v parfois, elle semble ne pas avoir de bénéfice direct (visible) => théorie de bons gènes (et du handicap) : d'où la queue du paon qui montre en fait que si avec un tel handicap il ê tjr vivant, c'ê qu'il doit ê sacrément bon, v l'hypothèse de l'emballement évolutif, qui partant d'un caractère vrm avantageux pour la survie, dépasse son optimum p/ emballement, mais id les bénéfices aportés p/ l'augmentation de son succès au lvl du choix des F surpassent les coûts occasionnés au lvl de la fitness, il reste avantageux. • Au lvl du conflit entre M pour l'accès aux F => course aux armements, caractères d'intimidation, compétition spermatique... sélection intra-sexuelle

34. On a montré (ce n'était pas mentionné dans le cours) qu'en moyenne chez les humains, des quatre grands-parents, ce sont les grand-mères maternelles qui s'occupent le plus des petits-enfants, et les grands-pères paternels qui s'en occupent le moins. Comment pourrait-on expliquer cela? A quoi d'autre cette différence vous fait-elle penser?

Dans cet ex, on observe caractère asymétrique de l'investissement parental conduisant à des rôles sexuels asymétriques. • Rappel : moins de F que de M sont dispo pour reproduction en raison de leur investissement parental majeur mettant alors en compétition M qui souhaitent accéder aux F dispos. Id il y a + de M que de F s/ le marché, F ont la possibilité de choisir le bon (celui qui repré le + de bénéf (fitness)). F n'ont pas le moy d'augmenter leur reproduction en se faisant féconder p/ plusieurs M. ce n'ê pas ça qui les limite (cycle reproducteur le + long car investissement parental majeur). Du coup, elle choisit et doit prendre soin de sa progéniture • Finalement, cette étude suit la logique de l'investissement parental : fondamentalement, but du M ê de féconder le + de F (car a cycle reproducteur court) alors que F se retrouve limitée dans le tps. F, une fois mère, doit prendre soin de ses enfants, car précieux, car coûteux pour celle-ci. Il y a un bénéfice matériel en jeu. Afin de permettre la survie des gènes de son côté, elle peut compter s/ ses parents à elle pour l'aider (ils ont le mê code génétique => sélection parents proches) Pourrait-on mettre cela en lien avec le comportement altruiste ? • Élargissement de la certitude de parentalité : grands-mères maternelles sont sûres que leurs petits-enfants sont les leurs, alors que grands-pères paternels sont les moins sûrs de l'apparentement de ses petits enfants (déjà p/ rapport à son fils et encore p/ rapport à ses petits enfants). Il est donc plus avantageux au lvl de la grd-mère maternelle d'investir dans ses petits-enfants • Lien w/ l'inclusive fitness : grands-parents, qui n'ont plus la possibilité de se reproduire peuvent donc augmenter leur fitness en aidant leurs enfants à s'oqp de leur descendance. Leur bénéfice correspond, selon la formule de Hamilton, au bénéfice engendré pour la personne aidée pondéré p/ le coeff de proximité génétique, on déduit ensuite les coûts occasionnés p/ rapp à la fitness des grands-parents. • En moyenne, coefficient de proximité génétique : + élevé pour grands-mères maternelles, alors qu'il ê moins élevé pour grands-pères paternels. • Grand-mère : plus apte à aider sa fille que son fils w/ ses enfants. Car, au cours de l'évolution, c'ê le compo qui a le plus apporté de bénéfices, et qui a donc eu le + l'occasion de se consolider.

44. Darwin pensait que la danse, chez les humains, était un signal. Dans quel contexte? A- t-on des arguments allant dans ce sens? Faites le lien avec l'animal.

Dans contexte de la recherche de partenaire, dc dépend de la sélection de partenaire. • Préférence (différence de jugement) : en faveur d'une danse symétrique ê plus marqué chez juges F que juges H. Pourtant ne savent pas que c'ê des H. Danse H ê discriminée p/ F. Danse ê dc un signal que la F interprète. • Darwin : pensait que danse avait évolué chez humain id signal lié à sélection sexuelle. o Expérience s/ info véhiculées p/ danse dans population jamaïcaine : lors de expérience, on demande à plusieurs personnes de danser ^ on prend en kê temps leur indice de symétrie. Sélection ensuite de 20 danseurs (10 de chaque sexe) les + symétriques et les 20 les moins symétriques. Mouvements corporels sont modélisés p/ copies virtuelles qui n'ont aucun indicateur particulier, ils représentent simplement les mouv de danse. On demande ansuite à un grp de personne de mê une note à chacune des séquences. o Résultat : montrent que danses des personnes symétriques sont préférées au lvl des 2 sexes, mais F ont préféré la symétrie de manière plus importante quand danseur était un H, alors qu'elles ne connaissaient pas le sexe des modèles. Danse pourrait ê un signal de communication : véhiculant honnêtement qualité reproductrice du danseur. • Lien avec animal : déclinaison de la parade nuptiale, séquence de mouv véhicule une info qui doit renseigner la F et l'aider à son choix. Bien sûr, danse ê moins stéréotypée que les compo de cour, mais elle pourrait finalement avoir évolué pour les mê raisons. • La préférence ê plus forte au lvl de la perception des F pour les H, ce qui pourrait montrer qu'à la base c'était dans ce sens que le choix se faisait.

9. Mentionnez, en illustrant, les principales pressions de sélection qui ont agi sur l'évolution de la communication. Y a-t-il quelque chose de particulier lorsque les intérêts de l'émetteur et du récepteur sont opposés? Expliquez comment cette situation influence l'évolution du signal, et illustrez par un exemple.

Définition communication : transfert d'information entre deux individus avec bénéfice mutuel lors de ce transfert. (Ce transfert peut se produire notamment via la catégorie de stimuli signaux que Lorenz appelait « déclencheurs ». En général intraspécifique, la comm peut ê aussi interspécifique). Pressions de sélection : Qualité de transmission dans milieu physique : pour ê efficace, signal doit ê transmis clairement et distinctement. Il va donc dépendre de l'appareillage sensoriel de l'animal et des caractéristiques de transmission du milieu. Privauté du canal de communication : message peut ê destiné à un conspécifique mais, s'il ê trop perceptible, risque d'ê intercepté p/ prédateur. Il y a dc contre-sélection p/ la prédation, qui tend à rendre les signaux plus discrets v camouflés. Il en résulte des compromis. Conflit d'intérêts : ex : Stotting de la gazelle Thomson : Faire une incursion dans la pression de sélection réalisée p/ les situations de conflit d'intérêt entre émetteur et récepteur du message. o R. Dawkins et J. Krebs ont identif la présence d'un conflit d'intérêts entre deux animaux id un des déterminants majeurs de l'évolution des signaux utilisés. En effet, but de la communication n'était pas simplement de transmettre l'info, mais de manipuler le compo du récepteur. Émetteur serait donc favorisé s'il avait dév, au cours de l'évo, les moyens de manipuler l'autre à son avantage. Cependant, désavantage ainsi imposé au récepteur ê aussi une pression de sélection pour ce dernier ! Donc, récepteur aura été favo, au cours évo, s'il a dév les moy de pas se laisser manipuler. o Plus évident des conflits d'intérêts se produit entre prédateur et proie. Lorsque conflit d'intérêt entre émetteur et récepteur : il en résulte des « signaux honnêtes » Lorsque conflit d'intérêts, chacun aurait dc un avantage s'il pouvait tromper l'autre. Si des mâles se laissent tromper p/ les signaux de l'opposant, perdent opportunité de se reproduire, en perdant leur statut. Donc, variantes de ces mâles (prédisposées à se laisser tromper, donc défavorables) vont progressivement ê éliminées dans la popu. Il ne restera que des mâles qui ne se laissent pas tromper. Du côté de l'émetteur, émettre message repré un coûte (perte énergie, exposition à prédateurs, etc.) ; individus qui émettent ces signaux (originellement trompeurs mais qui désormais ne servent plus à rien) le font en pure perte. À leur tour, ils diminuent leurs chances de se reproduire, ce qui amènera à terme la disparition de ces signaux inutiles. o Ne restera donc que des émetteurs de signaux non trompeurs et des récepteurs qui y réagissent. P/ conséquent, pression de sélection en réaction à ces 2 besoin mène en fin de compte à des signaux honnêtes (impossibilité de bluffer). Exemple signal honnête : Gazelles Thomson stotting : Stotting pourrait ê un signal de non-profitabilité de la proie, qui indiquerait alors que l'individu ê en forme et difficile à capturer. Ce serait alors un signal honnête corrélé à la cond physique (meilleurs sauteurs pourront à coup sûr distancer les poursuivants). Stotting traduit honnêtement la force et la résistance de la gazelle.

17. Aussi étonnant que cela paraisse, les femmes testées à l'aveugle préfèrent l'odeur d'hommes symétriques à celle d'hommes moins symétriques (n'ayant pas vu leur photo, elles ne savent pourtant pas qu'ils sont plus symétriques!). En vous rapportant à ce que vous savez de l'animal, comment l'expliquez-vous ? Quel est alors le statut de l'odeur des hommes, ici?

Exemple de l'expérience s/ Diamant mandarin étudiant la préférence de la F pour le M : • Ont commencé p/ couper de façon asymétrique les plumes de devant en 4 options : o (asymétrique à gauche v droite/symétrique v modifié mais tjr symétrique) : la décoloration de plastron est donc soit asymétrique ou symétrique. o Puis les place dans une volière et on laisse une F se balader. o On remarque que F passe significativement + de tps à regarder M symétriques. • Deuxième expérience où M munis de 2 bagues de couleurs (symétriques, asymétriques) => F préfèrent passer + de tps w/ M à bagues symétriques. • => On voit qu'il y a une préférence pour la symétrie de façon générale et pas seulement s/ le corps naturel. Pour comprendre notion de symétrie, faut parler de l'asymétrie fluctuante : cette dernière peut ê éval en mesurant la dimension des oreilles, largeurs chevilles, et autres traits physiques non influencés p/ la latéralité d'usage. Elle ê l'indice d'une faible résistance aux perturbations lors du dév (perturbations de l'homéostasie développementale qui empêche le dév égal des deux moitiés du corps). Asymétrie d'un individu pourrait donc indiquer une faiblesse plus grande de l'individu lui-mê au cours de sa vie (p.ex. face à parasites v maladies), une - grande capa à se reproduire, v un risque plus élevé de mort de ses petits durant leur dév embryonnaire. Il faut cependant dire que : lien entre asymétrie fluctuante et succès reproducteur n'a pas été encore clairement établi et reste donc une conjecture ; l'observation p/ contre clairement établie que la symétrie ê un indice de choix dans autant d'espèces fait de cette conjecture un sujet d'étude important. + on est symétrique, + on ê résistant à ces perturbations lors du dév. Cela signifie aussi que asymétrie fluctuante pourrait ê indice de faiblesse qui rendrait M moins propre à aider la F. Explication de la préférence des F pour la symétrie : Symétrie serait un indice important pour le choix de la F. Cela signifie que le choix des F quand il y a des bénéfices en jeu se porterait s/ cet indice de la symétrie et donc à éviter l'asymétrie qui ê un indice de faiblesse. Perception de la symétrie : qualité représentée chez beaucoup de F, surtout celles qui choisissent leur partenaire (ex : araignées, épinoches, etc.) Chez les êtres humains : ornements sont très souvent symétriques. On peut se demander s'il n'y aurait pas une raison autre que l'esthétisme qui prend ses racines des considérations + profondes => encrage biologique : Chez les Hadzas, comparée aux anglais (EU) la question de symétrie ê plus présente. Odeurs : on retrouve une corrélation impressionnante, chez les F, entre jugement de l'agréabilité de l'odeur et la symétrie qu'elles ne connaissent pas. Il faut voir tout ça id un {} de signaux traduisant la qualité du M : odeur serait un proxi ou un signal honnête

15. Quel lien faites-vous entre investissement parental et sélection sexuelle? Explicitez d'abord ces deux concepts puis développez en détail comment l'un entraîne l'autre. Argumentez par des exemples.

Explication des 2 concepts : • Investissement parental : terme inventé p/ R. Trivers qui a mis en évidence que fait de s'oqp de ses petits implique bénéfices mais aussi coûts. Plus précisément, investissement parental = tps, énergie ^ risques qu'un parent investit ds un kid et qui diminue chances d'avoir d'autres enfants • Sélection sexuelle : volet de la sélection naturelle. On a commencé à parler de ça avec Darwin. S'est demandé quel était le but de ces ornements excessifs et contre-productifs id p/ ex la queue du Paon ? o Darwin rép à cette question grâce à sélection sexuelle. En effet, va mê en évidence que si cet animal a cet ornement qui n'ê pas explicable p/ la compétition pour la survie, il va l'ê p/ les avantages que cet ornement confère pour la compét entre les partenaires sexuels. o Cela signifie que Paon sera davantage sélectionné p/ partenaires sexuelles. o D. parlera de sélection sexuelle lorsque membres d'un sexe sont en compét pour l'autre, qui ê une ressource limitée, ^ que cet autre sexe exerce choix s/ les 1er. À part de là, seront mis en évidence 2 éléments clés de la sélection sexuelle : compét () M ^ choix des M p/ les F. o Pour ce qui ê de la compét () M, nous pouvons prendre pour ex l'affrontements entre M chez les cerfs. Concernant la F, l'ex qu'on peut donner ê celui de la poule qui éjecte sperme du M si celui-ci n'ê pas dominant. Lien entre investissement parental et sélection sexuelle : investissement parental va déterminer la sélection sexuelle. Cause logique de ce lien ê que la F ê une ressource rare à cause de l'investissement parental id p.ex. chez l'oiseau : prod d'œufs repré coût pour elle. Ainsi, F passe bcp de temps à ne pas ê dispo pour la reproduction En conséquence : elle va choisir son partenaire pour pouvoir maximiser ses chances de reproduction. Doit pouvoir discriminer les bons des mauvais partenaires. À l'inverse : M généralement s'investit - que la F pour les soins des petits, cela signifie qu'il va plus s'investir pour la reproduction. Nous savons aussi qu'il y a bcp + de M dispo à féconder une F que de F prêtes à ê fécondées. => cela signifie qu'il y a de la compét () M et donc ceux-ci vont mê V les chances de leur côté Pour voir si c'est bien l'investissement qui déter rôles sexuels, exemple des criquets mormons. Chez ces criquets, M qui s'investissent le + et F qui ont le potentiel reproducteur + élevé. En conséquence, on s'attend à ce que rôles sexuels soit inversés. Ds cette espèce, M transfèrent un immense spermatophore comestible à la F. ce dernier ê avantageux pour la F mais très coûteux pour M. Lorsque M se met à chanter, F se battent pour aller s/ M => compét entre F, M va choisir la F. => On voit que celui qui a la ressource limitée, ici M, va faire un choix discriminatif s/ l'autre sexe.

6. Vous avez peut-être déjà vu le comportement de cour très stéréotypé (fait de mouvements très fixes) des canards colverts. Discutez de ce type de "mouvements très fixes"? Quelles sont leurs particularités, leurs avantages dans le cadre de la sélection sexuelle? Trouvez d'autres exemples (hors comportement de cour, et pas nécessairement chez les oiseaux). Qu'est-ce que les éthologistes objectivistes ont pu apprendre ou démontrer au moyen de ces comportements fixes?

FAP (fixed action pattern) : séquences fixes de contractions musculaires arrangées temporellement et spatialement et qui produisent des patrons de mouv biologiquement appropriés (Konishi). Déclenchés p/ stim ext spécifiques, mais leur déroulement n'ê pas dépendant de ces stimuli (ceux-ci vont agir seulement s/ le déclenchement et éventuellement la vitesse v intensité du FAP). Leur forme est stéréotypée (constante). Cette constance de forme les rend propres à une espèce (invariant spécifique), au mê titre que des caractères morphologiques. Cette cste laisse supposer que FAP sont /s ctrl génétique (inné). o Ne nécessitent pas de feedback. Sont souvent combinés w/ mouv d'ajustement v d'orientation (taxies), qui eux dépendent d'un ctrl continu p/ le stimulus. Seuil de déclenchement du FAP s'abaisse entre deux actes. On peut ainsi, dans certains cas, obs des FAP qui se réalisent « à vide », sans stim déclencheur. => Ceci les distingue des réflexes, qui n'apparaissent jamais sans stimulation. Exemples : Fonction FAP : chez colvert fonction de communication dans le couple ou dans le groupe social. Chez les insectes, FAP facilement repérables. SN insectes extraordinairement efficace au regard de son nb de cellules limité, donne naissance à compo rigides et dc mesurables. Chant mâle ≠ espèces de grillons ê un FAP (rythmique, cyclique). Chant diffère selon espèces de grillons. Joue rôle dans compo de cour ou parade nuptiale, sert à attirer femelle. Chez nouveau-né, orientation vers mamelon. Bâillement = FAP, mais déclenche aussi le bâillement chez celui qui l'observe ; il ê donc également un stimulus signal Ce que les éthologistes peuvent apprendre ou démontrer avec ces FAP : • Selon Lorenz : il peut y avoir des bases innées à des comportements complexes et des influences génétiques sur le comportement. En effet, les FAP montrent que certains comportement sont innés (par exemple, le mâle de l'épinoche qui se met quand même à zigzaguer la 1ère fois qu'il voit une femelle) et se déclenchent suite à la perception de stimuli signaux particuliers. De plus, le mécanisme qui assure que seuls les stimuli appropriés élicitent un comportement particulier est appelé « mécanisme inné de déclenchement ». De plus, Lorenz a principalement démontré que les FAP servent à montrer que le comportement est adaptatif : l'animal « sait » quoi faire en fonction des circonstances. Le comportement adapté tient compte des aspects pertinents de l'environnement et le sujet est « informé » sur ces aspects. • En bref, ce que Lorenz a tenté de démontrer, c'est que tout comportement est dû à des facteurs génétiques (les FAP et les stimuli signaux qui se réalisent par le mécanisme inné de déclenchement), mais il est également conscient que des facteurs environnementaux peuvent interagir avec ces facteurs génétiques et que le développement de l'individu procède d'une interaction perpétuelle entre les deux.

59. Insérez le concept de compétition spermatique dans le contexte théorique qui permet de l'expliquer. Illustrez par un ou plusieurs exemples.

