Sémiotique partie saussure

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Saussure étudie la « vie sociale »

-En s'appuyant sur le modèle de la langue. Le langage a un caractère dominant (permet de s'exprimer et parler des autres systèmes de signes (musiques, images, gestes, ...) et ainsi s'exprimer à leur sujet.

Les caractéristiques du signe

-arbitraire:Elle nous est attribuée sans que nous ayons le choix, par notre lieu de naissance -Le rapport signifiant-signifié nous est imposé. -(Saussure) les onomatopées sont arbitraires : Le son représente le sens, c'est donc une convention qui est établie (ex. cocorico - quiquiriqui)

Barthes dénomme 4 grands principes pour les corpus

-pertinence (un unique point de vue), -immanence (observation du système depuis l'intérieur) -saturation (tout ajout au corpus n'y apporte rien de neuf) -homogénéité (tous les documents du corpus sont si possible de même nature)

Caractéristiques de la langue

1. Objet bien défini, analysable → images acoustiques associées à des concepts. 2. Nature homogène → union de 2 éléments d'ordre psychique. 3. Réalités tangibles ≠ abstractions → dans le cerveau. 4. Partie sociale du langage → ⊥ volonté individuelle, apprentissage. 5. Système qui ne connaît que son ordre propre → intérêt pour la structure interne de la langue

Code analogique Code digital

2 extrêmes d'un continuum (représentable par un axe). Ex : le dessin et la photo sont deux signes plutôt classés vers la catégorie « code analogique », mais le dessin est moins analogique que la photo

Métonymie

= exprimer un concept au moyen d'un terme désignant un autre concept (ex : boire un verre. C'est le contenu qui est bu, pas le verre)

La pragmatique ne s'intéresse pas à l'auteur et à l'auditeur. Elle ne s'intéresse qu'à l'échange entre locuteur et allocutaire

Auditeur : qui entend ce que dit le locuteur mais cela ne lui est pas destiné.18 Auteur : ex : d'un film, livre, affiche... C'est une « forme » de locuteur.

Trouble de la similarité

Ce trouble rend la métaphore impossible. Le malade présente une déficience dans la sélection. Le contexte est décisif ET indispensable pour que le malade parvienne à s'exprimer

Type

Classe générale de toutes les occurrences possibles d'un signe. Il s'agit d'une catégorie

syntagme

Construire une phrase:mettre des signes à la suite des autres grâce à des règles.

L. Hjelmslev

Contrairement à Saussure, Hjelmslev conçoit la coexistence de la substance et de la forme et ne se concentre pas uniquement sur cette-dernière. Les plans sont divisés en 2 strates : substance et forme

La representation d'un signe

Dans certains cas, la représentation d'un mot est commune à chacun. ex: quelque chose qui peut voler. quand j'entends le mot oiseau, j'ai plutôt tendance à me représenter spontanément un oiseau qui vole. En opposition, le mot « bonheur » représente un concept bien plus abstrait dont chacun se fait donc une représentation très différente.

Analyse d'un exemple connotation

Dénotation : Des bras qui enlacent une femme (sens 1). Connotation : Ceinture de sécurité (sens 2eme). Dénotation : Un enfant, un homme et une femme Connotation : Une famille Dénotation : Une femme « protégée ». Connotation : En protégeant la femme (mère), on protège les générations à venir

image vs mots

En opposition au signe, l'image n'a rien d'arbitraire car elle représente plus ou moins la réalité d'une chose. Les mots renvoie à quelque chose qu'ils ne sont pas (une représentation mentale) tandis que l'image renvoie à la réalité, par analogie.

Contexte

Ensemble des éléments extralinguistiques qui contribuent à l'énonciation

Co-texte

Environnement linguistique uniquement ; échanges verbaux passés, futurs ou présents

Enonciation

Evènement constitué par l'apparition d'un énoncé et qui implique des sujets communiquant dans une situation spatio-temporelle précise

ex de métalangage

Exemple : Le mot « chien » n'aboie pas. Dans cette phrase, le terme « chien » n'est pas utilisé pour ce qu'il représente mais simplement comme un mot du lexique français. Nous quittons donc l'usage du mot « chien » comme langage-objet

Epreuve de commutation

Faire varier les sons pour voir si le sens s'en trouve modifié. Les phonèmes permettent de distinguer les monèmes. Exemple : tête = /t/ /è/ /t/ ; et bête = /b/ /è/ /t/. Le changement du premier phonème transforme le sens.

