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microspectométrie

A=-log(Ir) Interprétation des spectres d'absorbance >nombre de maxima d'absorbance (minima) >longueurs d'onde des maxima (minima) >intensités relatives d'absorbance -Mesure inter et intravaribilité -donne courbe

guilloche

(niveau 2), utilisé dans l'ensemble du secteur de l'impression de basse et de haute sécurité (protection des marques, certificats, passeports avec timbres fiscaux, documents d'identité et billets de banque). -spirographie sorte motif repetitif fin sur le fond du billet - tous les motifs à lignes fines ne sont pas nécessairement des guillochis. -Dans certains cas, les motifs de lignes fines peuvent avoir une fonction anti-copie directe ( motif moiré ou motif anti-scanner). -Le balayage ou la copie directe du motif de sécurité affichera un message, un graphique ou des mots personnalisés tels que NO VALUE- Conception et production actuelles -Les machines générées par les guillochis à l'aide de roues mécaniques ont été remplacées plus tard par des fonctions mathématiques . Guillochis imprimés Très similaires au microtexte peut être classés selon la technique d'impression (réalisée en offset ou en taille douce) - comme un motif positif (lignes créées par l'encre) - négatif (les lignes apparaissent en blanc). Les lignes négatives particulièrement fines sont difficiles à reproduire. -peut utiliser des couleurs dédiées de tons très clairs, le pastel, qui sont plus difficiles à reproduire, en particulier lorsqu'on utilise le procédé de reproduction cyan, magenta, jaune et noir (CMJN) (par des appareils de reproduction à jet d'encre ou à toner ou par l'offset commercial). -peut être combiné avec divers dispositifs de sécurité comme taille douce - Actuellement, l'impression numérique permet la production de guillochis en utilisant des couleurs uniques sans "tramage" par des encres spéciales. Guillochs non imprimés Des motifs de complexité variable permettent à l'observateur non seulement de voir le motif mais aussi d'observer le changement de couleurs formant ce guillochage (ou plus précisément les lignes individuelles du guillochage) en fonction de la position de l'OVD par rapport à la source lumineuse. -production gaufrage ou la gravure au laser. Classification du guillochis comme élément de sécurité -Si le guillochis est formé de lignes très fines utilisant des couleurs très claires et contrefait par des dispositifs tout-en-un à jet d'encre utilisant quatre encres, le guillochis sera complètement absent sur les contrefaçons = niveau 1. -Si guillochis reproduit par offset commercial avec moins de détails = examen de niveau 2 au moins sera nécessaire (tableau 1). Contrefaçons La reproduction du guillochage par impression numérique entraîne la "fragmentation" (demi-teinte) des lignes continues vers les points individuels. -Si de loin la reproduction peut apparaître (si elle est imprimée en bonne qualité et surtout si les lignes du guillochis original étaient épaisses) comme continue, un simple contrôle visuel à la loupe révélera que le guillochis n'est pas continu. -Inventé pour les billets de banque + éLéMENT classique -def comme un "motif de fond de sécurité guilloché bicolore".

papier composition

*additif : >Matières de charges (Kaolin, Talc, CaCO3, CaSO4, TiO2) pour les papiers destinés à l'impression ou l'écriture (5 à 35% par rapport aux fibres) *Produits de collage (pour compenser la nature hydrophyle du papier): Papier filtre (chimie) 100% en cellulose > résine colophane C19H29COOH avec sulfate aluminium (Al2(SO4)3) >*Produits de synthèse * Agents de rétention * Produits améliorant la solidité (amidons à pouvoir liant) > Colorants (principalement des pigments organiques, azurants optiques) >*Bactéricides et fongicides

jet d'encre

+ répandu -continue : utilisé par industrie -sur demande : maison caractéristique par ensemble de pt bien visible sur des impressions couleurs . encre liquide penetre ds les fibres du papier. marché : imprimate thermique et piezo Se base sur une cartouche d'impression pleine d'encre attachée à la tête d'impression se déplace latéralement sur la feuille de papier qui passe sous la tête -Tete d'impression est solidaire avec la cartouche donc si change la cartouche change aussi -thermique (overspray) : resistance est traversé par un courant électrique ce qui a pour effet de chauffer une fine couche d'encre durant quelque millième seconde . encre bout et passe à etat gazeux bulle vapeur gonfle et pousse encre ds la buse : forme minuscule goutte projetée sur le papier volume injecté = picolitre résistance refroidit et bulle se perce donc vide et va vers la chambre de détente . -Piezo (pas overspray epson) : pas de resistance mais cristaux piezo electrique =apparaît à la surface de ces corps, quand on les soumet à des pressions, des charges électriques (effet « direct »). Inversement, l'application d'une tension électrique sur ces mêmes surfaces donne lieu à une modification des dimensions des cristaux (effet « inverse »). Il y a là un moyen de transformer un signal électrique en déformation mécanique et réciproquement. Se déforme + presse sur la membrane : traduit par une surpression ds le canal encreur et permet d'éjecteur les gouttes d'encre