Fait partie de la sélection sexuelle, qui est une partie de la sélection naturelle. Elle peut être divisée en deux : le choix des femelles, le conflit entre mâles. La sélection sexuelle : lorsque les membres d'un sexe sont en compétition pour l'autre, qui est une ressource limitée, et que cet autre sexe exerce n choix sur les premiers, les conditions sont réunies pour qu'il y ait ce que Darwin a appelé la sélection sexuelle. Un caractère résultant de la sélection sexuelle n'est pas explicable par la compétition pour la survie, mais pas l'avantage sur les autres individus du même sexe qu'il confère à son porteur, dans la compétition pour les partenaires sexuels. La sélection sexuelle est un volet de la sélection naturelle. Compétition spermatique → conflit entre mâles pour les femelles, qui sont une ressource limitée, dans une structure sociale où il arrive relativement souvent que des spermatozoïdes d'origines différentes puissent être en même temps dans l'appareil reproducteur de la femelle (société polyandres). Le mâle a alors intérêt à développer des stratégies pour augmenter ses chances d'être le père, et donc de favoriser la fécondation par son sperme. Quelques exemples : - Vider la spermathèque, chez les insectes : le coléoptère dont le pénis possède des épines dont la longueur définit l'efficacité du vidage précédent l'insémination. Le dernier mâle a plus de chance d'être le père. Pareil chez certains Odonates (demoiselles) avec leur brosse. - Boucher les voies génitales après l'accouplement : chez le bourdon, le mâle laisse un bouchon qui se maintient pendant 3 jours, empêchant toute fécondation subséquente. Il contient également de l'acide linoléique, qui empêche la fécondation de la femelle dans la semaine qui suit. - Augmenter la quantité de sperme éjaculé (taille des testicules) : chez les oiseaux ainsi que chez les primates correspondant aux critères de développement de compétition spermatique, on observe des testicules beaucoup plus gros que la moyenne (par rapport au poids du corps), résultat d'une « course aux armements » où celui qui produit le plus de spermatozoïdes est avantagé. - Rendre les spermatozoïdes plus motiles (nombres de mitochondries) : les primates mentionnés plus haut ont également des spermatozoïdes munis de plus de mitochondries, ce qui permet d'augmenter leur vitesse. - Ajustement du nombre de spermatozoïdes : par rapport au nombre de mâles présents dans le groupe (chez les coqs), par rapport au temps passé sans la partenaire (hommes) Des exemples moins physiologiques et plus comportementaux : - Surveiller sa partenaire : certains oiseaux suivent leur partenaire H24 pendant leur période de fécondité, évitant ainsi que d'autres mâles s'accouplent avec. - Sentiment de jalousie : cacher ou surveiller leur partenaire → stratégie mise en place en complément de la qualité du sperme (vitesse, concentration, etc...). Plus le sujet surveille sa partenaire et montre donc une tendance à la jalousie, plus la qualité du sperme se trouve « mauvaise » par rapport à d'autres, qui eux surveillent moins leur partenaire.

19. A votre avis, comment expliquer le comportement des oiseaux satins (mâle et femelle)? Tenez compte du fait que la qualité des berceaux est liée à l'expérience du mâle, qui augmente année après année; un "beau" berceau est donc une information pertinente pour la femelle, de plusieurs manières. Que dit le berceau à la femelle?

Intro sélection sexuelle : Théorie de la sélection sexuelle de Darwin ; qd membres d'un sexe sont en compétition pour l'autre, qui ê une ressource limitée, et que cet autre sexe exerce choix s/ les premiers. => conditions réunies pour sélection sexuelle. Darwin postule donc que certains caractères et comportements liés à la reproduction sont exagérés ^ en apparence contre-productifs. Comportement des oiseaux satins : Ex. oiseau satin : M réalise « berceau », préalablement dégagé, en décorant sol w/ coquilles, cailloux, plumes, etc. ATTENTION : berceau à ne pas confondre w/ nid car n'ê pas lieu v F pond ses œufs. En effet, F viendra explorer berceau et décidera d'accepter ou pas l'accouplement w/ ce M. Si elle accepte, elle pénètre berceau juste le tps de la fécondation et repartira tt de suite chercher lieu pour y pondre ses œufs (situé hors du territoire du M). Quant au M, il restera près de son berceau, en cherchant à l'améliorer pour y attirer d'autres femelles car son succès ê lié à la qualité et à la décoration du berceau. Pour ce qui ê de la qualité : M devra essayer de construire berceau symétrique, càd aux parois les plus parallèles, et pour ce qui ê de la déco, elle signale du succès sexuel du M. M a intérêt à construire le meilleur berceau possible psk F = ressource rare et dc conccurence élevée. En faisant cela, a une proba plus grd de trouver partenaire. Rareté des F : due à un élevé investissement de la part de la F. Ponte des œufs repré coût immense en tps investi, lequel n'ê pas utilisé pour d'autres activité id repro. Pour ça que sex ratio opérationnelle (rapport nb M sexuellement réceptifs au nb de F sexuellement réceptives en un moment donné quelconque) ê biaisé du côté des M. Dc : succès repro des M ê limité surtout pour l'accessibilité des partenaires. Inversement : F ne sont pas limitées p/ nb partenaires, mais p/ ressources qui limitent le nb de petits qu'elles peuvent produire. W/ cela, on veut dire qu'elle n'ont psa avantage à recevoir des gamètes de bcp de M, mais qu'elles peuvent par contre améliorer succès reproducteur en s'appariant préférentiellement w/ partenaires de viabilité sup. F ont donc intérêt à discriminer les meilleurs partenaires des autres. Conclusion : accouplement qui n'apporte pas de bénéfices à la F parce que M n'apporte ni nourriture, ni s'investi dans le développement des petits

20. Parfois c'est le mâle qui assure seul l'investissement parental. Comment peut-on l'expliquer, sachant qu'il s'agit d'une minorité de cas? Analysez un exemple de votre choix. Qu'est-ce que ça change d'autre dans le comportement du mâle et de la femelle?

Introduction sur investissement parental : • Investissement parental : temps, énergie et risques qu'un parent investi ds enfant et dc diminue chances que ce parent a d'avoir d'autres enfants ds futur. S'oqp de ses propres enfants entraîne autant de bénéfices que de coûts, en terme de reproduction. • Trivers : coûts car, fait de s'oqp des petits fait que F n'a pas le tps de se reproduire ; bénéfice car s'oqp des petits à plus long terme fait que proba qu'ils répandent les gènes ê plus grande • Chez F et M deux stratégies idéales de reproduction pour maximiser la fitness : F a id objectif de donner naissance à un max de petits et laisser M s'en oqp ; M veut ken un max de F et laisser ces dernières s'en oqp. Deux stratégies qui s'opposent, mê si elles sont idéales pour l'un et pour l'autre. En découle que la meilleure stratégie pour un sexe dépend de la stratégie adoptée p/ l'autre, il y a dc bcp de stratégies qui sont ainsi apparues pdt l'évolution. • En règle générale : majoritairement F assurent effort parental (en partic ds cas des mammifères). Ceci ê dû au fait de la certitude de parenté pour la F et non pour le M. C'est dc une asymétrie de proba qui s'est traduite p/ une plus faible proba que le compo de soins p/ le M se mette en place. • Mais, quelques exceptions existent : M peut faire l'essentiel de l'investissement. Ce compo apparaît quand les conditions sont telles que le gain en fitness dépasse les pertes. Si un M a des gènes le prédisposant à l'oqp des petits, il augmente leur proba de survie, et dc augmente proba de transmission des gènes pour compo paternel aux générations suivantes. Cela vaut aussi pour F, sauf que ≠ réside dans fait que petits ne sont pas forcément ceux du M présumé. En conséquence : M dont la certitude de paternité ê élevée ê un père d'une espèce dans laquelle M sont équipés de certains mecanismes, ^/v vivant dans certaines circonstances qui font que la proba ê élevée que des compo d'investissement parental paternels soient apparus et maintenus. • Exemple punaise aquatique géante : M s'oqp des œufs en les portant s/ le dos à l'interaction eau-air. Pour que ces insectes soient grands, il faut qu'ils naissent dans de grands œufs psk ils muent 6 fois et chaque mue ne permet de grandir que de 50-60%. Étant donné que œufs sont grands, ont des difficultés à s'oxygéner dans l'eau ^ donc ê nécessaire de les garder à l'interface air-eau pour les oxygéner. Mais : faire attention à ce qu'ils ne se dessèchent pas, d'où l'intérêt d'avoir des soins parentaux. Œufs grands : immense coût pour la F de les produire et en plus de se nourrir plus qu'un M. Or, porter de si grands œufs réduit la mobilité et donc la prédation pour se nourrir => donc M s'en occupe (coût est moindre pour lui que pour la F) Qu'est-ce que ça change d'autre dans le comportement du mâle et de la femelle? Peut-être que ça inverse les rôles et les comportements sexuels majoritaires. F peut donc s'accoupler avec plein de M et donc multiplier ses chances de transmettre ses gènes sans se soucier de leur survie. À l'inverse, M doit s'investir pour les soins des œufs, il s'accouplera avec moins de F mais s'assurera en contrepartie de la survie de ses descendants. M pourrait devenir plus sélectif et F moins sélective.

16. Définissez l'investissement parental. Pourquoi, à votre avis, y a-t-il investissement parental massif dans certaines espèces, et dans d'autres non? Et surtout, comment et pourquoi est-il inégalement réparti entre les sexes?

Investissement parental : temps, énergie ^ risques qu'un parent investit ds un enfant ^ qui diminue chances que ce parent va avoir d'autres enfants dans futur. Pourquoi y a-t-il un investissement parental dans certaines espèces et d'autres non : Au cours évolution, stratégies de soins parentaux qui se sont dév et dépendent des particularités de reproduction de l'espèce. Sont en lien aussi w/ contraintes du milieu, style de vie et histoire de vie de l'espèce. C'ê pour cela qu'il y a des espèces qui ont un investissement parental et d'autres pas. Ex : poissons de pleine mer : Il a été + avantageux pour eux d'abandonner leurs petits et d'en féconder davantage. Difficile, d'imaginer des poissons en train de s'oqp de leurs petits en pleine mer. On voit que pour cette espèce, y a pas d'investissement parental, car + avantageux pour leur succès reproducteur. Tout cela va dépendre après de la particularité de la repro de l'espèce et de ses soins parentaux. Comment l'investissement parental est réparti inégalement entre les sexes : (Ex pour l'investissement parental unilatéral) Il y a des ≠ entre les sexes. Tout d'abord, cet investissement peut ê fait p/ le M. Ex : oiseaux australiens (leipoa ocelle) : M investissent bcp de tps pour leurs œufs. M s'oqp de construire monticule de compost pour avoir bonne température p/ les œufs. Ensuite, va mettre œufs ds trou et 1x que petits sont là, M ne s'en oqp plus du tout. Cependant : ds l'{} du règne animal, ce sont les F qui généralement s'investissent le +. Ex d'exception : punaise aquatique : M s'occupent des œufs et les maintiennent dans l'eau. M s'oqp des œufs car ceux-ci sont très grands. Les œufs doivent ê à l'interface air-eau pour ê oxygénés, doivent ê portés s/ dos. Cela demanderait trop d'effort à la F qui s'ê déjà investit bcp dans la prod des œufs. Alors évolution a favorisé l'investissement M uniquement Pour pouvoir cprdre pk ce sont majoritairement le F qui s'investissent + pour les petits, faut se référer à 3 hypothèses : 1. Chez mamifères, fécondation ê int à la F. Dc, M ne peut pas ê sûr que c'est lui le père. Alors que F ê sûre à 100% 2. Si petits n'ont besoin que d'1 parent, le 1er qui pourra les abandonner le fera. Ds le cas des mammifères, F porte les petits donc M peut partir en 1er 3. Animal qui s'oqp des petits perd des occas de ken. Mais au lvl du coût, si c'ê le M qui s'oqp des petits, il perd son succès reproducteur, car celui-ci dépend du nb de F qu'il a ken. M peut avoir plusieurs petits en mê temps en kenant plusieurs F, alors que F ne peut qu'avoir qu'1 portée à la fois.

12. Investissement parental, lien au partenaire... Choisissez pour chacun de ces domaines, au niveau proximal et au niveau ultime, des exemples qui montrent que des influences biologiques sont à l'œuvre. Pourquoi y a-t-il toujours des influences à ces deux niveaux, d'ailleurs?

Investissement parental : temps, énergie ^ risques qu'un parent investit ds un enfant ^ qui diminue chances que ce parent va avoir d'autres enfants dans futur. Or, nous savons qu'il ê majoritairement assuré p/ femelle. • Causes proximales de l'investissement parental : On voit surtout ça chez mammifères. En général, M ê en compét pour ken la F (car la sex ration ê biaisée, + de M que F), mais une fois qu'il a réussi à ken, il ne s'oqp pas des enfants. o Trois hypothèses peuvent expliquer cela (lvl ultime) : 1. Chez mamifères, fécondation ê int à la F. Dc, M ne peut pas ê sûr que c'est lui le père. Alors que F ê sûre à 100% 2. Si petits n'ont besoin que d'1 parent, le 1er qui pourra les abandonner le fera. Ds le cas des mammifères, F porte les petits donc M peut partir en 1er 3. Animal qui s'oqp des petits perd des occas de ken. Mais au lvl du coût, si c'ê le M qui s'oqp des petits, il perd son succès reproducteur, car celui-ci dépend du nb de F qu'il a ken. M peut avoir plusieurs petits en mê temps en kenant plusieurs F, alors que F ne peut qu'avoir qu'1 portée à la fois. • Lien au partenaire : cependant, ds certaines espèces, M accroissent certitude de parenté. • P.ex. : chez libellule à ailes noires, organe sexuel du M se termine en brosse. Ainsi, lors de l'accouplement, va brosser l'intérieur du spermathèque chez la F ^ nettoyer la quasi-totalité des spermato pouvant s'y trouver. • Lvl ultime : ceci augmente son succès repro ^ dc certitude de paternité, mê si p/ la suite y a pas d'invest parental. • Pourquoi y a-t-il tjr des influences à ces deux niveaux ? (Darwin) Ds une espèce, y a généralement des variations () individus, ^ une part de ces varia sont héritées génétiquement. La maj des petits produits ne survivent pas jusqu'à âge de repro. En raison de leurs caractères hérités, certains individus survivent + lgpt/^v mieux, ^ prod davantage de petits et ainsi de suite. On appelle sélection naturelle la survie de la repro différentielle des individus qui résulte des variations à base génétique dans leur compo, leur morpho ^ leur physiologie. Chgmnt évolutifs se prod lorsque traits héritables à des individus « à succès » se répandent mieux ds la popu. On voit tjr cela à 2 pôles ≠ selon Tinenberg ; comment cela se prod, dc au lvl proximal : Comment systèmes nerveux ^ musculaire sont-ils intégrés pr permettre la rép ? Quel ê le stim qui déclenche la rép, ^ comment ê-il détecté ? Comment ontogenèse affecte-t-elle compo ? Quelle ê la relation entre gène ^ compo • Et au lvl de pk ça se produit (pour l'évolution) : Quelle ê la f(x) du compo, en ce qui concerne survie ^ repro ? comment compo a-t-il évo au cours de la phylogenèse, pk a-t-il évolué comme ça ?

7. Comment décrire, en le rapportant aux concepts appropriés, le comportement des mouches téphritides, qui évitent la prédation par les araignées salticides, en les imitant en quelque sorte? Est-ce vraiment de l'imitation? Comment expliquer l'évolution de ce comportement? Et comment expliquer le fait que les salticides, génération après génération, continuent à se "laisser berner"?

Le comportement des mouches téphritides qui consiste à imiter les araignées salticides a pour conséquence d'éviter la prédation. Ce comportement s'est développé à la suite d'une pression de sélection qui s'est exercée sur ces mouches et qui les a conduit à « ressembler » physiquement aux salticides. Celles qui accidentellement avaient marquages s/ ailes qui les faisaient ressembler un peu à des salticides étaient moins chassées (et dc pouvaient + se reproduire). Pression de sélection (prédation) : mouches étaient porteuses de mutations les conduisant accidentellement à avoir un mode de marche ressemblant un tout petit peu au display territorial des araignées étaient en moy moins chassées, donc se reproduisaient +. salticides génération après génération continuent à se laisser berner : E conflit d'intérêt () mouches ^ araignées. Celles qui se font avoir ne devraient plus se reproduire et devraient disparaître. Pourtant, ce compo ê bénéfique aux deux espèces. Le fait de ne pas attaquer mouches (les laissant survivre) ê avantage aussi pour araignées, car ainsi elles ne s'attaquent pas aux autres araignées et ainsi les araignées qui respectent les territoires des autres araignées se reproduisent en moy plus. Conflit d'intérêt pertinent ê entre les araignées : a causé évolution d'un signal (territorial) entre araignées. Salticides continuent à exister en se laissant avoir : négligent mouches téphritides, mais pas un grd coût car il y a bcp d'autres espèces de mouches. o Si elles respectaient moins le display territorial, elles mangeraient plus de téphritides, certes, mais le coût des affrontements territoriaux (recevoir blessures) serait plus grd que bénéfice (manger)

18. Comment peut-on essayer de comprendre le choix fait par les membres d'un sexe (généralement les femelles) sur les membres de l'autre sexe? En particulier quand le sexe choisi n'apporte aucune ressource ?