Le métalangage et l'approfondissement d'une langue

Il sert à décrire une langue et donc à décrire le langage-objet, une langue ne peut exister sans métalangage car il est essentiel à son fonctionnement. Reprenons l'exemple de la pipe de Magritte: Il ne démontre pas une pipe mais la représentation de ce à quoi une pipe réelle ressemble

Signifiant

Image acoustique, ensemble de sonorités

Signal

Intentionnel • Motivé (virage représenté par une courbe) • Immotivé ou arbitraire (couleur, forme) ex: les panneaux routiers

Le métalangage

Inverse de la connotation, système dont le plan du contenu contient lui-même un système de signification le système 1 devient le plan du contenu. On parle de métalangage car le contenu contient lui-même un système de signification (expression). C'est une sémiotique qui traite d'une sémiotique

L'image

L'image est un modèle imparfait. Une image ne permet pas d'exprimer la négation. Une image est une représentation et elle ne concerne et ne représente donc que ce qui existe

Plan embrayé

L'énoncé est en relation avec la situation d'énonciation. Exemple : Arthur est ici. Il est arrivé hier. Le plan embrayé est compréhensible par l'allocutaire uniquement

Plan non-embrayé

L'énoncé se présente comme coupé de la situation d'énonciation. Ex : Arthur est arrivé chez Jules. Henri était déjà là. La veille, il avait fini son article Il ne faut donc pas se référer au contexte de l'énonciation pour comprendre le message.

chaine métaphorique

La combinaison des signes linguistiques à la suite des autres. il y a une liaison qui fait que ces mots sont ensemble

procès du sens

La façon dont les signes produisent du sens est mise en évidence

La langue

La langue est un modèle parfait, elle permet de tout exprimer. Le langage verbal peut parler de choses qui n'existent pas, de lui-même, etc. C'est donc un modèle dominant. La langue n'est pas partout, elle est située. Ainsi, le processus essentiel est le processus psychique, cognitif (selon saussure)

Saussure parle de la vie des signes

La langue n'est pas morte et par conséquent les signes évoluent

La langue n'est pas qu'une suite de mot

La langue se constitue d'identités découpables. Trop de sons semblables rendent la phrase incompréhensible et il faut des césures pour articuler la langue. Plus il y'aura de césures, plus il sera facile de comprendre

Question de la nature du signe

La nature du signe commence par la définition de quand commence le signe

la construction de la langue selon saussure

La personne A a une idée en tête, elle la construit, ensuite elle va devoir la transformer en son audible, puis ce son va jusqu'à l'oreille de la personne B. La personne B va essayer de reconstruire dans sa tête ce que le personnage 1 avait imaginé. Puis ensuite de B à A etc

Un projet « logocentré»

La sémiotique est centrée sur le discours (logo), le langage, ... En résumé, la linguistique doit s'inscrire dans une science qui étudie la vie des signes au sien de la vie sociale : la sémiologie, car : • Elle repose sur des signes arbitraires • Tout moyen d'expression repose sur une/des convention(s) pour être compris • Elle est le système de signe expressif le plus performant

Linéarité du signifiant

Langage verbal en ligne temporelle, mots un par un et l'un à la suite de l'autre (perdus après avoir été prononcés). Image et gestes → signes spatiaux, musique → signes spatiaux et linéaires à la fois. Le signe acquiert une valeur selon sa place dans la linéarité

Distinction code/message

Langue → code : répertoire d'entités élémentaires commun + règles qui organisent ces unités. Parole → message : actualisation, combinaison individuelle des signes pour y donner du sens.