Lutte contre la contrefaçon

- Protection légale La protection légale peut être considérée tant comme un moyen répressif que préventif de lutte contre la contrefaçon. - lois réprimant tant la fabrication que l'utilisation de fausse monnaie. ---crime grave= réclusion + peine capitale mais peines en matière de contrefaçon sont variables d'un pays à l'autre peuvent aller d'une simple peine pécuniaire pour une infraction mineure à 30 années de réclusion dans les cas graves. les faussaires pourraient choisir un pays où ils risqueraient une peine moindre. - Opérations de police Dans la lutte contre la contrefaçon, la police, les douanes et les services de renseignements mettent l'accent sur les opérations en amont de manière à s'emparer des faux billets avant leur mise en circulation. Pour ce faire, ils recourent à des procédures telles que la surveillance d'activités suspectes, l'écoute téléphonique ou l'infiltration d'agents. Ces opérations sont menées avant tout au niveau national, international, - Eléments de sécurité Face à l'augmentation des contrefaçons, les banques nationales recourent à des éléments de sécurité pour entraver la fausse monnaie. Cela inclut les techniques comme la taille-douce ou l'usage de matériaux spécifiques et non-disponibles sur le marché comme l'encre OVI (Optical Variable Ink) ou le papier de sécurité avec filigrane. -Technologie limitant les contrefaçons Avecnouv techno permet les reproductions faciles et rapides de billets de banque, la multiplication des éléments de sécurité traditionnels n'est pas suffisante. Ainsi, depuis la fin des années quatre-vingt, l'industrie, en collaboration avec la police et la banque nationale a développé des moyens techniques pour tracer et limiter la contrefaçon. Il existe deux systèmes de dissuasion de la contrefaçon. - code latent (bitmap) qui permet d'identifier les imprimantes. Il consiste à imprimer des séquences de points jaunes comprenant le type et modèle d'imprimante sur chaque feuille imprimée en couleur. - Counterfeit Deterrence System (CDS) [CDS] qui prévient l'utilisation d'ordinateurs personnel +équipements et de logiciels d'imagerie numérique pour la contrefaçon de billets. ainsi voit que c est des billets de banques refuse de les numériser . Peut ê fiable si : -cela se fait systématiquement dans tous les systèmes d'impression, faute de quoi les utilisateurs opteraient pour des systèmes dénués de ces protections. - nécessaire que les usagers n'en aient pas connaissance. L'implantation de ces systèmes est de toute évidence limitée par protection de la personnalité. En effet, la communication d'une surveillance introduite directement dans les imprimantes ou les ordinateurs pourrait entraîner plusieurs problèmes. Sur le plan politique ou social notamment, les défenseurs de la vie privée s'opposent farouchement à la mise en place et au développement de ces techniques à large échelle. Du point de vue économique également, se poserait le problème de la résistance des producteurs face à ce type de matériel. Ces derniers n'ont aucun intérêt direct à introduire des options coûteuses - En outre, les producteurs sont réticents à l'idée voir apparaître dans leurs produits des systèmes de traçabilité dont ils ne maîtrisent pas les paramètres. Cette question peut être illustrée par les discussions actuelles autour du code latent de l'imprimante. Ce code a été utilisé depuis les années nonante à l'insu des utilisateurs . En 2004, le magazine PC WORLD a révélé au public . Cela a entraîné l'opposition des défenseurs des libertés individuelles comme la fondation «Electronic Frontier Fondation» ou le site internet seeingyellow.com fondé par le «Computing Culture Group - Massachusetts Institute of Technology» . Cette opposition s'est soldée par une large diffusion de l'existence de ce phénomène, la publication de listes d'imprimantes dotées ou non de ce système et la multiplication de plaintes collectives (seeingyellow.com a organisé l'envoi de plus de 31'000 plaintes adressées aux fabricants et aux autorités politiques). Autre exemple: le parlementaire européen Satu Hashi a formulé en 2008 une requête auprès de la Commission européenne arguant que ce système contrevenait à la protection des données personnelles, à la protection des consommateurs et qu'au surplus elle n'avait aucune base légale. La Commission européenne lui a répondu de façon ambivalente que «...l'information issue de la surveillance de matériel copié ou imprimé n'inclut pas nécessairement des données personnelles...», mais que, en effet, «...les individus pourraient être identifiés indirectement au moyen de certains équipements et que cela pourrait entraîner la violation de droits humains fondamentaux tels que la protection de la vie privée ou des données personnelles... existence de plus en plus répandue de ce système de traçabilité dans les imprimantes laser pourrait jouer un rôle dans la diminution de l'usage de ce type de d'imprimantes pour la fabrication de faux billets de banques. -aspect purement économiques (baisse du coût, accessibilité) et techniques (amélioration de la qualité d'impression), expliquent peut-être la commercialisation à large échelle des imprimantes à jet d'encre. Pour les raisons énoncées ci-dessus, le code latent, bien qu'ayant été utilisé dans le domaine de l'expertise de documents (par exemple pour établir un lien entre plusieurs documents suspects, identifier des imprimantes ou détecter des anachronismes), n'apporte aujourd'hui pratiquement plus aucune contribution dans la lutte contre la contrefaçon. Education du public Une connaissance générale des billets de banque - en particulier des éléments de sécurité - peut aider à détecter les faux mis en circulation. La vulgarisation en la matière est délicate car elle fournit des informations autant au public qu'aux éventuels faussaires. D'après van Renesse, les banques centrales, par crainte d'utilisation frauduleuse, évitent de publier des informations relatives à ces éléments [21]. Seules 30 % des banques nationales mettent à disposition des informations exhaustives et bien structurées, détaillant les éléments de sécurité. Le niveau de communication est variable, allant d'un site Internet contenant des informations générales dans la langue nationale à des informations détaillées en 23 langues avec la possibilité de commander des brochures gratuites et des outils structurés en fonction du public (par exemple des programmes d'éducation ludiques pour les enfants, du matériel pour les professionnels du milieu bancaire ou financier, des documents à l'intention des médias) [22]. A l'inverse, 30 % des banques nationales ne diffusent aucune information sur leur monnaie. Le restant des banques, qui en représente 40 %, publie des informations partielles [21]. Une autre possibilité utilisée dans la lutte contre la contrefaçon consiste à former les professionnels qui manipulent l'argent liquide, tels que les employés postaux, les vendeurs ou les agents de change. Mais même dans ce cas de figure, le niveau de formation varie beaucoup dans son contenu, dans sa durée et quant au public cible entre les entreprises et d'un pays à l'autre. A titre d'exemple, depuis la diffusion d'informations très complètes à l'ensemble de la population par des campagnes ciblées par public (p.ex. les enfants, professionnels du milieu bancaire, commerçants), la contrefaçon est systématiquement en baisse au Canada depuis 2004