Les deux sexes ont des buts bien ≠ en ce qui concerne la reproduction, il y a donc un conflit d'intérêts entre mâles et femelles : • Femelle se reproduit w/ but de donner naissance à des petits qui sont en bonne santé et qui auront à leur tour une haute probabilité de se reproduire (choisir manière discriminative le M qui maximisera leur propre reproduction) • M a pour but de répande le plus possible ses gènes dans la population (maximaliser reproduction) • Pour ce faire, F exercera un choix s/ partenaire ^ M s'accouplera w/ maximum de F. • En effet, on peut essayer de comprendre le choix fait p/ membres d'un sexe s/ membres de l'autre sexe, en prenant en considération le sexe féminin F font choix s/ partenaire M qd il y a en jeu des bénéfices matériels. Ds bcp de cas, M apporte qqch d'utile à la F, id p.ex. bouffe v encore investissement de sa part dans les soins ^/v défense des petits (v mê F elle-mê). Ainsi, M pourra s'accoupler w/ elle. Ex : Mouches empididés, M offre cadeau nuptial à la F (proie comestible), en prélude à l'accouplement : + proie ê grande, + femelle va mê temps à la manger ^ dc M aura + de proba d'inséminer la F. Le fait que F veuille avoir des petits en bonne santé, fait qu'elle cherche le meilleur partenaire possible, w/ bons gènes. Choix peut se porter s/ symétrie, qui ê signe de succès (bonne forme). Asymétrie = indice de perturbation lors du dév => signe faiblesse qui rend mâle moins propre à aider F En particulier quand sexe choisi n'apporte aucune ressource : • F exercent aussi choix d'un partenaire mê quand il n'y a pas de bénéfices visibles. • Ds bcp de cas, M n'aide pas et ne s'investit pas pour F. Seule chose qu'il apporte, sa semence. • Mê dans ces cas là, F montre des préf à l'égard de certains M. Hypothèses : • 1ère hypothèse : emballement évolutif (J. Alcock) : F préf un M comportant un trait qui indique un avantage en termes de survie ; F, en s'accouplant w/ M, produit des descendants qui héritent de leur père les gènes du trait attrayant ; les descendants ayant ce trait ont une plus grande fitness parce que justement ils possèdent ce trait jugé attrayant p/ F. De plus, F qui rép positivement à ce trait ont l'avantage de prod des enfants possédant ce trait. => gènes influençant choix partenaire et gènes de traits attrayants sont hérités en mê temps, ce qui donne lieu à un emballement • 2ème hypothèse : bon gènes : F favorisent M qui paradent w/ intensité et dont leur peau (plumage v fourrure) ê éclatante, psk ce sont 2 manif de santé et résistance aux parasites. => renseignent de manière honnête F s/ qualités génétiques des M

2. Quelles sont les 4 questions (en deux grandes catégories) que, selon Tinbergen, on doit se poser quant à tout comportement, et comment ont-elles influencé l'histoire de l'éthologie jusqu'à aujourd'hui? Comment ces deux catégories sont-elles fondamentalement liées l'une à l'autre? Illustrez par l'analyse d'un exemple de comportement vu en cours (pas la longueur des plumes de l'hirondelle ou les pleurs des bébés).

Les quatre questions de Tinbergen : Deux niveaux de compréhension du comportement : causes ultimes et proximales : phylogenèse, adaptation (f(x) pour la survie et reproduction), mécanismes et développement. Étude compo animal est devenue alors un programme unifié, w/ en son noyau l'hypothèse centrale que tout comportement doit ê abordé en se posant la question de : - Histoire évolutive, fonction biologique, mécanisme neural sous-jacent et histoire développementale Ces 4 questions visent donc : - l'analyse descriptive du comportement et/v de son ontogenèse - l'analyse des causes immédiates (mécanismes) du compo et/v de son ontogenèse - Analyse de la f(x) (rôle adaptatif) du compo, dans cadre de la théorie synthétique de l'évo, et, p/ conséquent - L'analyse des mécanismes influençant la phylogenèse du compo En cherchant bon nb de rép à ces questions au cours des 5 dernières décennies, éthologie a acquis le statut d'une discipline à part entière dans la biologie Causes proximales, questions, exemple : - Comment les muslces font-ils bouger les ailes ? qu'est-ce qui les contrôle ? - Comment Automeris sait-il qu'on approche ? - La nourriture d'automeris quand il était chenille influence-t-elle ce compo ? - Ce compo est-il hérité de son père ou de sa mère ? Causes ultimes, questions, exemple : - Que gagne automeris en se comportant ainsi, s'il gagne qqch ? - Ce compo a-t-il changé durant l'évolution ? - Si oui, quel était le précurseur de ce comportement ? - Si le comportement a changé, pourquoi ? Causes proximales, causes ultimes : Comment ? (proximales) | Pourquoi ? (ultimes, ou raisons évolutives) Causalité proximale (mécanismes) | Causalité ultime (fonctions, raison d'être) Cette bipolarisation a conduit à une scission relativement claire entre deux {} de chercheurs, de concepts et de méthodes relevant de deux champs différents Le pôle du comment : étude des mécanismes neurosensorimoteurs sous-tendent l'expression comportementale : disciplines asso à ce pôle sont àa neuroéthologie qui explique les compo naturels w/ les concepts et méthodes de la neurobio intégrative, ou éthologie cognitive Le pôle du pourquoi : étude des stratégies comportementales spécifiques des espèces, sélectionnées p/ process phylogénétiques en raison des f(x) qu'elles assurent, dans cadre des sciences de l'évolution en liaison w/ l'écologie et la biologie des populations. Exemple 1: Le cadeau nuptial de Hilaria sartor, une mouche • Chez cette mouche, le mâle apporte à la femelle, en prélude à l'accouplement, un "cadeau nuptial" constitué d'un ballon de soie entièrement vide • pour comprendre les Qs de la fonction de ce comportement et les raisons de son évolution (phylogenèse), on a fait recours à la méthode comparée. • Donc on a observé d'autres espèces de la même famille de mouches (les Empididés), afin de reconstituer la filiation de ce comportement en apparence absurde. • Kessel (1955) a mis en évidence une typologie des Empididés, avec 8 gradations dans le comportement de cour: chez certains espèces le cadeau est plus concret et consiste en une mouche comestible; chez d'autres espèces encore, un cadeau comestible est emballé dans un ballon de soie. Exemple 2: L'épinoche et l'agressivité territoriale • L'épinoche à 3 épines est un petit poisson qui a été étudié par Tinbergen. • Chez l'épinoche, le stimulus "ventre rouge" signale un mâle en période reproductrice, ce qui déclenche la réponse ritualisée d'agressivité territoriale du mâle voisin. Lorsqu'un mâle intrus y pénètre, le tenant du territoire se renverse tête en bas et esquisse des mouvements de creusage. Pour comprendre les mécanismes (causes proximales), et la fonction adapative de ce comportement, Tinbergen à utilisé la méthode d'observation et la méthode expérimentale. 1. En étudiant ce comportement territorial d'épinoches dans un aquarium placé dans l'encadrement d'une fenêtre, Tinbergen a remarqué que lors de l'apparition de n'importe quel stimulus rouge (e.g. camion postal), les épinoches l'attaquaient comme si c'était un autre mâle. 2. En outre, il a montré par des expérimentations avec des leurres (soit leurre de mâle réaliste mais non coloré, soit de représentations grossières mais colorées avec un "ventre" rouge) que les épinoches ont attaqué beaucoup plus vigoureusement le groupe de leurres grossiers mais colorés. • Ceci montre que c'est la couleur rouge, plutôt que la forme du corps ou l'odeur de l'autre mâle qui déclenchait la réponse d'attaque. La couleur est donc le stimulus signal qui déclenche un FAP (fixed action pattern) chez l'épinoche. Mécanismes explicatifs: • Au printemps, l'allongement des journées s'accompagne de changements hormonaux: les mâles quittent le banc de poissons et se mettent à la recherche d'un territoire. Une fois qu'ils en ont trouvé un, leur couleur change: le ventre devient rouge.

43. Pourquoi les femmes utilisaient-elles des corsets et des crinolines? Répondez en pensant aux causes proximales et aux causes ultimes. Faites les liens nécessaires avec l'animal.

Lèvres et courbes de F sont naturellement attractives pour H. Rendre ses lèvres plus grandes v plus vive, amplifier taille poitrine va attirer œil et rendre F plus séduisante. Rouge à lèvre et corsets sont astuces pour détourner à son avantage des signaux honnêtes servant en tps normal pour le choix du meilleur partenaire de reproduction, en utilisant stimuli supranormaux. Caractères de départ, rougeur de la bouche, RTH, sont en fait signes de bonne santé et fertilité. (lèvres pâles = signe anémie, RTH varie au cours de la vie des F ^ ê + bas lors de la période la plus fertile). À quoi sert rouge à lèvre ? Transfo (+ visible, + grand) d'un stimulus normal (bouche) en un stimulus supra-normal. => but étant : s'embellir en augmentant caractéristiques naturelles du signal Dilatation des pupilles : manifestation d'un arousal. À renaissance, F se mettaient dans yeux de la belladone : dilatant pupilles. => réaction physiologique qui sert de signal de communication. • Causes proximales (mécanismes) : utilisation de signaux de communication de façon voulue et dans le but de séduire v d'attirer l'attention, car individus masculins répondent à ces stimuli de façon positive. • Causes ultimes : stimuli à l'état naturel sont des signes de bonne santé et fertilité • Mécanismes ultimes (raisons d'ê du compo) : avantage au lvl de la sélection de partenaire. Compo visant à augmenter potentiel séduction sont favorisés au cours de l'évolution. Ne suffit plus d'ê en bonne santé. Il augmente donc plus les bénéfices que les coûts qu'il entraîne (on n'est plus forcément en très bonne santé) mais finalement santé n'ê plus un énorme pb de sélection dans pays occidentaux Succès augmenté auprès des H => succès reproducteur ↗ • Coucou : utilise son bec id signal supranormal. Espèces parasite : coucous qui forcent parents d'autres espèces à les nourrir énormément aux dépens de leurs propres petits en jouant s/ signal de bouche ouverte qui détourne le compo dans leur intérêt.

5. Qu'est-ce que la méthode comparée? Quels sont les types de questions auxquelles elle va permettre de répondre, et comment? Illustrez un de ces types de questions par des exemples liés au domaine de la sélection sexuelle, chez l'animal et l'humain.

Méthode comparée : consiste à comparer des espèces entre elles : cela apporte bien plus d'info que de les considérer isolément On l'a vu p.ex., en abordant la reconstitution, p/ Heinroth puis Lorenz, de l'arbre évolutif des Anatidés p/ la comparaison des parades nuptiales des ≠ espèces actuelles de canards. Puisque étholog aborde compo /s aspects fonctionnels et donc évolutifs, elle applique souvent méthode comparée lors du recueil de données qui permettront de tester une théorie. Espèces apparentées, v popu ≠ d'une mê espèce, sont obs de manière comparée, pour essayer soit de reconstituer l'évolution du compo, soit de cerner sa fonction, soit d'identifier les universaux propres à l'espèce. « Every time a biologist seeks to know why an organism looks and acts as it does, he must resort to the comparative method » (Lorenz) Types questions : Pk tel compo existe-t-il, à quoi sert-il ? Applique méthode comparée lors recueil données pour tester théorie Intérêt approche comparée : pas réduit à se fonder s/ imagination pour reconstit évolution des structures v compo : espèces actuelles nous éclairent s/ passé et étapes intermédiaires de l'évolution. Ex : comment les ailes ont-elles pu évoluer chez les insectes ? Logiquement dû ê d'abord bourgeons d'ailes. Évolution du vol chez insectes peut ê reconstituée p/ observation des ≠ formes de « semi-vol » qu'on obs ajd chez plécoptères. (certaines espèces ne volent pas, mais glissent s/ eau) Certaines espèces qui n'ont pas ailes entières se contentent de les utiliser en guise de voiles pour glisser plus vite s/ l'eau. Bourgeons d'ailes apparus p/ variation spontanée ont été conservés ^ progressivement modif encore p/ l'action de la variation et de la sélection naturelle. Méthode comparée dans éthologie humaine : supposition que si un compo se retrouve dans toutes les cultures, c'est qu'il appartient au répertoire biologique. P.ex. : Irenaüs Eibl-Eibesfeldt, éthologiste, a cherché à documenter, ds approche interculturelle, pièces de base qui forment ce compo. A montré existence dans V cultures du signal bouche-ouverte chez l'enfant : sert à désamorcer interactions d'aspect agressif qui la suivent. Ne s'agit pas d'une vraie agression, mais d'un jeu (méta-signal qui va modif le sens des signaux qu'il accompagne).

11. Dans l'esprit de bien des gens, admettre que les gènes influencent le comportement (chez l'humain) reviendrait à considérer qu'il y a un déterminisme génétique. Qu'en pensez-vous ? Argumentez, et illustrez d'un exemple parlant issu de recherches sur l'animal

N'existe aucun moy d'étudier directement le génotype responsable de l'émergence du compo sans que l'interaction w/ le milieu n'ait déjà fait sentir ses effets (ne serait-ce qu'au cours du dév embryonnaire). Ds vision naïve, on pourrait penser qu'un gène code pour un caractère : Or, plupart des taits sont les produits de l'interaction gènes-environnement au cours du développement. Cependant, méthodes parfois très sophistiquées permettent d'obtenir des indications s/ contenu génotypique des info qui régulent les émergences comportementales. Ex chez l'homme illustratifs Ex 1 : compo d'attachement chez ê humain semble ê légèrement coloré p/ facteurs génétiques. P/ questionnaire, chercheurs ont voulu connaître statut d'attachement au partenaire des H en f(x) du polymorphisme (de quelle séquence des allèles ils étaient porteurs. 1 : hétérozygotes ou 2 : homozygotes). Suivant les allèles, H avaient + de pb de couple v tendaient un peu moins à ê mariés. Ex 2 : étude s/ 1600 paires de jumeaux F a montré que chez F, infidélité ^ nb partenaires sexuels ê héritables à env 40%. Ces 2 traits sont corrélés à 47%. P/ contre, attitude envers infidélité n'ê pas influ p/ info génétiques, mais essentiellement p/ influences du milieu (et 70% du milieu non partagé, càd pas la famille). Ex 3 : On prétendait que rôles sexuels étaient entièrement déter socialement. En 1960 au Ca, suite à circoncision ratée, on a transfo un H en F p/ traitement chirurgical ^ hormonal commencé à 22 mois. On lui a fait porter robes et jouer à la poupée. Cas utilisé id preuve que rôle sexuel = construction sociale. En 1997, 2 chercheurs, Diamond et Sigmundson, retrouvent cette personne. Ses parents lui avaient dit la vérité à 14 ans, à son grand soulagement, car l'enfant avait tjr voulu porter des pantalons, jouer w/ H ^ faire pipi debout. Ils ont arrêté traitements hormonaux, enlevé seins. Plus tard, s'est marié à F ^ a adopté enfants. Celui qu'on brandissait id preuve de la détermination sociale du rôle sexuel se révélait juste le contraire. Lorsque chercheurs se sont amusés à mettre dans cage de singes vervets des voitures ^ poupées, ce sont les mâles qui se sont intéressés aux tures ^ femelles => poupées. Dans majo des cas, on constate une variabilité continue ds les caractères phénotypiques des individus (taille pour caractère physique, agressivité pour compo). Une part de cette variation ê due aux variations du milieu (taille dépend en part de la manière dont individu a été nourri) ; Une autre ê due aux variations génotype (chez humain, taille dépend en grd part de taille des parents biologiques). S/ partie héréditaire de la variabilité se fonde la technique de l'élevage sélectif. On fait se repro les individus situés à une extrémité de la distrib, ^ ceux situés à l'autre extrémité, génération après génération. ON appelle aussi cette méthode sélection artificielle v sélection génétique bidirectionnelle. Ce processus de sélection ê disjonctif : il va progressivement modif la forme de la distrib initiale en distrib bimodale Ex : Lynch a mesuré quantité de coton ramené p/ souris au nid en 4j : 13-18g. Lynch a croisé entre eux les « gros récolteurs » et les « petits récolteurs », ^ lignée ctrlée au hasard génération après génération. En 15 géné, a obtenu une lignée récoltant env 40g, l'autre env 5g. La lignée ctrl continua a récolter 15g. En se faisant repro entre elles les extrêmes, on a fini par obtenir des lignées dont les individus construisaient des nids de taille très ≠, ce qui indique que la motiv à amasser du matériel ê, au moins partiellement, /s ctrl génétique chez la souris. Études de l'inactivation du gène spécifique. Ds certains cas, il ê mntn possible d'agir direct s/ gènes v leur expression. Ex : J. Brown a inactivé gène. Les souris à fosB inactivé, une fois adultes, ne distinguent en rien de souris de type sauvage (taille, bilan hormo, capa senso, capa d'apprent, etc.) - sauf en ce qui concerne leur manière de s'oqp des petits. Souris F de type sauvage réunissent les petits /s elles pour tenir chaud. Si un petit rampe loin, elles le récup. Femelles mutantes (homozygotes pour fosB inactivé) ignorent totalement petits. À la naissance, examinent normalement petits, mais ensuite, ne s'en oqp plus. Ceci indique que gèns fosB participe à mise en place du compo de soins maternels. Protéine fosB produit des modif dans la région de l'hypothalamus qui met en marche le prog comportemental qui induit la F à récup ses petits. Il y a donc bien des exemples confirmant l'importance des gènes s/ les compo. Néanmoins, ne faut pas commettre erreur dualiste, ni consid que gènes puissent ê la cause unique des compo.

55. Certains chercheurs pensent que l'orgasme des femmes n'est qu'un corollaire accidentel, sans fonction, de celui des hommes. Mais on pourrait supposer au contraire qu'il a au moins deux fonctions, très différentes l'une de l'autre. Lesquelles? Argumentez, en vous rapportant aussi à l'animal.

Orgasme féminin serait une adaptation, pas un effet collatéral de l'existence de l'orgasme masculin Effectuer choix (cryptique : caché) : orgasme féminin qui se prod entre 1 min avant ^ 45 min après éjaculation provoque une plus grande rétention du sperme, dc orgasme provoque augmentation de fécondation. De plus, plus le partenaire F ê symétrique et + elle a de chance d'atteindre l'orgasme, certains partenaires seraient ainsi privilégiés lors de l'acte sexuel plus que d'autre, ce qui revient à manif une préf, en termes de reproduction, pour un certain type de partenaire, une adaptation liée donc à la sélection intersexuelle. (on cste que génétiquement, si on regarde l'évolution des gènes qui préside à l'orgasme, y a une indication qui montre une pression de sélection : Ex : on peut faire lien w/ poule qui ajuste le rejet de sperme en f(x) de la caractéristique de la hiérarchie des M : ici, ce serait l'inverse puisque l'orgasme selon le moment provoque une rétention de sperme plus élevé). Lié à l'attachement : L'ocytocine (hormone) ê fortement sécrétée durant l'orgasme (et activité sexuelle). Le fait de s'accoupler chez l'humain n'a pas seulement fonction de reproduction, mais ê aussi, indirectement relié à l'attachement aux petits. L'activité sexuelle favo l'attachement, l'attachement favo les soins aux petits ce qui veut dire que le sexe pour le plaisir a une f(x) biologique qui ê de favoriser l'attachement du couple o Ex : campagnol des prairies qui a + de vasopessine responsable de l'attachement

4. Que pouvez-vous dire, en faisant référence au contexte théorique approprié, du lien qui semble exister entre les visages des jeunes femmes et leur âge attendu de ménopause? Faites le lien avec d'autres données (chez l'humain ou d'autres animaux).