Domination du langage

Le langage verbal est dominant parce qu'il peut traiter de tout, de ce qui existe, de ce qui n'existe pas et même de lui-même

structural vs pragmatique

Le problème du modèle structural est qu'il ne prend jamais en compte le contexte. Ce modèle considère tous les mots du langage comme étant arbitraire. Les pragmaticiens remettent cette idée en cause. Selon eux, seuls les mots qui n'ont pas de signifié (ex : « je ») sont arbitraires car ils dépendent du contexte d'énonciation. Les pragmaticiens accordent plus d'intérêt au contexte qu'au co-texte..

le signe sémiologique

Le signe sémiologique se compose d'un plan de contenu et d'un plan d'expression

langue et code

Les auteurs vont passer du terme « langue » au terme « code » et du terme « parole » au terme « message»

Occurrence

Manifestation d'un signe. Exemple : Le nombre de fois/occurrence qu'un mot apparait dans une phrase.

Double articulation (Martinet)

Monèmes/morphèmes (dimension sémantique) qui peuvent se décomposer en ; o Phonèmes (dimension phonologique) Unités significatives (= monèmes → signes) décomposables en plus petites unités linguistiques, segments phoniques (= phonèmes) non porteurs de sens mais permettant de distinguer les monèmes. →Phonologie

Convention

Même lorsqu'un geste semble naturel, il y'a derrière une règle, une convention qui l'anime

Indice

Non-intentionnel, naturel (ex : un feu produit de la fumée même si ce n'est pas l'intention première, la fumée est donc l'indice du feu). C'est un fait directement perceptible qui nous informe à propos de quelque chose ne l'étant pas

Type ou occurrence ? - Peirce

Occurrence : Manifestation d'un signe. Exemple : Le nombre de fois/occurrence qu'un mot apparait dans une phrase.

Du syntagme à la contiguïté

Parler implique de sélectionner certains éléments et les combiner de manière à former des unités plus complexes. au sein d'un même contexte, les unités sont dans un rapport de contiguïté ; chacune prend son sens en fonction de la place qu'elle occupe par rapport aux autres

Enoncé

Phrase ou segment linguistique considéré indépendamment de son actualisation

deux registres dans la pragmatique

Plan embrayé et Plan non-embrayé

Pour Saussure, tout signe de la langue est arbitraire

Pour Saussure, tout signe de la langue est arbitraire

Signification

Rencontre entre signifié et signifiant. C'est le sens commun, trouvable notamment dans le dictionnaire

Signifié

Représentation que chacun se fait du mot, cette représentation est socialement partagée

signe selon saussure

Saussure : un objet bi-face : il se compose d'une face conceptuelle (signifié) ET de l'image acoustique (signifiant).

Saussure et le language

Saussure considère que la parole est un langage primaire, et que l'écriture est donc un langage de transposition

Forme ou substance ?

Saussure: la langue est basée sur la forme, pas la substance. ➔ Le système de signes prime sur le signe seul ➔ La substance est donc secondaire

le signe linguistique

Se compose d'unités élémentaires qui portent du sens, signifiant

Signe acquiert sa valeur

Selon les combinaisons syntagmatiques + associations paradigmatiques pour enrichir la signification (association Sa/Sé).

Code digital

Signes arbitraires (immotivés et donc basés sur une convention) et discrets (les signes sont séparés les uns des autres • Langage verbal • Langage écrit

code analogique

Signes motivés et continus (les signes sont en lien étroit avec ce qu'ils représentent) • Photo • Musique • Geste

La connotation

Soit un système 1. On suppose qu'il devient un simple élément au sein d'un système 2. Le système 1 devient le plan d'expression du système 2. Dès lors, les systèmes sont imbriqués mais également décrochés (déboités) l'un par rapport à l'autre → système dont le plan d'expression contient lui-même un système de signification

Du paradigme à la substitution

Sélection et substitution sont 2 processus liés. Lorsque le lecteur emploie un terme, il le sélectionne parmi une série de termes similaires qui pourraient se substituer les uns aux autres

Fonction-signe →L'approche de R. Barthes - méthodologie

Sémiologie de la signification → Tout objet appartenant à une culture peut être porteur de signification, sans communication évidente, et est analysable. (Barthes)

sémiologie de la signification

Tout objet appartenant à une culture peut être porteur de signification, sans communication évidente, et est analysable. (Barthes)

la valeur du signe

Un signe acquiert sa valeur en fonction des combinaisons syntagmatiques et des associations paradigmatiques dans lesquelles il est inséré.