Support particulier

- ancien permis de conduite de la république italien : support en tissu - support en fibre synthétique (piece ESP) -piece d'identitié moderne : feuilles en polycarbonate ou multicouche plastique -support polymère : billet de banque : 1er utilisation d'envergure + polypropylène

billet suisse

- lithographie est utilisée sur les deux faces du billet, avec différents entrelacs de lignes. Il faut que ces lignes soient parfaitement alignées, ce qui est la partie la plus difficile. - sérigraphie s (pochoir) avec de la soie encre qui possèdent des variations optiques pour le globe -OVI > optical variable inks, c'est un encre qui donne des couleurs différentes selon l'angle avec lequel on le regarde -Niveau de sécurité A, le nombre magique Iriodin®: le nombre magique Un signe en relief permet aux aveugles et aux malvoyants d'identifier la coupure. La valeur de la coupure est imprimée ici dans une teinte transparente et légèrement luisante qui devient particulièrement visible lorsqu'elle reçoit la lumière sous un angle précis. -Niveau de sécurité E, le nombre caméléon (encre à effet optique variable) -taille douce est présente sur les deux faces du billet.+ num du billet pas visible donc relief - micro-impression obtenue avec la taille douce donne une résolution bien trop importante pour être lue à l'œil nue. Elle est présente sur le gros nombre du billet. -guilloche : soit taille douce soit offset - typographie Le numéro de série: implique que ligne de superposition avec offset soit parfaite : observe + encre sur bord (verso ) -laser sur billet de 100 ch les petit cube de couleur -fond en offset : petit point en bas du billet : produise aliasing : pixel cas spécial d'impression de fine ligne qui crée des patterns de façon à produire une interférence visible sur les photocopies et/ou images numérisées. C'est ce procédé qui entraine l'impression de « copie illégale » sur les faux billets imprimé avec une imprimante. -kinégramme et hologramme -possibilité de gravure laser