Sélection sexuelle : les hommes sont naturellement attirés pas les femmes plus jeunes => succès reproducteur, plus de fertilité. Pour les relations de type monogame, c'est la fertilité sur toute la durée de la relation qui est importante et le nb de descendants produits p/ le couple dépendra en partie du nb d'années avant la ménopause. Travaux de Jeanne Bovet, dans l'équipe de Michel Raymond, Montpellier : H préf visages de F dont la ménopause se produira probablement tard (âge ménopause héritable), p/ rapp aux visages F à espérance reproductive plus courte ! Description expérience : élaboration portraits normalisés de 68F entre 25-35ans qui pouvaient dire à quel âge leur mère avait eu sa ménopause. Portraits présentés à échant de 119 participants H, à raison de 30 paires tirées au hasard. Il était demandé aux H de choisir dans chaque paire, la F la + attirante. Application modèle linéaire mixte : a montré que âge prévisible ménopause à venir a un effet significatif s/ les préférences, mê quand les variables liées à la fertilité actuelle sont contrôlées : o + la ≠ d'âge de ménopause prévisible ê grde, + la photo d'une F ayant eu une mère à ménopause tardive ê choisie id plus attirante. Bovet et collègues : ont pu aussi vérif au passage que âge ménopause ê héritable, s/ 42F qui pouvaient dire âge ménopause de mère et grd-mère maternelle : coeff d'héritabilité était de 0.55. Liens : Criquet mormon : préf grosses femelles - car plus fertiles : pondent davantage d'œufs. Criquet mâle utilise donc un indice manifeste de fertilité pour effectuer son choix. Ceci nous aide à comprendre le fait que les H préf les F jeunes d'une manière qui n'est caricaturale qu'en apparence Apparence physique id indice : dans V cultures étudiées p/ Buss, H accordent + d'importance que F à apparence physique de leur partenaire. Supposition que apparence physique de F joue rôle d'indice auquel H répond Probable que concepts beauté soient partiellement liés à des adaptations relatives à la valeur reproductive.

14. Entre 1671 et 1720, au Portugal, la sex-ratio (rapport du nombre de naissances de garçons sur le nombre de naissances de filles) dépendait de la qualité de la récolte: les mauvaises années, la sex-ratio était d'env. 91/100; les bonnes, de 112/100. Comment l'expliqueriez-vous par référence à d'autres études sur l'humain et à ce que vous savez sur l'animal?

Trivers ^ Willard ont émit hypothèse que F en bonne santé devraient produire une + grd proportion de M ; p/ contre, si état physique de F décline, elles devraient favo prod de F. Émettent cette hypothèse, car, en effet, si M ê en mauvaise santé, va peu v pas se reproduire, ^ dc « faible succès reproducteur ». Tandis que F, va se reproduire indépendamment de son état. Dc si F en bonne santé, donnera naissance à + de M, car auront avantage reproducteur. Austad et Sunquist ont voulu prouver que cette hypothèse était fausse : Ont pris 40 opossums F ^ ont nourri 20 w/ 125g V les 2j. F non-nourries ont eu 256 petits, dont moitié était M. F nourries ont eu 270 petits et il y a eu 1.4x + de M que F T. Clutton-Brock et al. Ont mi en évidence s/ une île (de Rhum), que statut de mère cerf élaphe influençait la sex ratio. En effet, => corrélation positive entre statut social de la mère + naissance de M, alors qu'il n'y a pas d'influence du statut social s/ naissance de F. Donc, à l'aide de l'ex de l'opossum, on pourrait émettre hypothèse que lors de bonnes récoltes, y aurait + de M qui naîtraient, car auront meilleur succès reproducteur, alors que qd mauvaise récolte, moins de M v à peu près le mê nb de M que de F, car M auraient moins bon succès reproducteur Cela pourrait explique pourquoi lors de bonnes récoltes, la sex ratio était biaisée en fav des M (112 H pour 100 F) et lors de mauvaises récoltes, sex ratio biaisée en fav des F (91 H pour 100 F).

32. Quels arguments avanceriez-vous pour soutenir l'hypothèse de l'évolution des espèces? Quels arguments avanceriez-vous plus particulièrement dans le cadre d'un cours d'éco-éthologie?

a. Ressemblance anatomique () espèces b. Structure vestigiale (pk un animal serait apparu w/ organe/structure qui ne lui ê plus utile ?) c. Ressemblance embryologique () espèces d. Sélection artificielle possible qui donne lieu à new variétés e. Existence de fossiles, d'espèces qui n'existent + mais qui pourraient rappeler certaines espèces contemporaines, on peut mê parfois retracer une chronologie () divers fossiles f. S'il n'y avait pas d'évo, on n'aurait pas de pb de bactéries résistantes aux antibiotiques. Et si la bactérie, qui a un génome chimiquement semblable au nôtre, càd une séquence de nucléotides s/ un squelette de désoxyribose ^ phosphate peut subir des mutations ^ les transmettre, pk ce serait ≠ chez les autres détenteurs d'ADN ? • Éco-éthologie : si éthologie ê étude du compo et écologie étude de l'influence des facteurs biotiques et abiotiques s/ les organismes, alors éco-éthologie ê l'étude de l'influence du milieu (biotique = autres individus inter v intra-espèce et abiotique) s/ le compo ^ son évolution. p/ la même, c'ê l'étude des conséquences du comportement s/ la fitness. o Le fait que les espèces soient tjr adaptées à leur environnement alors que celui-ci change montre qu'elles subissent des pressions qui mènent à la survie différentielle des individus suivant des variations génétiques qui leur apportent un avantage quelconque qui se traduit p/ une augmentation du potentiel reproducteur p/ rapport aux autres individus ^ qui peuvent ê transmises à la génération suivante, augmentant leur fréquence relative au sein de la population • Convergence v prédiction de caractères suivant les conditions ou le milieu : en se basant s/ les mécanisme de l'évolution Ainsi : qd on comprend la mise en place de l'infanticide p/ le M dans les popu de certaines espèces de mammifère, on peut théoriser que : si les conditions sont inversées entre les sexes, on pourra trouver un infanticide p/ la F, pour les mê raisons. o C'est donc que le raisonnement est valable Syllogisme de Trivers et Willard : postulat à part de la théorie de l'évolution, et qui, malgré son caractère contre-intuitif a été vérifié p/ plusieurs expériences, dont certaines dont le but premier était de la réfuter o Le fait qu'on puisse prédire des résultats expérimentaux à partir de la théorie tend à prouver qu'elle ê valable.

30. Donnez deux explications alternatives, potentiellement correctes toutes deux, à la longueur démesurée du cou des girafes. Une des deux explications devrait vous faire faire une supposition sur la taille des girafes mâles versus femelles. Qu'est-ce que vous en tirez concernant le comportement des humains? Pourquoi?

• 1ère explication sélection naturelle : id nous l'apprend biologie moderne, chgmnt se prod non durant la vie de l'individu en f(x) d'une force dirigée vers un but, mais bien avant (durant reproduction des cellules reproductrices - ovules et spermatozoïdes - des parents de l'individu considéré, ^ ensuite lors de fécondation) ; de + ces chgmnt ne sont pas orientés vers but ; sont aléatoires, ^ donnent simplement naissance à la variabilité des individus (en ce qui concerne girafes, il nâit aléatoirement des girafes qui seront plus v moins grandes à l'âge adulte). D'autre part, chgmnt qui se prod ds l'individu en raison de l'influence du milieu (apprentissage p.ex.) ne sont pas transmis aux descendants. • 2ème explication, reproduction sexuelle : conceptuellement, compét () M ne fait pas de pb car elle ê assez évidente ; qu'on pense aux affrontements () M chez cerf v au brossage de la spermathèque chez la libellule. D'autres combats sont d'ailleurs autrement + spectaculaires ^ dc visibles, id ceux de lions qui s'affrontent, v + inattendus, ceux (rarement observés), de girafes M s'affrontant aussi pour une F. o Notons que certains chercheurs font l'hypothèse que : cou démesuré de la girafe n'ê pas dû uniquement aux pressions de sélection en lien w/ l'accès à la nourriture, mais aussi à d'autres (principales peut-ê) qui seraient en lien w/ compétition entre M. o L'{} cou+tête des girafes M ê en effet bien plus long et lourd que celui des F, il croît durant toute la vie des M, alors que celui des F cesse de croître quand elles ont 10 ans. M qui sont meilleurs à ce combat de têtes ont meilleur accès aux F. Pour les humains, on peut retenir qu'une modification physique peut ê perçue p/ ces deux hypothèses : o Celle de sélection naturelle mais aussi sexuelle (ex. léger dimorphisme H/F) • Comportement humain : H sont plus violents que F, surtout envers d'autres H. Dimorphisme comportemental qui s'ê sûrement mis en place p/ le fait d'une pression de sélection sexuelle née d'un conflit entre H pour « l'accès aux F », et qui serait donc resté p/ la suite. o Faut rappeler que : sociétés préindustrielles étaient polygynes à 83%. Compétition () H était donc très importante, car suivant son statut, la fitness de l'H pouvait grandement variet, alors qu'elle était plutôt stable chez la F. o En plus d'un compo + violent : on remarque également d'autres signes id la force, les dimensions, les effets de la testostérone s/ le dév de l'organisme, des capacités cognitives particulières Pour augmenter sa fitness : H doit donc avoir un statut qui lui permet de maintenir une crainte chez ses potentiels concurrents. Id son bénéfice dépend directement de ce statut, il sera plus enclin à prendre des risques, parfois coûteux, pour pouvoir le maintenir/l'augmenter On remarque également : cette ≠ de comportement chez les enfants. Les petits garçons passant + de tps en jeux compétitifs, v à chercher qui ê le plus fort, établissant dès le plus jeune âge des relations de dominance hiérarchique.

41. On oppose souvent hérédité et apprentissage. Qu'en pensez-vous? Argumentez théoriquement puis appuyez par un exemple.

• Apprentissage lui-mê ê instinctif : souvent, chez animal, ce qui doit ê appris, ^ comment, ê contrôlé (pré-programmé) p/ infos génétiques. Lorsqu'on suppose hérédité et apprentissage, on oppose finalement compo inné du compo acquis. Cependant, rien n'est aussi simple, car tout compo ê dû à la fois à des facteurs génétiques ^ à des facteurs environnementaux, ^ que dév de l'individu procède d'une interaction perpétuelle entre les deux. • Lorenz, apprentissage précoce - imprégnation : s'agit d'un apprentissage ne nécessitant aucun renforcement (d'où idée de pré-programmation de l'apprentissage), qui a une période sensible (empreinte a lieu durant période déterminée), ^ qui ê irréversible (résulte d'un lien de très longue durée). o C'ê un apprentissage rigide mais dont cette rigidité ê inscrite dans les gènes. o Il s'agit bien du mécanisme d'apprentissage qui ê précodé, mais pas l'info qui sera acquises ! o On voit bien l'interaction () fact génétiques ^ environnementaux, car apprentissage ê dirigé p/ facteurs génétiques, mais modèle mê de l'apprentissage résulte de l'environnement • Exemple colverts : à la naissance, jeunes suivent parents de très près, ce qui ê important pour assurer leur survie ^ leur bon développement (valable aussi pour les jeunes de bcp d'autres espèces). • Cependant : Lorenz a noté que compo qui résulte de l'imprégnation ê inné (suivre qqn chez colverts p.ex.), mais que l'objet de l'imprégnation ne l'ê que grossièrement : colverts peuvent se mettre à suivre un modèle grossier de canard, un ê humain ou mê une boîte qui s'éloigne lentement ! => imprégnation filiale (celle qui fait suivre un « parent ») • Animal a donc une prédisposition à reconnaître « le modèle à suivre », ^ ceci, sans expérience préalable, ce qu'il montre qu'il s'agit bien d'un apprentissage qui ê déterminé génétiquement. Néanmoins, info qui doit ê acquise (modèle à suivre), n'ê pas précodé, puisque colvert pourrait suivre la première chose qu'il voit lorsqu'il éclot. • Imprégnation filiale : détermine également compo sexuel de l'animal adulte (imprégnation sexuelle). La différence entre ces 2 ê la période sensible : ê + tardive et prolongée pour l'imprégnation sexuelle. o Pour ce qui ê des causes ultimes (pourquoi, fonction) : il s'agit pour l'imprégnation filiale, d'assurer la survie du petit ^ l'investissement des ressources dans le bons petit. o Imprégnation : ê une sorte de stratégie de compromis dans dév individuel : allie souplesse de l'apprentissage à des mécanismes de vérouillage qui en garantissent la sécurité. Petits étant vulnérables à la naissance, ê dc nécessaire d'avoir cet apprentissage programmé dans gènes, les aidant ainsi à guider leurs premiers compo sans risque. o Imprégnation sexuelle : Lorenz pensait que cause ultime était éviter l'hybridation. Aujourd'hui, on lui donne fonction plus générale, dans le sens que l'imprégnation sexuelle ê un des mécanismes proximaux de reconnaissance des apparentés, ce qui ê dc crucial pour la bonne reproduction de l'espèce !

35. Les Hadza, chasseurs-cueilleurs de Tanzanie, montrent une préférence plus marquée pour les visages symétriques (de l'autre sexe) que les Européens. Quelle hypothèse feriez-vous pour expliquer cette différence entre Hadza et Européens? Liez votre explication aux grands mécanismes vus en cours.

• Asymétrie fluctuante : indice de perturbation lors du développement (perturbation de l'homéostasie développementale qui empêche le développement égal des deux moitiés du corps). Elle pourrait donc ê un indice de faiblesse rendant le M moins propre à aider la F. • Chez humain : nbx facteurs environnementaux défavorables - y compris infections p/ parasites - produisent asymétries développementales, ^, en terme de beauté, visages asymétriques sont généralement jugés moins beaux. • Procédure habituelle : présenter paires de visages dont l'un a été manip pour ê + symétrique, ^ obliger sujet à faire choix (choisir visage qui lui plaît le +). On a aussi montré que cette préf pour la symétrie n'est pas simplement un biais perceptif (préf générale pour éléments symétriques), car si on inverse les visages (cheveux en bas), il n'y a plus de préférence pour la symétrie. o Le fait que la symétrie des visages se retrouve également (^ mê en + fort chez les européens) dans une culture isolée de chasseur-ceuilleurs, cela montre que la symétrie ê un indice de résistance aux parasites et de force, et cela ê d'autant plus important lorsque conditions de vies sont plus difficiles (indice de survie).

31. Pourquoi les bébés humains (de moins d'une année) pleurent-ils? Faites également le lien avec la question de l'attribution optimale de l'investissement parental.

• Causes proximales (mécanismes) o Décharge de la tension physique et émotionnelle o Également que les pleurs sont dus chez jeunes bb à facteur de maturation o La plupart des pleurs sont causés p/ faim, douleur v inconfort physique et par fait d'ê laissé seul • Fonction o Réponses maternelles aux pleurs suggèrent que f(x) des cris des bb ê de produire un compo de soin p/ le parent. Les pleurs forment un signal gradué (pas « tout ou rien ») ^ communiquent des info s/ l'état actuel ^ les besions, mais aussi s/ la santé à long terme ^ la viabilité o Pleurs ont également pu servir à identifier les enfants, p.ex. lors de vien en grp • Ontogenèse (développement) o 3ème mois : pleurs x/- fixe : pic à 6 semaines w/ aussi un cycle diurne d e pleurs w/ + de pleurs en début de soirée On pense que les 3 premiers mois pleurs traduisent surtout états internes o Vers 7-9 mois : autre chgmnt apparaît, lié aux acquisitions cogn ^ affectives ; en mê tps, signification fonctionnelle du pleur change o Vers 9-12 mois : peur des inconnus ^ séparation avec la mère produit des pleurs Pleurs anticipent séparation, conjointement w/ acquisitions motrices ^ cogn (il peut s'éloigner, ^ imaginer les conséquences de l'éloignement) o Lorsque développement du cortex préfrontal fait émerger les actions planifiées : impossibilité d'atteindre un but devient une des raisons de pleurer • Phylogenèse (évolution) o Signal supplémentaire visant à maintenir contact mère-enfant dans des condition v l'olfaction ^ la vision n'étaient pas adéquates. Signal acoustique a l'avantage d'ê utilisable de jour id de nuit et d'avoir une assez grande portée. Caractéristiques acoustiques des pleurs ont propriétés semblables à d'autres cris d'alarme chez l'animal, qui rendent difficile leur localisation p/ un prédateur o Chez récepteur (parent) : mécanismes assortis permettent discrimination des divers degrés du signal (urgence) : pleurs contiennent information de degré mais peu d'info symbolique (mères ne distinguent pas situations, mais degrés) o Similarité w/ d'autres espèces qui nous laisse supposer une histoire évolutive commune o Signal honnête de l'état de l'enfant, du moins ds la 1ère année car signaux coûteux Les bb, p/ leurs caractéristiques (chez mammifères, grosse tête relativement au corps, formes + arrondies que chez adulte, mouv désordonnés) sont des stimuli susceptibles de déclencher des compo parentaux chez individus qui sont, p/ leur état actuel, prédisposés à réagir à ces signaux (réactivité hormonale peut avoir un effet car elle réagisse + lorsque celle-ci augmente). • Prédisposition maternelle : expérience montre que chez la femme de manière + fine encore qu'il y a pour les femmes un effet de l'attitude vàv d'un bb, alors que H,eux, sont indifférents à l'attitude montrée à la F vàv du bb o Seuil de tolérance : augmente pour les parents génétiques et les rendent + à même à avoir des compo de care-giver. On trouve chez les parents non-génétiques un seuil de tolérance plus bas que celui des parents génétiques

47. Il est question parfois, dans le cours, de "certitude de paternité". En quoi cette terminologie est-elle trompeuse et à éviter? Pour s'exprimer correctement, par quoi faut- il la remplacer? Dites ce que cette "certitude" (exprimée donc autrement) a influencé au cours de l'évolution.