La linguistique

Une partie de la sémiologie mais c'est la partie qui utilise le plus le signe arbitraire Seuls les signes arbitraires sont les signes qui peuvent faire parler d'un langage

phonème

Unité sonore distinctive (permet de distinguer les monèmes entre eux) * - Indécomposable - Défini uniquement par des caractères pertinents -Dans une langue, plus il existe de phonèmes, plus les mots sont courts et inversement

Benveniste s'intéresse à la relation entre locuteur et allocutaire pour déterminer qui fait ou non partie de l'échange.

Vous » ne marque pas uniquement le pluriel. On peut aussi s'adresser à une seule personne en la nommant « vous ». C'est le vous métaphorique, un vous singulier qui marque une certaine distance, de la politesse... En opposition, le vous collectif s'emploie pour s'adresser à un groupe de personnes.

La pragmatique déictique

aka situationel • Désigner les personnes impliquées et/ou concernées par l'échange (rôle des embrayeurs) • Situer les sujets communicants dans l'espace et le temps (rôle des déictiques) • Développer des stratégies de positionnement desdits sujets communicants

Champ associatif ou paradigme : l'association selon un principe de ressemblance

association de signes par ressemblance sémique (ex. cigarette/clope) ou sonore (ex. cigarette/allumette) selon le répertoire individuel mémoriel, in absentia

quand on se comprend pas (saussure)

ce n'est pas car ils utilisent les mêmes sons. C'est parce qu'ils disposent de représentations mentales similaires associées aux sons qu'ils produisent

sémiologie translinguistique

elle cherche à appliquer les concepts initialement conçus pour analyser la langue à d'autres univers de signes (musique, image, ...).

Métaphore

figure de substitution, ressemblance = modification de sens par substitution.

Manière simple d'identifier le digital

il demande toujours un travail d'apprentissage

Les déictiques

mots (adverbes) qui servent à désigner le temps ou l'espace. Ils permettent d'ancrer l'énoncé dans une situation spatio-temporelle déterminée, c'est la fonction déictique

4 principes du corpus

pertinence, immanence, saturation, homogénéité

La pragmatique

pose une critique du modèle code-message : la notion de code est une réalité, mais lui donner une place centrale est très réducteur car le processus communicationnel est bien plus complexe. Le modèle du code ne s'intéresse par exemple pas au contexte

Auditeur et auteur

qui entend ce que dit le locuteur mais cela ne lui est pas destiné Auteur : ex : d'un film, livre, affiche... C'est une « forme » de locuteur.

Le structuraliste est comparable à un boucher selon Barthes le decoupage

si le boucher coupera aux endroits qui sont articulés les uns aux autres. La langue est, en soi, aussi articulée. Le découpage ne se fait dans les articulations, là où les choses sont liées, où elles produisent du sens. →Découpage

Monème

signes linguistique Plus petite unité porteuse de sens - Unités significatives

Les signifiants vides

signifiant qui ne possède pas de signifié →Le mot « je » ne peut pas être décomposé en signifiant et signifié comme « table ». Ce mot n'a de sens qu'en fonction du contexte dans lequel il est employé. Pour savoir qui est « je » ou quel lieu désigne « ici », il faut savoir de quoi on parle, connaitre le contexte et ce qu'il désigne

trouble de syntagme.

trouble de syntagme. → Lien avec la MÉTONYMIE

un corpus

un nombre suffisant de cas représentatifs concrets (qui démontre la variété des cas) sur lesquels travailler pour tenter de dégager les règles, modes de fonctionnement, etc... Cette démarche est inductive

sémiologie

une science qui étudie les signes

fonction-signe ?

vêtement : il sert à signifier mais aussi à se protéger (du froid, ...). A l'origine, ce sont des objets d'usage, ils ont une fonction. La société les fait ensuite dériver à des fins de signification. Pour Barthes, c'est une caractéristique du signe sémiologique. Ces signes d'origine utilitaire seront donc appelés fonction-signe.