Filigranes (papier)

- motif logos qui peuvent ê visualiser en transparence -signe de qualité -Obtenu par pression sur la feuille humide -dessins non perméables sur le tamis -permet indirectement de dater le papier -dessin en relief sur rouleau (au dessus du tamis). Rouleau filigraneur -Ombres et lumière :Différentes densités de la masse de papier à certains endroits conduisent à des degrés d'opacité différents. Peu de différence notable d'épaisseur de papier, mais une différence de densité de fibres

papier vergé vs

- papier vélin -distingue petit et grande vergure depend du rouleau vergeur

noir et blanc impression

La majorité des systèmes d'impression sont des systèmes binaires, l'encre est transférée ou non. Pour une impression en noir, les niveaux de gris sont obtenus par « screening ». Le screening utilise la variation de la taille des points d'encre pour faire varier la teinte plutôt que la variation de la superposition des couches.

Typographie contrefaçon

- procédé d'impression en relief (plaque) dans lequel l'encre est appliquée uniquement sur les parties en relief de la surface (type) et transférée sur le papier. -cette technique a souffert de l'impression numérique. > remise en Q de typographie en tant qu'élément de sécurité traditionnel comme contrefaçon continue d'évoluer. -Autres qui ressemble la flexographie (utilisant une plaque polymère) reste une technique d'impression importante pour l'impression commerciale et d'emballages (sans aucune valeur comme élément de sécurité). -images simples (caractères alphanumériques) en couleurs uniques, - Av bien sécurisé car les faussaires n'étaient pas en mesure de produire des numéros de série individuels sur différents billets de banque. Seuls des lots de mêmes groupes de numéros de série étaient possibles. Les autres numéros de série nécessitaient des plaques différentes. -utilise pas encre spéciale -info ds numéros de série peuvent révéler, par exemple, le pays - information a aujourd'hui - de valeur en tant qu'élément de sécurité, car trop complexe a verifier et inefficace contre la contrefaçon professionnelle -Auj banque utilise - a part niveau 1 (public) (voir tableau 1) pour Banque nationale suisse, mentionnent qu'il s'agit d'un numéro identique, composé d'une lettre et de neuf chiffres et imprimé au verso du billet à deux endroits.