• Certitude de paternité : fiabilité concernant la déduction qu'un M peut donner au fait qu'il ê effectivement le père de l'enfant qu'il pense ê le sien. Ne s'agit pas d'un process cogn visant à s'assurer au fond de soi qu'un enfant ê bien le sien, mais d'une probabilité de transmission de gènes. o Chez espèces dont fécondation ê interne : F ê 100% sûre d'ê la mère alors que père, suivant cb de M se sont accouplés w/ la F, voit ses proba d'ê le vrai père diminuer en f(x) du nb de concurrents directs. o Terme de certitude mal choisi : du fait qu'il implique souvent l'idée de « sentiment qu'on se fait de la réalité d'un fait » v encore de « fait v opinion s/ lesquels on n'a aucun doute » d'après Larousse. Alors qu'il ne s'agit pas de doute au lvl de l'individu, mais de conséquences au lvl de l'investissement, du fait que les bénéfices impliqués p/ certains compo sont en fait pondérés p/ la proba qu'ils soient en effet des bénéfices ^ non des coûts inutiles. • Asymétrie dans la fiabilité d'affiliation : a avantagé la mise en place de compo de soins parentaux au lvl maternel, alors que M ont été favo dans leur choix de ne « pas risquer » un investissement parfois inutile. Les compo parentaux des M ont eu + de chance de ne pas ê transmis dans la génération suivante, s'ils n'étaient pas les pères. • A aussi donné lieu à la mise en place de stratégies pour augmenter cette certitude. o Maximiser les succès de l'accouplement : compétition spermatique => pénis en brosse, testicules + gros, motilité ^ vitesse des spermatozoïde, régulation p/ rapp à la proba d'infidélité o Surveillance de la partenaire : empêcher la partenaire d'avoir l'occasion de s'accoupler w/ d'autres M, suivre la F partout (pdt sa période féconde), compo de jalousie Et au lvl de la F pour protéger ses petits : confusion de paternité => ovulation cryptique, petits semblables à la naissance

51. Si vous deviez défendre la thèse qu'il y a effectivement des influences biologiques sur le comportement des humains, comment argumenteriez-vous du point de vue théorique, et ensuite quels exemples choisiriez-vous?

• Comportement : manière d'ê, d'agir, de réagir des ê humain, d'un grp, des animaux ; attitude, conduite. (Larousse) | {} des réactions observables chez un individu placé dans son milieu de vie et dans des circonstances données Il y a forcément des influences biologiques s/ le comportement humain, id pour n'importe quel ê vivant ! • Évolution : H ê ce qu'il ê ajd car lui ^ ses compo ont dû ê soumis à sélection naturelle, ^ seule chose qui puisse permettre évolution au fil des générations p/ héritage d'info, ce sont les gènes. Mê si compo humains apparaissent trop complexes pour ê codés, V compo a nécessairement une base innée sans quoi il ne survivrait pas au sein de la population. V ce qui ê appris au cours de la vie repose s/ une capacité d'apprendre, dont certains gènes peuvent influencer la facilité v la rapidité de certains processus, en changeant des méthodes de plasticité synaptique dans le cerveau, en améliorant des transmissions () certaines aires, en augmentant la quali des info perçues p/ les sens. Il y a énormément de possibilité ^ la proba de l'apparition de certains compo chez un individu dépend aussi de sa capa à les voir se réaliser. • Universaux propres à l'homme : ê permis de supposer que si un compo se retrouve dans V les cultures humaines, mê les + isolées, ê qu'il appartient au répertoire biologique. o Ex : signal bouche ouverte enfant, qui sert à renseigner s/ le fait que le geste fait en parallèle n'ê pas une vraie agression, mais un jeu (aussi chez chimpanzé) o FAP : également des compo très stéréotypées qui sont sûrement /s ctrl biologique. Chez homme : bâillement, salut p/ haussement sourcils, ^ plusieurs chez bb => orientation vers mamelon, succion, marche auto 1 mois) • Différences H-F de compo et adéquation w/ théories de sélection : ≠ de compo H-F tendent à prouver qu'ils ont subi des pressions de sélection ≠ ^ qu'ils ont dû s'adapter de manière différentielle. Or, s'il y a eu adaptation, il faut bien que gènes y soient pour qqch. o Ex : fait que compo violents plus marqués chez H résultent de pression de sélection sexuelle ^ de leur conflit () M pour accès aux F. • Les ≠ préférences qu'ils montrent s/ choix partenaires a aussi base génétique, puisqu'on les retrouve d'ailleurs dans toutes les cultures humaines. Parfois, sont mê arrangées p/ rapp aux déclinaisons de la population. V les humains préf partenaires symétriques, F préf H + âgé et inversément. H montrent également préf pour RTH bas, ^ ce différemment suivant les culture, mais il a été montré que préf était maximum pr ration ds la popu en question corresp au creux de fertilité maximum de la F. • Les études menées en utilisant méthode des jumeaux : o Méthode des jumeaux : comparer part génétique et part environnementale, voir les ≠ () jumeaux monozygotes v faux jumeaux (dizygotes). Méthode très utile pour études s/ H. Pour étudier les sources de ≠ individuelles de phénotype, des sujets qui ont un lien génétique sont nécessaires ^ jumeaux présentent soit un génome identique, soit des génomes proches mais pas identiques. P/ contre, ptg tous deux des environnements familiaux semblables. Donc si jumeaux MZ présentent + grd similitude () eux que DZ, sûrement qu'il y a influence génétique en cause. On peut ensuite générer une estimation de l'héritabilité : proportion de la variance totale du caractère qui peut ê expliquée p/ la variance génétique. « Pour estimer l'héritabilité d'un caractère, on emploie souvent la méthode des jumeaux [PLO-105]: Si la corrélation (pour un certain caractère mesuré) entre vrais jumeaux est la même qu'entre faux jumeaux, c'est que l'héritabilité est nulle. Si de vrais jumeaux ont une corrélation de 1, et de faux jumeaux une corrélation de 0.5, l'héritabilité est de 100% (i.e. dans ce cas-ci, les variations génotypiques entre individus expliquent entièrement (au sens statistique) les variations phénotypiques. Puisque des vrais jumeaux sont génétiquement identiques, et que des faux jumeaux ne le sont (en moyenne !) qu'à moitié, la différence entre les deux corrélations correspond à la moitié de l'effet génétique. Ainsi, l'héritabilité de la taille chez l'humain est de 90%, ce qui veut dire qu'il doit y avoir une différence de 0.45 (la moitié de 0.9) entre les corrélations de taille entre jumeaux vrais et entre faux jumeaux. » • Ex : opinions politiques héritables : étude menée s/ jumeaux pour établir part de variation génétique influençant idées politiques. Lorsque données viennent de jumeaux vivant encore ds environnement familial, par d'héritabilité semble nulle, jumeaux MZ et DZ présentant corrélations identiques. Mais, dès que jumeaux sortent du cadre, ≠ de dessinent de manière ≠ entre DZ et MZ. Environnement familial influence grandement idées politiques

36. Comment fait-on pour dire que les blessures infligées à la femelle coléoptère Callosobruchus maculatus par le pénis épineux du mâle ne sont pas une adaptation, mais que le pénis épineux lui-même en est une? Et, en l'occurrence, quel est le contexte théorique dans lequel s'inscrit cette adaptation? Elaborez.

• Compétition spermatique : élimination de la concurrence o Dans espèces v femelles s'accouplent w/ plusieurs M, il peut y avoir ce qu'on appelle « compétition spermatique » => compétition pour la fécondation () les gamètes des ≠ géniteurs M potentiels. Cette compét suppose que les spermatozoïdes vivants de plusieurs M peuvent ê présents ^ vivants {} dans la F : ceci se produit facilement chez les insectes v le sperme est stocké à long terme dans une spermathèque ; chez les mammifères, spermatozoïdes restent vivants dans la F durant qlq jours ; chez ê humain, on serait ainsi ds cas de « sperm competition » si une F avait des rapports sexuels w/ 2 v plusieurs H en l'espace de 5j => ce qui arrive plus souvent qu'on pourrait le croire. o Ex : libellule demoiselle à aile noire, bite en brosse du mâle qui nettoie 90-100% des gamètes déjà présentes dans le spermathèque de la F. On comprend que cette opération de nettoyage augmente la proba que le M soit bien celui qui féconde la F, donc augmente ce qu'on appelle la certitude de paternité • Ex coléoptères callosobruchus maculatus : pénis M blesse organes génitaux de F lors de la ken. Blessure de la F n'apporte rien ni au M, ni à la F. Par contre : on comprend mntn que les épines de l'organe du M augmentent son succès reproducteur (proportionnellement à leur longueur) lorsqu'il arrive en second pour féconder une F. Blessures : en fait sont des dommages collatéraux. Ceci a été montré dans une étude expérimentale : plus les épines sont longues, + grande ê la proportion d'œufs qui sont fécondés p/ le 2ème M. Si blessures se suffisent à elles-mê : comparaison de la descendance () M w/ épines et M sans épines, mais ds contexte de non-compétition => mê chose o Longueur des épines apporte un avantage, alors que blessures seules non.

22. Analysez des comportements (ou, plus généralement, des mécanismes) humains qui pourraient être liés à la question de la certitude de paternité. Faites des liens avec ce que vous savez sur l'animal.

• Compétition spermatique chez H o Ex : étude Baker et Bellis : + on reste w/ son partenaire, - y a risque infidélité. Donc + risque d'infidélité ê grand, + y a de spermatozoïdes éjaculés. o Ex coq domestique : + y a de concurrents présents pdt accouplement, + nb de spermatozoïdes éjaculés augmente • Mate guarding : jalousie : résultat comportemental de jalousie serait d'empêcher partenaire de commettre infidélité v diminuer risque de tentation • Mate guarding : mariage : fournit possibilité à H d'avoir contacts sexuels répétés w/ F et donc augmenter ses chances d'ê le père / surveillance de la fidélité de la F p/ la famille du mari • Certitude de paternité : augmente implication du père dans éducation des enfants et diminue la maltraitance o Ex Hadzas : ethnie nomade v le divorce ê commun, H rapportent moins à manger si leur famille ê recomposée que si elle est biologique o Ex Australie : Prédiction la + évidente d'une interprétation darwinienne des motifs parentaux : parents de substitution tendront généralement à ê moins concerné p/ bien-ê des enfants que parents naturels. Investissement parental ê une ressource précieuse donc sélection de ceux qui ne la dilapident pas w/ enfants qui ne sont pas les leurs (pas valable pour parents qui ont décidé d'adopter un enfant) Tendance 40x plus grande à la violence envers enfants ds familles recomposées • Au canada, étude Daly et Wilson enfants d'âge préscolaire : risque d'infancitice 40-100x plus grand d'ê tués p/ beaux-parents que p/ parents biologiques Étude en australie 2006 : enfants non-biologiques sont 2 à 15x plus souvent victime de noyades • Enfants non-biologiques semblent ê moins bien surveillés ou protégés • Lien avec les animaux o Infanticides p/ M chez animal ( 4 hypothèses de S. Hardy donc 1 non-adaptative) Pathologie (compo non adaptatif Exploitation (cannibalisme, usage d'otage) Compétition pour ressource (moins de jeunes en compét, éviter qu'un investissement parental soit détourné) Sélection sexuelle • Ex langur gris : vis en bandes unimâles => coups d'états p/ une bande de M surnuméraire vivant hors de la bande => infanticide • Ex lion : chasse M d'une bande (pride) et tue les petits de moins de 9 mois • Idem pour babouins chamca o Infanticide Coûts : implique risques de blessure (p/ femelle qui défend ses petits) Bénéfices : F à nouveau fécondable (ovule à nouveau)

26. Dans un cadre darwinien, que peut-on dire du choix de partenaire, et plus généralement des stratégies sexuelles, chez l'humain? Reliez à l'animal, et discutez aussi ce qui est unique aux êtres humains.

• Darwin a décrit 2 éléments-clés sélection sexuelle : o Compétition entre M pour accès aux F | choix des M effectué p/ F • En cette raison, souvent préf des F ^ intérêts des M divergent, ^ ce conflit d'intérêts a mis en place évolutivement les stratégies pr les M qui veulent forcer les F à se reproduire w/ eux de manière non-discriminative, et F qui veulent éviter ça pour pouvoir choisir. • Darwin avait constaté lien () dimorphisme sexuel et polygynie : espèces v caractéristiques physiques M divergent bcp des F sont souvent polygynes. Ex : phoques gris sont monomorphiques et monogames ; à l'autre extrême, éléphants de mère sont très dimorphiques et très polygynes (harems de 40 F pour un M). Ê humains sont légèrement dimorphiques, M ê un peu + grd ^ + lourd. D'où hypothétiquement légère tendance à la polygynie chez humain. Choix des F : poules éjectent immédiatement alors que M les monte encore, + souvent le sperme d'un individu moins dominant. Lorsque bénéfices matériels sont en jeu, choix des F ê + facile à comprendre Ex : mouche Bittacus apicalis M offre cadeau nuptial à F. F refusent de ken M si proie pas comestible. + cadeau ê long à manger, + M a de tps pour s'accoupler. Asymétrie id indice de faiblesse : diamant mandarin, F préf M symétriques. Lorsque tous en cage, F passent + de tps près des M aux ornements symétriques. Asymétrie fluctuante ê un indice de perturbation de l'homéostasie développementale qui empêche dév égal des deux moitiés du corps. Pourrait donc ê un indice d'une faiblesse rendant M moins propre à aider F. Chez diamant mandarin, construction du nid, incubation (2sem) et approvisionnement des petits sont faits p/ M et F : M fait donc un investissement actif qui nécessite d'ê en bonne forme. Chez humain aussi, nbx facteurs environnementaux défavorables - y compris infections p/ parasites - produisent asymétries développementales, et, en termes de beauté, visages asymétriques généralement jugés moins beaux. Étude w/ choix forcé : a montré que préf pour symétrie n'ê pas simplement due à un biais perceptif (préf générale pour éléments symétriques), car si on inverse visages (cheveux en bas), il n'y a plus de préférence pour le plus symétrique P/ effet sélection naturelle, humains F ont dév instruments de choix permettant en moy de choisir leur partenaire M ayant les caractères les plus propres à augmenter la fitness de leurs enfants, assurer leur survie ^ leur passer des caractères optimaux pour le mê but ^ pour leur reproduction. Étude D. Buss (1989) : enquête multiculturelle de >10'000 personnes ds 37 cultures du monde entier pour étudier préf de l'humain. F souhaitent que leur partenaire soit : intelligent, gentil, ait de la compréhension, ptg leurs vleurs, soit semblables à elles en attitude, personnalité ^ croyance religieuse. F privilégient ressources (investissement économique). Ds V cultures étudiées, quel que soit 6tm politique, grp racial, appartenance religieuse ^ type de mariage, F donnent en moy 2x + de valeurs que les H aux bonnes perspectives financières du partenaire. o Résultats : vont dans le sens d'une base évolutive /s-tendant la psycho du choix d'un partenaire chez l'ê humain. Id nos ancêtes F avaient elles aussi à supporter les conséquences de la fertilisation int, de la gestation très longue ^ de la lactation ensuite, celles qui effectuaient le bon choix de partenaire avaient un fort avantage s/ les autres. • Pour les f, important : statut social élevé de H (lié aux ressources), ds presque V les cultures, H un peu plus âgés d'env 3½ ans. Âge ê aussi corrélé w/ ressources ^ dans sociétés de chasseurs-cueilleurs, également aux dons de chasseur qui sont maximales dans la trentaine • H préfèrent : F plus jeunes. + H ê âgé, + préf les F d'autant + jeunes que lui. Potentiel reproducteur de F diminue w/ âge. Courbe d'espérance reproductive de F augmente jusqu'à 20 ans et décline ensuite • Ds V cultures : H accordent + d'importance que F à apparence physique (caractéristiques physiques peuvent ê indicateurs de santé). On pense communément que standards de beauté sont acquis graduellement p/ transmission culturelle ^ donc qu'il faut aux enfants un certain temps pour les acquérir. o Or, J. Langlois et coll. (1990) : ont montré que déjà à 2-3 mois, bb regardent + longtemps photos de visage de F consid id beaux o D. Singh (1993) : H devaient juger attrait silhouettes F qui variaient en terme total de graisse corpo ^ en terme de rapport entre tour de taille ^ hanche (RTH). H préfèrent F « moyennes » en terme de graisse corporelle totale ; mais ; indépendamment de cela, ils expriment une nette préférence pour RTH plus bas, correspondant à un physique v la taille ê bien marquée : taille de gûepe. RTH : indicateur de statu reproducteur (fertilité). F w/ RTH bas ont une activité endocrine pubertaire + précoce ; F w/ RTH élevé ont plus de peine à devenir enceinte. RTH ê indicateur de risque de maladies id diabète, hypertension, risques d'attaques cardiaque v cérébrale

52. Que montre l'expérience de Belyaev sur l'élevage des renards? Pourquoi est-ce important de démontrer ce genre de chose? Quelles autres méthodes sont utilisées pour montrer le même genre de chose? Qu'en tirez-vous s'agissant de l'être humain?