Quid des formes plurielles

« Nous » n'équivaut pas au pluriel de « je ». Il permet d'associer « je » à un groupe d'autres personnes. On parle de nous inclusif. Quand « je » n'inclut pas ses allocutaires à son propos, il s'agit d'un nous exclusif.

l'exemple de la table

« Table » est un signe Signifiant : sonorités nécessaires pour produire oralement le mot table Signifié : représentation mentale du concept de table, Signification : meuble composé d'une surface plane reposant sur un ou plusieurs pieds

ils

« ils » amplifie le caractère non-personnel de « il ». Il exprime la généralité de « on ». On peut dire que cette notion de pluriel (ils) étend la dimension non-personnelle de « il »

Temporels

• Hier • Demain • Dans un an

Spatiaux

• Ici (endroit où les interlocuteurs parlent) • Là-bas (endroit éloigné) • Ça (objet montré par le locuteur) • Ce (qui détermine des groupes nominaux)

plusieurs questions se posent à nouveau

• La question du sens : comment une image, de la musique, ... produisent du sens • La question de la nature du signe : qu'est-ce qu'un signe ? Les signes des univers extérieurs à la langue se composent-ils aussi d'un signifiant et d'un signifié ou sont-ils différents ? • La question de l'organisation des signes : comment fonctionnent le système sémiologique ? • La question de la distinction entre langue et parole

Barthes divise le « vêtement » en 3 fonctions

• Le vêtement écrit : Il n'y a pas de message, c'est un code à l'état pur. • Le vêtement photographié : état « semi-sémantique » du vêtement, le code est toujours très présent et il y'a un début de message ; Le vêtement est présenté de manière canonisée8. • Le vêtement porté : on retrouve ici la distinction code/message. Le message vestimentaire provient des éléments du port individuel (taille, usure, accessoire, propreté...) et le code provient de la variation des pièces, de leur association

Différents courants

• Linguistique structuraliste (De Saussure) • Linguistique fonctionnelle (Jakobson, Martinet) • Linguistique formelle (Hjemslev) • Grammaire générative (Chomsky) • Distributionalisme

Benveniste introduit la notion d'embrayeur de personne.

• Pronoms personnels (1ère et 2ème personne) : je, tu, nous, vous • Déterminants : mon/ton, notre/votre et leurs formes au féminin et au pluriel • Pronoms : le mien, le tien, le nôtre, le vôtre et leurs formes au féminin et au pluriel

⚠D'un point de vue pragmatique, tous les pronoms ne sont pas des personnes

→ C'est le cas de la 3ème personne du singulier : « il ». Il possède un statut différent que les autres pronoms car il n'est pas forcément employé pour désigner une personne. « Il » peut aussi bien désigner un objet, qu'un animal, que signifier le respect19, etc. La pragmatique ne considère donc pas « il » comme une personne au même titre que « tu » ou « je ».

trouble de paradigme.

→ Lien avec la MÉTAPHORE

Expression

→ ensemble des signifiants, participent à l'expression du message ⊥ sens (ex. en image : couleurs, papier)

Contenu

→ ensemble des signifiés, ce que l'expression évoque

Sémiologie de la communication

→ n'analyse que les situations où l'intention de communiquer est évidente

Trouble de contigüité

→ problèmes à combiner les mots/sons correctement, trouble du contexte. = trouble de syntagme. → Lien avec la MÉTONYMIE (figure rhétorique de linéarité).

selon searle

→Le sens littéral n'existe pas selon Searle : il repose toujours sur des conventions, il est construit par notre contexte et nos expériences humaines. On parle des lors de sens contextualisé

on cherche a comprendre un ensemble dans la connotation

→On cherche à comprendre un ensemble et pas à analyser signe par signe de façon individuelle. Ex : il n'est indiqué nulle part qu'il s'agit d'une famille. On le comprend en analysant le tout comme un ensemble


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