taille douce billet

-1 des 4 principales techniques d'impression pour haute sécurité: autres : l'offset, la typographie et la sérigraphie. -Auj machines les plus récentes capables d'imprimer jusqu'à 5 diff à des vitesses de plus de 10 000 feuill/heure. -technique qui utilise des plaques d'impression sur lesquelles le motif est gravé (créant des rainures) et grâce auxquelles l'encre est surélevée (par rapport au niveau du papier). -la quantité d'encre que la déformation non élastique du papier due à la haute pression font que l'encre crée un relief tactile (voir figure 1). -Sur l'autre face du papier, on peut observer un effet de "gaufrage" (opposé à l'effet d'embossage). -Des encres spéciales avec pigments de couleur changeants OVI peuvent ê imprimé. ->niveau 1 pour le grand public (voir tableau 1 ci-contre), car peut ê verif à l'œil nu, dans le cas d'une image latente, ou par le toucher (éléments tactiles). -Les détails fins du microtexte ou du guillochis peuvent être vérifiés à l'aide d'une loupe (niveau 2). -Les erreurs intentionnelles dans le microtexte ou les caractéristiques de la technique d'origine peuvent être examinées au microscope (niveau 3). -Encre aussi des propriétés infrarouges ou magnétiques pour verif par machine -les différents contrefacteurs professionnels réorienteront les plaques différemment. Cela permet de distinguer des diff subtiles entre plaques et groupes de contrefaçon Profondeur et largeur -La profondeur idéale de la gravure (et l'épaisseur correspondante de l'encre sur le papier) et la largeur de trait (ou, plus généralement, la taille des polices, les détails des motifs, etc. Les lignes extrêmement fines ou les guillochis sont plus difficiles à reconnaître (pour vérifier s'ils sont authentiques) mais plus difficiles à contrefaire - l'opération Bernhard (la contrefaçon de billets en livres sterling . Cependant, en plus de la production principale de livres sterling, les forces allemandes ont décidé que le dollar usa devait ê aussi contrefait. or dollar était imprimé en taille-douce et peut pas être imité aussi facilement que la livre -La réorientation des seules plaques en héliogravure a été estimée à neuf mois. ainsi faux dollars fait par collotypie (technique utilisant de la gélatine photosensible) =cette technique permettait de reproduire des détails très fins, mais pas possible le relief. *Passeports et cartes d'identité - utilisée pour imprimer la première et la dernière page (face interne du livret de passeport) des passeports, pages individuelles sont imprimées en offset -ID en papier sont imprimées en taille douce, mais avec l'augmentation du laminage, la taille douce perd une partie de sa valeur -Le laminage est un procédé de fabrication par déformation plastique. Il concerne différents matériaux comme du métal ou tout autre matériau sous forme pâteuse comme le papier ou les pâtes alimentaires. Cette déformation est obtenue par compression continue au passage entre deux cylindres contrarotatifs. - Le passage du papier au polymère a conduit à l'abandon de la taille-douce-> tactilité produite par d'autres techniques. *Directive sur les produits du tabac (DPT) + timbres fiscaux -rarement utilisé et moins de relief La directive mentionne la gravure en creux ds 2 éléments de sécurité apparents : l'image latente et le motif tactile. -Le DPT définit une image latente comme "un motif linéaire imprimé en taille douce qui révèle une image différente lorsqu'on incline l'objet sur lequel il est imprimé". -Un motif tactile (sans définition) def comme "une impression en taille douce produisant un relief tactile en relief, qui peut être authentifié en lumière oblique". *Protection des marques et impression commerciale - moins voulut car vitesses d'impression plus faibles et de l'accès restreint aux machines d'impression. -Interpol a développé le projet S-Print avec la communauté des forces de l'ordre et l'industrie de l'impression de sécurité afin de réduire la prolifération des équipements donc taille-douce est rare dans l'impression commerciale par rapport à l'offset. - utilisation persistante de la taille-douce dans l'impression non sécurisée est l'utilisation artistique pour imprimer des gravures à la main en petites quantités d'exemplaires.

sécurité du papier

-Ajout d'élément externe comme fibre =planchette dans la pate avec propriété lumi , couleur , se detecte au microscope. - Distingue les vraies fibres des fausse car on peut prélever les vrai car les faussaires les imprime. -Objectif faussaire : passer la première sécurité pas besoin d'une qualité irréprochable

système d'impression avec docu maitre

-En relief : >Typographie/letter press doc maitre en 3D + encre appliqué sur sommet puis appliqué sur le papier à imprimer. encre sommet se depose donc un peu enfoncé ds le papier + surplus encre sur les cotés (visible lum rasante) + effet 3D > Gravure doc maitre en 3D mais encre est ds les creux + lame enleve ensuite excès , puis appliqué sur les support . Pression bien distribué sur tte surface donc pas de relief mais détour du doc maitre visible taille douce est une sous catégorie de ceci en + de qualité et condition précise : T encre :50-70 , P = 10000 N/cm très cher -A plat : >Offset/litographie : doc maitre en 2D encre se depose préférentiellement par endroit . et 4 système diff pour 4 couleurs , ce fait sur plaque métallique généralement en alu , zone non imprimé de la plaque sont hydrophile (repousse encre) et zone imprimé sont hydrophobe + accepte l'encre or encre =huile . Ensuite , doc maitre apposé sur un blanchet (sorte de buvard circulaire absorbe l'eau et garde l'encre), puis le blanchet est apposé sur le papier à imprimé sur lequel l'encre se dépose pour lit : base alu photosensible , protege la partie à imprimé par filtre noir, expose à lumière , ce qui est pas protégé réagit . puis trempé dans bain composé de produit qui attaquant les zones ayant réagit . puis encre acceptera la zone protégé. original négatif bah on fait inverse -pas de relief sur impression >Sérigraphie /Pochoir encre est forcée à travers le doc maitre qui est un film portant la trame de l'élément à imprimer (définie par un stencil qui bouche les trous qu'on ne veut pas) et se dépose sur le support à imprimé . Film peut ê en soie, plastique. En principe : pas possible de faire de quadrichromie , avec cette technique car la taille des pt d'encre varie un peu. peu boucher les trou avec de la colle au endroit non voulu