• Expérience Belyaev : en sélectionnant des renards p/ rapport à leur phénotype comportemental , il a réussi à générer lignée de renards domestiques, qui n'a plus peur de l'H Cette expé prouve que le compo de méfiance vàv de H du renard a une base génétique, ^ qu'il ê possible de la contre-sélectionner pour effacer le compo. Grp ctrl a d'ailleurs été élevé ds les mê conditions mais sans sélection, pour vérif que ce n'était pas le fait de cotoyer des humains s/ plusieurs générations qui changeait le compo, ce qui n'était pas le cas. • Cette technique de reproduction sélective des individus, élevage sélectif, sert à mettre en évidence le rôle des gènes dans le compo. ce qui ê important pour le comprendre puisque gènes jouent rôle dans mise en place, de la mê manière que environnement a son rôle. o « en réalité, plupart des traits sont les produits d'une interaction gènes-environnement extraordinairement complexe au cours d u développement ^ plus tard dans la vie de l'organisme ». • Travail de Belyaev a également prouvé que compo concernaient plusieurs gènes, puisque s/ sa sélection d'un seul aspect qui était le degré faible de peur face à l'H, d'autres caractères se sont trouvés sélectionnés en mê tps, id cractères hormonaux (sérotonine élevée, moins de corticostéroïdes, morphologie des surrénales, deux oestrus/ans au lieu d'un, ce qui ê trouvé chez les chiens écalement, oreilles pendantes, queue relevée). • D'autres méthodes sont utilisées pour mettre en évidence la part des gènes dans les compo : o Ctrl de l'environnement de développement (milieu identique v isolation) : si ≠ continuent à apparaître au lvl de deux lignées alors qu'elles sont en environnement identique, c'ê que les sources d'info sont ≠ et donc codées p/ génome et héritable o Croisements entre lignées et influences s/ compo observé : abeilles hygiéniques v chants des grillons intermédiaires, vecteur de migration intermédiaire) o Manipulations génétiques (inactivation ou surexpression d'un gène) pour voir l'effet s/ le compo : FosB et récepteurs à la vasopressine o Méthode des jumeaux : permet de faire des conclusions s/ l'héritabilité d'un caractère chez l'humain. On compare des jumeaux MZ et DZ, s'il y a une ≠ c'ê que la partie génétique a un rôle, puisqu'ils ont sinon le mê environnement. Pour estimer l'héritabilité d'un caractère, on emploie souvent la méthode des jumeau [PLO-105] : Si la corrélation (pour un certain caractère mesuré) entre vrais jumeaux ê la mê qu'entre faux-jumeaux, c'ê que l'héritabilité ê nulle. Si de vrais jumeaux ont une corrélation de 1, et de faut jumeaux une corrélation de 0.5, l'héritabilité ê de 100% • => Chez l'ê humain également, les compo reposent s/ des bases génétiques et en sont donc influencés.

45. Voyez-vous une similitude comportementale entre hippocampes et êtres humains, et si oui, comment l'expliquez-vous?

• Hippocampe et ê humain : sont des espèces chez lesquelles ont retrouve un partage de l'investissement parental plutôt équitable entre les deux sexes, et dc l'établissement d'un couple. On retrouve également, p/ conséquence de ces faits, un choix du partenaire selon des critères particuliers au lvl des 2 sexes. • Chez hippocampe (poisson téléostéen) : M qui porte les œufs dans sa poche ventrale, que F lui transfère durant accouplement. Sont souvent monogames, au moins pdt saison de reproduction. o Investissement : F produit œufs, M les porte, petits bénéficient de l'apport nutritif des œufs ainsi que sécrétions du M. il n'y a pas de soins au petits ^ les 2 parents peuvent recommencer un cycle de reproduction. o À été montré que : chez espèce hippocampe, choix était bien mutuel. F choisissent M dont système immunitaire est le plus éloigné du leur, alors que M choisissent leur partenaire s/ critères de taille, grosse F produira en effet plus d'œufs. • Chez ê humain : investissement parental partagé, H participant aux soins parentaux également. On retrouve donc ces critères de choix entre partenaire, H également + porté s/ caractères physiques (rth, santé globale, jeunesse) et F s/ symétrie, statut social, expérience et également système immunitaire ≠ au lvl du MHC. Chez ces deux espèces, c'ê le ptg de l'investissement qui a étét retenu, sûrement psk il augmentait considérablement la fitness des petits Tous ces pts communs sont en fait dérivés les uns des autres o Couple se forme dès le moment où : investissement parental nécessite présence des deux parents, ^ dès lors que l'investissement ê partagé, 2 sexes peuvent se permettre d'émettre un choix, puisque ce choix sera déterminant pour la rentabilité de l'investissement qu'ils s'apprêtent à faire. Point commun : les petits représentent un investissement trop coûteux pour ê assuré p/ un seul des parents, ^ c'ê à partir de ce fait que les autres pts communs ont découlé en toute logique.

53. A partir d'il y a 1.4 millions d'années en Afrique, on voit apparaître des outils lithiques très particuliers: les bifaces, caractérisés par leur étonnante symétrie. Ces outils, associés à Homo erectus, ont à certaines époques été fabriqués en quantité folle, et beaucoup semblent n'avoir jamais été utilisés. Faites une hypothèse, en développant les concepts nécessaires, sur un rôle qu'auraient pu jouer ces objets. Reliez à l'animal.

• Homo erectus : devait construire ces outils dans but d'impressionner F ^ augmenter ses chances d'ê choisi id partenaire de reproduction. Ce serait donc une adaptation survenue dans le cadre de la sélection sexuelle. o « lorsque membres d'un sexe sont en compétition pour l'autre, qui ê une ressource limitée, ^ que cet autre sexe exerce un choix s/ les premiers, les conditions sont réunies pour qu'il y ait sélection sexuelle ». o Sélection sexuelle : résulte d'une pression pour l'accès aux partenaires sexuelles ^ dc la reproduction. Comporte ≠ formes dépendant de l'espèce et de sa répartition de la dispo sexuelle. Dans plupart des cas, M sont surnuméraires au lvl de la sex-ratio opérationnelle ^ F ont un avantage à exercer un choix adapté. Ceci ê dû à l'asymétrie de l'investissement parental. On a donc la sélection sexuelle au lvl du choix des F => augmentation de la fitness des petits v de celle de la F direct. • Ici, capacité à fabriquer des bifaces : semblaient ê déterminant dans le choix des F, ce qui poussaient les H à en faire bcp. Cette caractéristique peut en effet renseigner s/ l'aptitude manuelle de l'H ^ s/ son expérience (connaissances). La qualité ^ nb d'outils montrant une certaine accumulation d'expérience ^ dc un statut plus intéressant pour la F. • Le fait que ces outils n'aient jamais été utilisé pour la plupart montre qu'ils tendaient plus à renseigner s/ qualités de H, ce qui fait penser à oiseau satin et aux berceaux qu'il construit, dc l'unique but ê d'attirer le choix des F. • Sélection sexuelle s/ caractère inutile à première vue => hypothèse des bons gènes, signal honnête. Outil renseigne s/ l'habilité de l'homme. Oiseaux satins construisent des structures très élaborées pour attirer les femelles, qui les choisissent suivant qualité de celles-ci. Ex : berceaux oiseau satin

39. Quelles catégories de rôles jouent les hormones sur le comportement? Illustrez en prenant des exemples chez l'animal et l'humain.

• Hormones jouent deux types de rôles id facteurs internes o Effets organisationnels : généraux, s/ longue échelle de tps allant de qq jours à qq mois, une année v toute la vie (pour ce qui concerne la maturité sexuelle en général). Lors de périodes critiques au début du dév, l'exposition à certaines hormones va modifier durablement les réactions de l'organisme adulte à certaines stimulations (dont les stimulations hormonales) : l'exposition aux hormones organise la manière dont le comportement ê élicité p/ les hormones o Effets délencheurs ou « activateurs » : s/ courte échelle de temps. On parle d'effets activateurs quand l'état hormonal hic et nunc provoque des effets comportementaux, ^ alors c'ê évidemment s/ des échelles de temps courtes ^ les effets sont réversibles. Exemples animal et humain • Effet organisationnel : o Compo M vs F des rats : en général, M adultes montent les F ^ celles-ci prennent une position de lordose. Ces ≠ sont dus à des ≠ d'hormones. Si on ôte les testicules d'un M juste après naissance, son compo de M sera diminué, et son compo F augmenté (de tels M peuvent se mettre en lordose, p.ex.). o Influence de l'environnement hormonal utérin chez la souris : chez souris dont portées sont nombreuses, ya un effet de l'environnement intra-utérin s/ compo adulte. Cet effet dépend du voisinage des autres embryons. Les embryons se développent en ligne, le long des cornes utérines de la F. un embryon F peut ainsi avoir 0.1 ou 2 voisins M. Or, hormones sexuelles diffusent () voisins via liquide amniotique, et leur [C] dépend du sexe des voisins. En comparant F 0M aux F 2M, on a trouvé que celles-ci ont des organes génitaux légèrement masculinisés, ont des cycles d'oestrus + longs et irréguliers, sont plus agressives et moins attirantes pour les M. Sourirs M ont typiquement territoires + grds que ceux des F. Néanmoins, on obs des ≠ () F selon leur position in-utero. On a libéré ds territoires femés (à l'inté d'échangeurs d'autoroute) des jeunes F dont on connaissait la positoin in utero. F 2M ont établi territoire + grd o Dév F d'un XY (pseudo hermaphrodisme masculin p/ insensibilité aux androgènes) : embryons humains M qui en sont atteints ont bien des testicules ^ produisent bien des hormones M, dont testostérone. Néanmoins, en raison d'une mutation récessive s/ chromosome X, leurs cell cibles n'ont pas les récepteurs à ces hormones ^ ne sont dc pas influencées p/ elles. Ces H se dév donc en F, morphologiquement, psychologiquement et comportementalement (à ceci près que ces F n'ont pas d'ovaires, mais testicules internes ; dév à la puberté sein, etc. résulte de la prod d'hormones F p/ d'autres glandes que ovaires, notamment testicules eux-mê). On n'identifie en général ces cas que lorsqu'on constate la non-apparition des règles o Effets de l'environnement hormonal utérin chez ê humain : ds cas de jumeaux hétérozygotes de sexe ≠, si H a syndrôme d'hyperplasie congénitale des surrénales, surrénales libèrent trop d'hormone masculine ^ F naissent w/ organes sexuels légèrement masculinisés. En outre, ces F ont davantage un compo de « garçon manqué », jouant de préf w/ garçon ^ manifestant peu d'intérêt pour les poupées et de manière générale peu d'activités v désirs typiquement féminins • Effets activateurs : o Influence du cycle menstruel s/ la stratégie d'apprentissage spatial chez le rat : on prend des rats à ≠ moments de leur cycle, ^ on les met au départ d'un labyrinthe en T. But (bouffe) se trouve ds branche droite. Puis, essai de transfert où labyrinthe tourné de 180° : F en prooestrus (avant ovulation) se dirigent en grd majo vers lieu réel où se trouvait bouffe : elles ont appris à aller vers un lieu, pas une réponse motrice. P/ contre, F en oestrus (proche ovulation), tournent majoritairement s/ droite : on appris une réponse motrice, pas à aller vers un lieu. o Influence cycle mestruel s/ stratégie d'apprentissage spatial chez rat : chez F, existe nb d'effets des variations hormonales du cycle. Ex : bissection de lignes (tâche souvent utilisées pour évaluer l'héminégligence) : chez les H id chez les F (normaux), on tend à tracer le milieu des lignes un peu trop à gauche, en moy. Chez F, cette déviation varie w/ cycle.

50. Chez les mammifères, on parle toujours de "choix des femelles". Alors, pourquoi les humains mâles ont-ils des préférences pour certaines caractéristiques des femmes? Quelles sont ces caractéristiques? Et à quoi comparez-vous chez l'animal?

• La plupart des mammifères (96%) présente une énorme asymétrie au lvl de l'investissement parental, puisque seule la F y participe. Cela crée une asymétrie au lvl du sex-ratio disponible pour la reproduction (sex ratio opérationnelle) au sein de l'espèce, et dans ce cas, il ê fortement biaisé du côté du M. • F deviennent donc une ressource limitée ^ elles peuvent choisir les M disponibles, car c'ê à leur avantage, étant l'investissement conséquent qu'elles vont faire, de choisir le partenaire qui maximise sa rentabilité. • M, en supériorité numérique, ne peut pas se permettre de faire un choix. En revanche, il peut développer des stratégies pour augmenter ses chances d'ê choisi, v pour dissuader les autres M. • Chez humain, H participe aux soins parentaux. Son investissement nécessite dc choix d'optimalisation pour assurer rentabilité. Son but ê d'avoir le plus de descendance possible, on s'attend dc à des caractères signalant cette qualité. • Chez H, caractères physiques sont plutôt déterminants pour son choix : préf F jeunes, bonne santé globale (teint, lèvres, cheveux, symétrie), w/ RTH bas, fertilité. • Chez animaux v M exerce également un choix s/ sa partenaire, on retrouve les mê préférences pour une descendance plus nbx. Ex : criquet mormon préfère F plus grosse, tout comme hippocampe.

58. Quel lien faites-vous, chez l'être humain, entre la longueur des doigts et la sélection sexuelle? Elargissez votre propos vers des considérations plus générales.

• Longueur doigts : marqueur/indicateur visible de la quantité d'hormones (oestrogènes - testostérone) présente pdt une période précise du dév (environnement hormonal du fœtus). • Rapport index/annulaire bas : forte expo aux androgènes durant développement. (donc annulaire > index) o Souvent chez les H => index < annulaire, car répartition inégale de récepteurs aux hormones dans ces deux doigts, alors que chez F, on a souvent une longueur égale des deux doigts, voire tendance inverse. o Il semblerait que ce rapport, ^ dc de l'environnement hormonal auquel le fœtus a été exposé pdt son dév, aurait un impact s/ certains aspects du compo humain. Rôle des hormones id facteur interne en tant qu'effecteur organisationnel (rôle développemental) : résultats (robustes ^ identiques pour les doigts des 2 mains) montrent l'interaction suivante : si V les H sont plus agréables envers F qu'envers H, les H w/ rapport 9 :4D (asymétrie 2D :4D plus marquée : ceux qui ont été exposé à + d'androgènes lors de leur dév in utero) le sont encore plus. L'interaction existe aussi pour les compo agonistiques : H à petit rapport 2D :4D sont moins agressifs envers F qu'envers H ; il n'y a pas de ≠ chez H aux doigts semblables. Il n'y a par contre aucun effet significatif chez les F • Succès reproducteur : 2D :4D petit = asymétrie élevée, annulaire > index = exposition à + d'androgènes pdt dév in utero => fertilité + importante que si le rapport ê élevé Relation inverse chez les F, qui elles ne montrent pas de ≠ de compo entre elles reliées. • Au vu de ces corrélation inverses l'une de l'autre, on peut s'attendre à ce que, dans les couples, + la ≠ de rapport digital entre les deux membres du couple est grande, plus grande soit la fertilité. Et en effet, échantillon de 90 couples, en moy + « rapport chez F » moins « rapport chez H » donnait une valeur élevée (autrement dit, + F avait doigts semblables en mê tps que l'H avait des doigts ≠), plus grand était le nb d'enfant dans le couple. • Ratio corrèle w/ taux d'hormones circulantes à l'âge adulte, incidence s/ la fertilité qui ê influencée p/ statut hormonal des partenaires. • Sélection sexuelle ne se joue pas au lvl des doigts, mais au lvl de caractéristiqeus influencées p/ l'environnement hormonal auquel le fœtus a été exposé, et rapport 2D4D en ê un bon indicateur. C'ê un effet collatéral du caractère qui a effectivement été sélectionné. Fait que H soient + agressifs entre eux résultent d'une sélection p/ compétition entre M, visant à affirmer un statut de supériorité p/ intimidation. Et le fait que leur fertilité soit augmentée pourrait ê dû à la compétition spermatique, au lvl d'un meilleur rendement des spermatozoïdes (v leur quantité supérieure, due à la testostérone). Ils ont donc 2 avantages liées à la compétition /s pression de sélection sexuelle.

37. Cela fait-il sens de se demander si un comportement est inné ou acquis ? si cela ne vous semble pas faire entièrement sens, pourquoi ? Et comment aborder intelligemment la question de l'inné et de l'acquis ? Donnez des exemples.

• Lorenz : s'ê demandé comment un animal pouvait savoir que faire en f(x) des circonstances, comment s'adaptait-il à l'environnement, d'où venait l'information. Elle pouvait avoir été acquise grâce à sélection naturelle, donc ê innée v alors avoir été apprise. Il s'est résolu au fait que le dév de l'individu se fait au travers d'une perpétuelle interaction. • Comment aborder intelligement question inné - acquis ? o Mê si part d'inné a rencontré gros succès (singes vervets ^ jouets genrés), environnement a aussi une place à jouer (p.ex. on n'a jamais trouvé gène de la schizophrénie v celui de l'autisme). Si on parle de 70% de la variance expliquée p/ les gènes, ce ne sera pas 30% de variance expliquée p/ environnement : il n'y a pas de lien linéaire entre génome et comportement ! • D. Hamer : imagine que ce sont des réseaux de gènes et des réseaux environnementaux qui vont agir s/ cerveau en dév et influencer comportement. Hamer en tire un schéma de la combinaison des effaits du génome ^ de l'environnement s/ le dév du brain ^ du compo. o Ce que Hamer oublie encore dans son schéma, c'ê la boucle en retour : compo résultant va influencer les interactions environnementales ^ mê l'expression des gènes (si sujet ê amené à rencontrer partenaire (compo), alors seulement certaines modif hormonales (innées) liées au compo de reproduction vont avoir lieu). • Exemples o Pigmentation des siamois : patron de couleur des chats siamois résulte d'une mutation qui affecte le gène codant un enzyme (tyrosinase) impliqué dans symthèse du pigment sombre de la fourrure (mélanine) et rend cette enzyme sensible à la température : enzyme « mutant » n'ê actif qu'à basse température (extrémités : queue, oreilles, visage, bout des pattes, visage, refroidi p/ sinus) o Phénylcétonurie et régime alimentaire : maladie héréditaire grave d'un seul gène récessif. Allèle responsable empêche formation d'un certain enzyme, qui, chez gens normaux, transforme un a-a (phénylalaline) en un autre (tyrosine). La phénylalanine s'accumule ds brain des enfants homozygotes pour ce gène et provoque troubles du dév (retard mental grave nécessitant placement en institution). Il suffit de modifier la diète en supprimant les sources de phénylalanine (ex. fromages, viandes, poissons, œufs, féculents...) pour éviter pratiquement tous les effets de la maladie o Rats sensibles au stress le deviennent moins : sélection artificielle 2 lignées de rats en labo : ceux qui réagissent passivement à situation (s'immobilisent), ont une sensi exagérée au stress ^ ceux qui explorent environnement. On pourrait dire que le 1er présente phénotype comportemental analogue à une détresse acquise spontanée : s'agit donc d'une prédisposition génétique aux troubles de l'humeur. Chose intéressante : si bb rats dépressifs sont manip chaque jour (en les caressant gentiment) qq minutes, on constate que leur phénotype comportemental ê devenu très semblable à celui des autres. Ainsi : facteurs génétiques de vulnérabilité peuvent en partie ê compensés p/ des manip comportementales qui permettent vraisemblablement un meilleur apprentissage de l'adaptation au stress chez les individus les + vulnérables. • Environnement peut aussi cacher l'effet des gènes : rats de 2 lignées ≠, ont été élevés en 2 cond ≠ : environnement appauvri vs enrichi. Du pt de vue de leurs performances en labyrinthe, 2 lignées étaient mauvaises si rats avaient été élevés en milieu appauvri ; les 2 étaient bonnes si elles avaient été en milieu enrichi On pourrait donc penser que seul effet en jeu ê un effet de l'environnement de développement. • En fait : ces 2 lignées avaient été obtenues p/ élevage sélectif s/ critère « mémo labyrinthe ». élevés en cond normales de labo (ni appauvri, ni enrichi), ces 2 lignées montraient en réalité de grd ≠ de performances, ce qui indiquait une grande héritabilité du caractère « mémo labyrinthes) Donc : variabilité d'un certain caractère peut n'apparaître que dans certains environnements. Suivant comment on la mesure, on obtiendra des valeurs très ≠

48. Pourquoi peut-on penser que l'institution du mariage trouve une partie de ses fondements dans la biologie? Autrement dit, à quoi "sert" (biologiquement) le mariage? Quels autres mécanismes servent à la même chose?

• Mariage id adaptation : surveillance de la partenaire, accouplements répétés lorsqu'ils ê difficile de savoir quand est-ce que la F ê vraiment en ovulation, facilitation des soins aux petits dans un environnement qui augmente proba que père soit bien le père. Mise en place de lien + fort dans couple, pour meilleur dév de l'enfant. Possibilité de surveillance de la F p/ sa famille (exogamie femelle, surveillance p/ la famille de l'H) et aide aux enfants p/ reste de la famille => on crée de vraies relations entre membre de la famille, ce qui leur attribue + facilement des rôles • Protection des petits contre d'autres : mariage se retrouve dans de nbx cultures, mê si parfois il ê polygyne. Pénalisation de l'adultère chez la F + que chez l'H tend à prouver que l'important était que F porte en effet les enfants du mari, l'inverse étant égal. • Mécanismes aux raisons similaires : monogamie permet à peu près la mê chose, sans rôle de la famille. La plupart des structures sociales => dominance d'un M p/ intimidation (gorille ^ son harem), éléphant de mer aussi, l'attachement chez les campagnols des prairies qui les poussent à se préférer l'un l'autre.

56. Qu'est-ce que la méthode comparée? Que permet-elle de savoir (donnez des exemples)? Expliquez aussi en quoi cette méthode des éthologues, qui étudient pourtant le comportement, peut trouver des informations même dans les fossiles.

• Méthode comparée : consiste à chercher des infos en comparant des espèces entre elles. Cela permet p.ex. de reconstit arbres évolutifs à partir de l'observation de compo, id parades nuptiales chez espèces de canards. Des espèces apparentées v des populations ≠ d'une mê espèce, sont observées de manière comparée, pour essayer soit de reconstit l'évolution du compo, soit de cerner sa fonction, soit d'identifier les universaux propres à l'espèce. o Utile dans tous les domaines de l'étude de l'évolution, pas seulement au lvl de l'éthologie. Il ê parfois + facile de comprendre l'apparition d'un compo si on peut obs des étapes intermédiaires chez d'autres espèces. • Au lvl de l'humain : ê utile de pouvoir comparer compo () ≠ populations de culture non-commune pour pouvoir appréhender quelle part des compo ê propre à l'homme et quelle part résulte de certaines spécificités de son environnement, de ses choix culturels, etc. => sert notamment à identifier les universaux propre à l'espèce humaine. o Ex : signal bouche ouverte id métasignal asso à un compo qui pourrait ê agressif chez les enfants, sert à montrer que l'intention n'ê pas méchante => compo présents dans toutes les sociétés (chimpanzés aussi) • Comportement alimentaire : a bénéficié de certaines adaptations résultant de notre culture o Ex : apparition mutation permettant de digérer le lait à l'âge adulte ê apparue en EU du fait de son utilité dans nos sociétés, s'est répandue, ce qui ne s'est pas produit en Asie (autre mutation a eu lieu en moyen orient) • Étude des fossiles : possibilité de méthode comparée, ^ mê si cela ne semble pas évident, certains compo peuvent ê aussi étudiés. Certains fossiles peuvent en effet nous renseigner s/ compo des animaux vivants dans des époques précédentes. o Ex : ainsi, stromatolithes témoignent de compo bactériens de société /s forme de biofilms. On peut mê en évitence des compo de déplacement en grp, ^ dc une certaine sociabilité, des ≠ M - F lorsque la différenciation ê possible, des compo de soins aux petits (nids w/ individus autonome, œufs portés /s carapace) Ces observations permettent ensuite de soumettre des hypothèses, qui pourront peut-ê ê vérif p/ de nouvelles découvertes

40. Comment montrer le rôle des gènes dans le contrôle du comportement? Discutez au moins trois méthodes que vous illustrerez par des exemples parlants. Quelle est la conséquence la plus importante du fait que les gènes colorent en partie le comportement?

• Plupart des traits : produit de l'interaction gènes - environnement au cours du développement. => ê donc difficile d'étudier directement le génotype responsable de l'émergence du compo, vu que l'interaction w/ milieu a tjr ses effets. • Dans majorité des cas : on constate un variabilité continue dans les caractères phénotypiques (dc {} des traits observables caractérisant un ê vivant donné) des individus. • Ex : on peut dire que taille d'un individu donné diffère d'un individu à l'autre. o Une partie de cette variation ê due aux variations du milieu : taille dépend en part de la manière dont individu a été nourri. o Une autre partie de cette variation ê due aux variations du génotype : taille dépend aussi en grde partie des parents biologiques, ^ ce, mê si l'enfant n'a pas été élevé w/ eux • Mise en évidence de la part des gènes dans le ctrl du comportement : contrôle de l'environnement de développement. => méthode qui fait qu'on ctrl la variable environnement, de sorte à ce que ce soit le mê pour V, ê de voir quelle ê la part des gènes dans le ctrl du compo. • Ex : on pourrait avoir 2 individus dont compo des parents présente des ≠ ^ on élèverait ces 2 individus ds milieu identique (pour ctrl par de l'environnement) : si les ≠ persistent dans ces 2 environnements identiques, c'ê que l'information qui permet ce compo vient du génome ! o Ex élevage 2 espèces de grillons : si on élève 2 espèces de grillons séparément (isolés depuis moment où ils sont dans l'œuf), on peut voir que chant se développe quand mê, ^ qu'en plus, chant ê ≠ d'une espèce à l'autre. => vu que ces 2 espèces étaient séparées, personne n'avait de « modèle à suivre », qui fait que chant du grillon est codé quelque part dans les gènes • Reproduction sélective des individus, élevage sélectif : on va se faire reproduire entre eux les individus situés à chaque extrémité de la distribution (p.ex., les + agressifs () eux ; les moins agressifs () eux). Ce process va donc modif la forme de la distribution en une distribution bimodale, car on a 2 groupes « de compo » totalement ≠. Si on trouve qu'un certain type de compo (p.ex. ê agressif) se perpétue au travers des générations, c'ê sans doute qu'il ê /s ctrl génétique de l'individu. o Ex de la souris C. Lynch : il a été possible de sélectionner souris s/ base de la dimension du nid qu'elles construisent. Lynch a mesuré quantité de coton ramené au nid ^ a pu mê en évidence 2 types de souris, càd « gros » et « petits » récolteurs (15 générations). À part de ça, Lynch a fait se reproduire entre elles les extrêmes et a fini par obtenir des lignées dont les individus construisent des nids de taille très ≠. => ceci pourrait donc indiquer que la motivation à amasser du matériel de construction du nid est, au moins partiellement, /s ctrl génétique de la souris (vu que chaque compo a été transmis de génération en génération). Nbx sont les exemples qui illustrent fait que gènes jouent partie importante dans ctrl du compo. d'autres méthodes pour mettre en évidence ce fait, ê d'agire directement s/ l'expression du gène ! Certaines méthodes consistaient à inactiver un gène, v mê ajouter un gène, afin de changer compo de l'individu ! o Ex « ajout de gène » campagnols : 2 sortes de campagnols : Campagnols des prairies : social et monogame Campagnols des montagnes : asocial ^ M polygames o Ces ≠ de compo semblent ê liées à des distributions neuro-anatomiques ≠ du récepteur à la vasopressine. o Young et coll. ont modifié génétiquement les campagnols polygames : ont rajouté des copies de ce gène, ce qui a conduit à une sur-expression du gène dans les zones injectées. o En bref, en ajoutant ce gène aux campagnols des montagnes, ceci a modif leur compo : sont devenus semblables aux campagnols des prairies (monogames) : M sont devenus + attachés aux F, w/ davantage de compo paternels. Grâce à V ces exemples, on peut conclure que l'influence des gènes ê très forte. On a aussi obs qu'on a pu modifier le compo d'un individu en jouant directement s/ gènes. (ex : campagnols : ajout d'un gène modif compo). Mais : environnement joue également une part importante, puisqu'il peut lui-mê agir s/ les gènes pour en modifier son expression. Le fait que les gènes colorent en partie le compo : nous montre ce qui peut ê transmis au travers des générations. Si les gènes, qui sont transmis direct, n'influençaient pas le compo, un certain compo ne pourrait alors pas se perpétuer dans la population. D'autant plus que, si un certain compo ê apparu et s'est maintenu, c'ê qu'il apporte des bénéfices (p/ rapp aux coûts). Et dc on n'aurait plus ce compo bénéfique qui serait transmis de génération en génération si les gènes ne coloraient pas en partie le compo. Ceci donne un peu la base de notre compo lorsqu'on naît (manuel du comportement) ; on naît w/ ce premier bagage génétique qu'on pourra alors transférer à la génération suivante

38. Pourquoi existe-t-il des stimuli supra-normaux et à qui cela profite-t-il? Arrivez-vous à faire un lien entre cette raison d'être des stimuli supra-normaux et les mécanismes impliqués dans le choix de partenaire, dans certains cas?

• Pour comprendre stimuli supra-normaux : faut comprendre FAP et leur MID. Pour rappel, ces mécanismes (innés) assurent que seuls les stimuli appropriés engendrent un compo particulier. On se rappelle du roulement de l'œuf chez l'oie cendrée et de l'épinoche et du camion postal p.ex. • Pourquoi existe-t-il stimuli supra-normaux et à qui cela profite-t-il ? o Contrairement à ce que pensait Tinbergen, en général, ce ne sont pas les config totales (p.ex. : bec chez goéland) qui sont déclenchantes mais les dimensions. Stimuli sont plutôt à comprendre id composés de ≠ dimensions indépendantes (pour œuf, ce sera la forme, grandeur, couleur, contraste, etc.) dont valeurs déclenchantes se combinent de manière essentiellement additive. o Ainsi : Tinbergen a compris, en offrant des leurres artificiels aux goélands, qu'il pouvait construire un classement en termes de valences des stimuli déclencheurs. o Si on additionne valences des ≠ dimensions, on obtient nos fameux stimuli supranormaux. => stimuli caricaturaux du meilleur stimulus possible. Ces stimuli existent pour que l'animal utilise le stimulus approprié. (Comment un goéland pourrait distinguer cognitivement son œuf d'un autre objet ?) => W/ une description caricaturale de ce que devrait ê le stimulus déclencheur, l'animal s'assure de ne pas se tromper d'objet. o Problème : ces stimuli, ici manipulés artificiellement, peuvent se retrouver dans la nature. S'agit d'un des points faibles du système, qui va profiter à d'autres : Id déclencheur du compo de quémande alimentaire : bouche énorme du coucou va ê stimulus supra-normal, et ses parents adoptifs vont s'épuiser à le nourrir au détriment des autres petits oisillons. Si on présente à l'extérieur du nid des œufs de taille ≠ à un huîtrier-pie, celui-ci va récupérer et essayer de couver le plus grand mê s'il êst impossible à couver ! • Arrivez-vous à faire un lien entre cette raison d'ê des stimuli supra-normaux et les mécanismes de choix de partenaire, dans certains cas ? o Dans contexte de reproduction chez l'humain, rouge à lèvre a peut-ê une f(x) de transformer bouche en stimulus supra-normal ! o Utilisation de jus de belladone p/ italiennes de la Renaissance pour dilater pupilles et ainsi se rendre plus séduisantes. En temps normal, pupilles se dilatent quand sujet ê intéressé v attiré, ^ sujet aux pupilles dilatées ê jugé + attirant qu'un sujet aux pupilles contractées.

21. Quelle est la conséquence, évolutivement parlant, la plus générale et la plus importante de l'asymétrie, pour les mâles et les femelles, en probabilité d'être vraiment le parent? Pourquoi est-elle si importante?

• Père dont la certitude de paternité ê élevée ê en réalité un père d'une espèce dans laquelle M sont équipés de mécanismes ^/v vivant ds certaines circonstances qui font que la proba ê élevée que les petits présents soient bien ceux du M et dc proba ê élevée que des compo d'investissement parental M soient apparus lors de l'évo et se soient maintenus. • Tout ê ds le rapport entre bénéfice de rester, opposé au coût de rester. • Mê chez espèces dont M n'assurent pas soins parentaux, il ê évidemment avantageux d'avoir des compo amenant à ce que l'accouplement soit couronné de succès (compétition spermatique). • Accouplement comporte coûts : énergétique, en risque de prédation ^ en occas d'accouplement perdues. • Individu M s'accouplant w/ F a V intérêt à ce que accouplement soit efficace ^ que ce soit bien ses propres enfants qui soient produits. D'autant + si individu assure ensuite V v une partie des soins parentaux (car augmentation des coûts). Compétition spermatique : • Élimination concurrence : pr espèce v F s'accouplent w/ plusieurs M o Ex : demoiselle à ailes noires (libellule) : M possède sorte de brosse qui sert à nettoyer spermatèque de F afin de supprimer les spermatozoïdes qui s'y trouvent et laisser que le sien. • Le nb, la vitesse : Chez mammifères ^ oiseaux, c'ê souvent quantité spermatozoïde inséminée p/ chaque M qui déter la proportion de petits qui seront effectivement ses enfants. • Ex singes : on trouve corrélation () grandeur testicules ^ fidélité des relations v promiscuité. Dc, singes polygames ont des testicules + grandes que singes monogames. + grd testicules = + de spermatozoïdes produits o Ex : gibbons sont fidèles, pas les bonobos. De plus, on trouve + grde résistance ^ + grde vitesse des spermatozoïdes o Pour vitesse et résistance, c'ê la partie médiane du spermatozoïde qui ê déterminante. • Chasteté obligée : faut assurer exclusivité de la F si on ne peut pas jouer dans course du sperme o Ex bourdon : M, après avoir fécondé F, lui bloque les organes génitaux w/ sorte de bouchon (mating plug). Ce bouchon reste en place pdt 3j ^ possède une substance (acide linoléique) qui empêche F d'ê fécondée durant au - 1semaine. • Surveillance de la partenaire (mate guarding) : o Ex oiseaux (où M participent souvent aux soins parentaux) : M qui peuvent ê sûrs que petits sont bien d'eux ont un avantage reproducteur. o Ex guêpier à front blanc : forme relation coopérative w/ F jusqu'à ce que les petits quittent le nid. M garde sa F. vole quasiment tjr w/ elle qd elle quitte le nid, s'accouple w/ F fréquemment ^ ce jusqu'à ce qu'elle ait fini de pondre (4-5j) • Compétition spermatique chez H o Ex : étude Baker et Bellis : + on reste w/ son partenaire, - y a risque infidélité. Donc + risque d'infidélité ê grand, + y a de spermatozoïdes éjaculés. o Ex coq domestique : + y a de concurrents présents pdt accouplement, + nb de spermatozoïdes éjaculés augmente • Mate guarding : jalousie : résultat comportemental de jalousie serait d'empêcher partenaire de commettre infidélité v diminuer risque de tentation • Mate guarding : mariage : fournit possibilité à H d'avoir contacts sexuels répétés w/ F et donc augmenter ses chances d'ê le père / surveillance de la fidélité de la F p/ la famille du mari • Certitude de paternité : augmente implication du père dans éducation des enfants et diminue la maltraitance o Ex Hadzas : ethnie nomade v le divorce ê commun, H rapportent moins à manger si leur famille ê recomposée que si elle est biologique

46. Comment expliquez-vous qu'une bonne partie des humains sont capables de digérer le lait à l'état adulte alors que les mammifères adultes en général ne le peuvent pas? Qu'est-ce que ça nous dit sur le lien entre gènes et milieu social?

• Résultat d'une mutation : tous les bb dirigent le lait p/ la production de l'enzymme lactase, cependant elle cesse au moment où ils ne sont plus allaités. Mais évidemment, code génétique pour « lactase » ne disparaît pas du génome ; il ê simplement activé • Digérer le lait : résultat d'une mutation et coévolution entre gènre et culture suivant cette mutation. Il ya 7500 ans ê survenue cette mutation dans l'EU du nord et Balkans qui a fait que la production de la lactase, au lieu de s'arrêter au moment du sevrage a continué chez les individus étant porteurs de cette mutation. Cette lactase premet de digérer le sucre du lait. Co-évolution biologie et culture : elle ne se serait sûrement pas fixée s'il n'y avait pas eu une culture autour, notamment chez ceux qui avaient des troupeaux. Ceux qui avaient des troupeaux ^ dc cette mutation avaient dc une source de nourriture, lait, qui apporte protéines, calcium, etc. De +, sa production ê + cste que celle liée au récoltes ^ c'ê également une source de liquide peu contaminable, contrairement à l'eau. Ce qui fait que lait ê utile. C'ê dc psk il y avait cette possibilité que les gens en profitent. Cette mutation s'est répandue dans V europe. Cela montre que la culture peut avoir affecté les mécanismes évolutifs biologiques.

54. Les pleurs des bébés humains sont-ils un signal honnête ou pas? Faites le lien avec d'autres signaux, chez l'animal cette fois.

• Signal honnête : résulte de l'évolution conjointe d'individus participant à un état de conflit. Les intérêts divergents mènent finalement à la mise en place de signaux qui permettent de faire un choix cohérent w/ réalité de la situation. • Ici, conflit : ê celui mettant en jeu parents ^ enfants. Alors que les enfants ont intérêt à retirer le + possible de leurs parents, ceux-ci ont avantage à repérer les besoins réels de leur enfants pour adapter leur soins parentaux en conséquences. • Pleurs des enfants, en tout cas jusqu'à 1 an : peuvent ê consid id signal honnête, ils sont assez coûteux métaboliquement parlant pour n'ê entrepris que si le bénéfice attendu permet de dépasser les coûts de sa production. Le parent ê informé p/ ce signal s/ plusieurs points : o peut déduire les besoins de son enfant, p/ rapp à l'intensité du pleur notamment, mais également son état de santé générale, ce qui lui permet de décider s'il ê rentable de s'investire dans ce petit. o Ex : enfants prématurés v souffrant de certains syndromes génèrent des pleurs différentiables, qui sont souvent + irritants pour les parent ^ qui peuvent donc mener à une perte du compo de soins plus rapide. • Pour l'enfant : pleur permet d'attirer attention de la personne qui s'oqp de lui. Tant que les pleurs sont associés à des conditions physiques de l'enfant, il ê difficile d'imaginer qu'une quelconque tromperie de la part de l'enfant puisse se mê en place. o Mais : au fil des années, enfants apprennent à ctrl leurs pleurs, ce qui laisse la place à une manipulation, en exagérant ses pleurs p.ex.. Il semplerait cependant que les cas de manipulations soient assez rares et qu'ils puissent p.ex. servir à exagérer les besoins de l'enfant pour retarder un éventuel frère. Il semblerait donc que cris des bb soient des signaux honnêtes dans la maj des cas, w/ plus de chance d'exagération lorsque l'âge de l'enfant augmente. • Chez l'animal : ce genre de signal ê également observable. Chez certains primates non-humains : bb ont également des pleurs lorsqu'ils sont séparés de leur mère. o Ex : s'ils tombent v sont blessés. Ils arrêtent cependant de pleurer dès qu'ils sont en contact w/ leur mère. Signal servirait ici à la mère pour récup son enfant. o Ex canaris : parents déterminent l'attribution des ressources alimentaires en f(x) de la couleur de la bouche ouverte de leurs petits. C'ê un signal honnête, car quand un oisillon ê en train de digérer, son sang ê redigéré vers les intestins, ce qui rend sa bouche plus pâle

23. Chez le macaque (on n'a pas vu ça en cours), ce sont surtout les femelles qui s'intéressent à la symétrie d'un éventuel partenaire; les mâles, beaucoup moins. Chez l'humain par contre, les hommes comme les femmes ont des préférences pour la symétrie d'un éventuel partenaire. Qu'en concluez-vous concernant ces deux espèces? Ouvrez sur des explications générales.

• Symétrie : bonne santé car + on ê symétrique, + on traduit une résistance dans la reproduction. Indices asymétrie corrèlent w/ plein de maladies • Chez ê humain id chez animaux, nb facteurs environnementaux défavo produisent asymétries développementales. • Pour ê humain, en terme de beauté, visages symétriques sont généralement jugés plus beaux (^ + féminin pour F et + masculin pour H) • Chez macaque : F s'intéressent à ce critère, ce qui démontre peut-ê le fait qu'il y a + de F que de M ^ donc c'est un critère de sélection de la part des F => sélection sexuelle • Autre possibilité : fait que M sont peut-ê + touchés, + sensibles aux parasites que F, ^ dc + vulnérables. ^ id F cherchent meilleurs gènes, elles préf choisir un M qui ê symétrique => sélection sexuelle On cherche à propager nos gènes en les mélangeant aux meilleurs gènes possibles de l'autre sexe.

42. Quelle est la raison biologique (évolutionnaire) qu'on peut invoquer pour expliquer les différences existant entre hommes et femmes en ce qui concerne la tendance à exercer de la violence physique? Reliez aux concepts fondamentaux.

• Violence physique : essentiellement phénomène masculin. Nbx études ont démontré fait que les motifs d'homicides au cours des 700 dernières années sont tjr les mê. De plus, causes initiales étaient souvent simples altercations, id insultes, bousculades v autres. Ainsi, parmi V cultures qui ont été étudiées, on a pu montrer que violence des hommes ê très nettement supérieure à la violence des femmes. • Explication du phénomène : possibilité de réfléchir en termes plutôt « biologiques » : invocation des différences de manifestation comportementale liée à l'état hormonal. Ceci cerait une explication purement biologique, mais pas suffisante ! V les hommes ne sont pas violents, donc violence physique n'ê pas seulement à cause influence hormonale. o Fitness darwinienne, succès reproducteur relatif des individus (qui serait une raison biologique indirecte) : fitness = unité de mesure qui ê au centre de la compréhension des mécanismes évolutifs. Ce n'ê pas juste le nb de descendants qui compte, mais le nb de descendants (aptes à se reproduire) comparé au nb de descendants DES AUTRES individus dans la popu. Ceci revient donc à comparer le succès reproducteur relatif des individus (fitness), comparé au succès reproductif des autres. • Tous les H n'ont pas le mê statut (dc pas mê succès reproducteur) : ds bcp milieux, réputation d'un H dépend en part du maintien d'une menace crédible vs les autres H. Conserver un statut social dépend de la crainte qu'on inspire aux compétiteurs. Ceci ê évident dans sociétés tribales p.ex., pour ce qui ê du statut de chef. Chef d'un groupe, dc le dominant, aura tjr plus de F que les subordonnés, donc les dominés (hez animaux, ex parlant serait langurs gris qui vivent en bandes unimâles, v le M ê le chef de la bande des F). • Fitness liée au statut social : meilleur façon de garder statut social ê donc de l'imposer aux autres, ce qui mènerait à de la violence physique. Dans conditions de polygynie (répandues dans sociétés tribales de l'ère pré-industrielle), avoirs plusieurs F était une prérogatives des H de haut statut ! • Chez H, variance en fitnesse est élevée et corrélée au statut : elle l'est bcp moins chez la F (puisque pour une F, ce n'ê pas le fait d'avoir plusieurs partenaires qui augmentera sa fitness). Donc pas étonnant que H soient plus inclinés à avoir des interactions de type confrontation impliquant des risques. Données développementales montrent d'ailleurs des ≠ de genre allant dans le sens d'une préparation aux compétitions post-pubertaires. 2-4 ans, H se battent, attaquent, détruisent les chose + que les F. Plus souvent que F, H s'intéressent à savoir « qui ê le + fort » => nous pouvons constater que ces ≠ liées à la violence physique s'inscrivent déjà très tôt dans le développement !

24. Comment interpréter dans un cadre darwinien les données sur la maltraitance des enfants dans les familles recomposées? Faites le lien avec les données portant sur l'animal.

Dans familles recompo, il y a une certitude de non-paternité, v un des partenaires apporte à l'autre des enfants d'une union précédente Selon Daly et Wilson (1988) : prédiction la + évidente d'une interprétation darwinienne des motifs parentaux ê celle-ci : « parents de substitution tendront généralement à ê moins concernés p/ le bien-ê des enfants que des parents naturels. Investissement parental ê une ressource précieuse, ^ sélection à dû favo les psychologies parentales qui ne la dilapidaient pas pour des non-apparentés ». Dans popu normale : (aux USA) seuls 53% des beaux-pères et 25% des belles-mères affirment avoir des sentiments parentaux envers enfants adoptifs. Relation parent-substitut-enfant : souvent marquée p/ antagonismes • USA : parents d'une famille recomposée investissent en moy $1600 de moins dans formation de leurs enfants comparé aux familles nucléaires • Hadza : pères passent plus de temps chaque jour à proximité de leurs enfants biologiques que de leurs enfants non-biologiques, jouent nettement + longtemps, communiquent davantage. De plus, H chasseurs rapportent moins de nourriture en général, si leur famille ê recomposée (877 kcal/enfant) que si elle est biologique (1900 kcal/enfant). Résultats de Daly et Wilson montrent une tendance 40x plus grande à la violence envers enfants ds familles recompo que ds familles génétiques. • Concluent que risques d'infanticide pour enfants d'âge préscolaire sont de 40-100x + grands d'ê tués p/ leurs beaux-parents • Étude Australie : enfants non-biologiques semblent moins bien surveillés v protégés que enfants biologiques, ce qui ê une autre façon de traduire un investissement parental. Dans ce contexte : faut accepter que l'amour parental n'ê pas automatique chez le parent non-biologiqiue, donc le parent biologique devrait valoriser les compo parentaux de l'autre, mê s'ils ne sont pas accompagnés de sentiments d'amour parental Lien avec les données portant sur l'animal : Si on compare données s/ humain w/ celles animaux, on pourrait expliquer la maltraitance en terme de sélection sexuelle. Chez espèces ≠, ^ particulièrement primates, infanticide (surtout p/ M) ê étonnement répandu. Chez langurs gris, grp de M attaquent parfois une bande unimâle, ^ chassent M résident. Ensuite, se battent entre eux, ^ un seul M reste, id chef de la bande de F. On suppose que la disparition des petits dans ces bandes ê due aux infanticides p/ le nouveau M. Selon S. Hardy : infanticide p/ M a évolué p/ action de la sélection sexuelle, ^, précisément, de l'élément « compét entre M » de celle-ci. Sélection sexuelle elle-mê ê liée à l'investissement parental, ^ évidemment M nouveau n'a aucun intérêt à défendre des petits qui ne sont pas les siens, ni à attendre leur indépendance pour que F soit à nouveau fécondable. o Langur M ne tue jamais ses propres petits, mais seulement ceux des autres Si infanticide s'explique p/ la compét () M, il en dérive une prédiction particulière : F ainsi privée de ses petits va redevenir sexuellement réceptive rapidement, y compris envers le M qui a tué ses petits (chez bcp de mammifères, lactation interrompt ovulation ; infanticide interrompt lactation). => chez langurs, 4j après infanticide, F redevient sexuellement réceptive. Infanticide ê + avantageux pour M quand période lactation ê + longue que gestation : ds ce cas, période L empêche nouvelle fécondation, ce qui rend F plus susceptibles à attaque infanticide p/ M. o Chez espèces primates où il y a infanticide, rapport L/G ê en moy 1.9 ; o Chez espèces primates où ya pas infanticide, rapport LG ê en moy 1.03 • Si on admet que ce sont les mê pression de sélection qui ont été à l'œuvre que chez les autres primates, on doit conclure que évolution chez les F, historiquement, a mis accent + s/ la confusion de paternité - en rép au risque d'infanticides intra-groupe - que s/ la concentration de paternité ; dc que risque associé à l'arrivée de nouveaux M immigrants était minimale. Ceci ê en accord w/ ce qu'on sait des sociétés de chasseurs-cueilleurs • En fin de compte : maltraitance enfants ds familles recompo peut ê reliée aux coûts ^ bénéfices en terme de fitness : pour parent substituteur, coûts de investissement parental ds ses beaux-enfants dépasseraient bénéfices reproducteurs, car cet investissement ne favo pas la propagation de ses propres gènes. Ceci peut donc mener à des compo ≠ (parfois néfastes) envers beaux-enfants

8. Les éthologistes "classiques" parlent d'une double quantification du comportement. En vous rapportant notamment à un "modèle" (qui est plutôt une métaphore) proposé par un célèbre éthologiste, dites précisément ce que ce à quoi ils font allusion et ce que ce modèle représente précisément. Faites appel à ce concept pour expliquer que la maltraitance est plus courante dans les familles recomposées.

Double quantification et « modèle de la chasse d'eau » : S/ base de spontanéité (apparition à vide) des actes instinctifs, en 1937 Lorenz postule E d'une énergie d'action spécifique à chaque FAP : sorte d'NRJ, spécifique à une activité partic, ê emmagasinée pdt que cette activité reste en sommeil et ê conso lors de son exécution. Idée d'énergie abandonnée ensuite, psk concept issu de physique. Selon Lorenz : pour que FAP se prod, il faut en principe le stim signal ; en son absence, NRJ reste bloquée (p/ mécanisme inhibiteur) jusqu'à ce que le MID soit activé et lève l'inhibition. Sinon, NRJ s'accumule jusqu'à déborder (activités à vide). Modèle de la Chasse d'eau Modèle de Lorenz : Dans ce modèle (pour l'essentiel, un réservoir d'eau fermé p/ une soupape, elle-mê tirée p/ poids extérieur), facteurs motivationnels internes (NRJ d'action) sont repré p/ la pression due à la hauteur d'eau dans le réservoir, hauteur qui croît à mesure que le temps passe (id faim augmente à mesure que tps passe) ; pression d'eau, en augmentant, tend à ouvrir la soupape. Stim signal repré p/ un poids extérieur au mécanisme, relié à la soupape p/ un câble, ^ qui tend lui aussi à ouvrir la soupape. Activité de l'animal (unités de compo, FAP) ê repré p/ eau qui sort p/ la soupape et tombe dans une trémie à trous multiples ; si débit ê haut, bcp des canaux de la trémie vont laisser passer eau (=bcp d'unités de compo vont apparaître), si, au contraire, débit faible, seuls certains canaux seront actif. Dans le modèle, action conjointe des deux forces (pression venant de l'intérieur et la traction, de l'extérieur) va ouvrir soupape si somme est suffisante. Ce qui revient à dire que l'addition des facteurs internes et du stimulus signal va produire le comportement, pour autant que la somme des deux soit suffisante. Est une bonne métaphore de la combinaison d'un état interne avec l'effet des stimuli externes. Double quantification : C'est l'idée simple (cf. "chasse d'eau" de Lorenz) que l'apparition d'une réponse et/ou son intensité dépend à la fois de facteurs externes (les stimuli signaux, ou "déclencheurs") et d'un état motivationnel interne. La plus appétissante pizza au monde ne vous fera pas manger si vous êtes déjà totalement repue. A l'inverse, certains Irlandais affamés lors de la Grande Famine (1845-1849, presque deux millions de morts) essayaient de manger l'herbe des prés (pas ce que vous mangeriez habituellement, n'est-ce pas?). • Pourquoi la maltraitance ê-t-elle plus courante dans les familles recomposées ? o Maltraitance ds familles recompo semble ê 1 des conséq de la certitude de la non-paternité. En effet, ds ce genre de situ, partenaire apporte à l'autre des enfants d'une unio précédente. Ds ce cas, parents de substit tendront généralement à ê moins concernés p/ le bien-ê des enfants que parents naturels. (investissement parental se manif p/ le tps, énergie ^ risques qu'un parent investit dans un enfant ê aussi une ressource préciseuse qui entraîne des coûts). Sélection naturelle a dû favo les psycho parentales qui ne la gaspillaient pas pour des non-apparentés (cas d'un parent de substit pour un enfant qui n'ê pas le sien) Ds ce genre de cas, sentiments d'amour parentaux ^ investissement sont moins probables ^ + difficiles à obtenir. Ce phénomène de maltraitance accentué dans familles recompo peut ê mis en lien w/ concept de double quantification. o Postule qu'un compo apparaît suite à une combinaison entre fact int et ext. o Fact int : pourrait ê certitude de non-parenté qui tendrait à modif (et diminuer) l'investissement parental o Fact ext : pourrait consist en des compo encourageants de la mère, v compo favo un mauvais investissement parental. Fact ext et int étant en interaction => il y aurait plus de maltraitance dans familles recomp à cause de cette certitude de non-parenté combinée w/ compo ext favorisant manque d'invest parental et pouvant donc mener à la maltraitance. • Lvl causal de cette explication : relève de causes ultimes (v raisons évolutives) qui expliquent le pk d'un compo. On se demande en effet, quelle ê la f(x) du compo en ce qui concerne la survie ^ la repro, comment le compo a-t-il évo au cours de la phylogenèse ^ pk il a évolué comme ça, dans le cas de la maltraitance des familles recomposées.

57. Est-on démocrate ou républicain, aux USA, uniquement à cause de l'effet du milieu social, ou y a-t-il autre chose en plus? Si on regarde précisément, qu'est-ce que cela nous dit sur l'interaction gènes-environnement? Ouvrez sur d'autres exemples.

• Étude 2012 corrélation entre jumeaux et opinions politiques : opinions politiques influencées p/ facteurs génétiques, au lvl de caractères qui tendent à entraîner une certaine manière de penser. o Cette étude montre que lorsque données sont récoltées s/ jumeaux MZ ou DZ vivant encore chez papa-maman, influences génétiques sont moindres. o Par contre : une fois que ceux-ci habitent seuls, corrélation baisse pour DZ à env 0.3 alors qu'elle reste élevée pour MZ, env 0.6, ce qui montre une héritabilité plutôt élevée o Milieu social : a donc son importance, mais reste qd mê une influence génétique palpable une fois le cadre familial effacé • Lorenz : comportement provient de l'interaction des gènes - environnement et sont donc acquises au cours du développement. Mais, fait ê que ces 2 composantes ne sont pas complétement indépendantes. En effet, expression des gènes dépend de l'environnement Faut donc prendre en compte interaction gènes - environnement qui peut influencer le phénotype résultant de plusieurs manières. On peut dc, pour le mê caractère, percevoir des proportions d'influence différentes suivant les conditions. On peut citer effets de seuil (plancher ou plafond) qui modulent importance de info génétique. Celle-ci peut donc ê dissimule ds un certain cadre environnemental et faire varier les mesures liées à l'hérédité suivant le contexte. • Étude rats sélectionnés dans les deux extrêmes d'une population s/ capa mémo labyrinthe : suivant environnement dans lequel grandissent ces grp, effets de sélection génétique qui portaient pourant sur ce caractère peuvent ne pas apparaître dans le phénotype. Lorsque les rats sont élevés en cond appauvries, ne montrent pas de bonne performance, ^ ce dans les 2 lignées, alors qu'en milieu enrichi, les deux sont bonnes. ≠ liées aux sélections appliquées ne sont observables qu'en milieu normal v neutre. Suivant les cond, on pourrat dc croire que mémorisation ê entièrement influencée p/ facteur du milieu d'apprentissage, v que celles-ci sont transmises de manière assez importante • Études s/ influence inégalités sociales s/ potentiel génétique lié à l'intelligence : Usa, héritabilité des mesures d'intelligence ^ de succès académique ê d'autant plus élevé que le lvl socio-économique l'ê aussi. Milieu défavo (= 2 écart-types en-dessous de moyenne) : part de variation due à facteurs génétiques = 22% alors que milieu favo (= 2 écart-type au dessus) = 64% ! Effet des gènes est indissociables de l'influence de facteurs environnementaux, il ê important de s'en souvenir.


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