ruban machine à écrire

-Jusque dans les années 60, bande de tissu imbibé d'encre = à passage multiple car il était utilisé jusqu'à épuisement d'encre. - rubans carbones sont des rubans imprégnés non pas d'encre mais d'élément de surface qui se dépose directement sur le papier, c'est l'aplat du ruban qui est dans le papier = ruban à passage unique. Chaque frappe laisse une marque sur le ruban permet de relire tout ce qui a été tapé avec la machine. - il peut être corrigé. -Chaque fabricant produisait sa propre cartouche incompatible avec autres modèle -> système qui étaient capable de relire les rubans (car ceux ci ne possédaient ni espace ni coupure de mots). -Saisir la machine + rubans -carnets de maintenance sont tenus pour chaque machine, il faut prélever également ces carnets=permet de savoir si dans l'intervalle de temps entre la saisie et l'événement il y a eu des événements de maintenance.

operation andreas

-Le premier problème auquel les contrefacteurs ont dû faire face était la production de papier pour les billets de banque. - Une analyse du papier utilisé dans les véritables livres britanniques a été effectuée dans les universités chimiques allemandes, impliquant de multiples tests physiques, optiques et chimiques (Burger). -Une usine de papier à Spechthausen (Fig. 2) à Eberswalden raison de la quantité de contrefaçons nécessaires, du papier fabriqué à la machine a été utilisé afin d'accélérer le processus (Malkin). -matières premières produites en Turquie, mais cela les a conduits à les acquérir auprès de la même source. - espions allemands ont découvert qu'il utilisaient des chiffons ou des sacs postaux recyclés dans leur production de papier au lieu d'utiliser de nouveaux matériaux. Pour imiter ces propriétés, les Allemands ont utilisé des chiffons qui avaient été utilisés dans les usines pour nettoyer les machines et les ont transformés en production de papier (Burger). - La gravure des plaques de cuivre pour les typographies pour obtenir motifs sur billet -diff plaque de gravure - le système de numération des billets authentiques a été craqué. - l'opération Andreas a été arrêtée après avoir imprimé environ 200'000 billets de dix livres (Malkin). -a ce stade facile de reconnaitre vrai des faux

Limitation de l'ESDA

-Les écritures au crayon de papier -Possibilités de transfert secondaire par pression d'un document portant un foulage important sur un document n'en comportant aucun. -Inversion de contraste lorsqu'une fourre plastique interfère - Sensibilité à l'humidité ou aux solvants

Additifs

-Matières de charges (Kaolin, Talc, CaCO3, CaSO4, TiO2) pour les papiers destinés à l'impression ou l'écriture (5 à 35% par rapport aux fibres) -Produits de collage (pour compenser la nature hydrophyle du papier): Papier filtre (chimie) 100% en cellulose > résine colophane C19H29COOH avec sulfate aluminium (Al2(SO4)3) -Produits de synthèse -Agents de rétention -Produits améliorant la solidité (amidons à pouvoir liant) - Colorants (principalement des pigments organiques, azurants optiques) - Bactéricides et fongicides

Lutte contre la contrefaçon

-Protection légale + moyen répressif que préventif de lutte contre la contrefaçon. Lois qui reprime la fabrication + l'utilisation de fausse monnaie. entraînant des peines importantes telles que la réclusion ou la peine capitale. -A l'heure actuelle, les peines en matière de contrefaçon sont variables d'un pays à l'autre. Elles peuvent aller d'une simple peine pécuniaire pourune infraction mineure à 30 années de réclusion dans les cas graves =sont potentiellement source d'évasion du crime puisque les faussaires pourraient choisir un pays où ils risqueraient une peine moindre. CH peine, parfois sous la simple forme de jours-amende [9], reste une des plus basses en Europe. -Opérations de police Dans la lutte contre la contrefaçon, la police, les douanes et les services de renseignements mettent l'accent sur les opérations en amont de manière à s'emparer des faux billets avant leur mise en circulation. Pour ce faire, ils recourent à des procédures telles que la surveillance d'activités suspectes, l'écoute téléphonique ou l'infiltration d'agents. Ces opérations sont menées avant tout au niveau national puis plus haut niveau - Eléments de sécurité Face à l'augmentation des contrefaçons, les banques nationales recourent à des éléments de sécurité pour entraver la fausse monnaie. comme la taille-douce ou l'usage de matériaux spécifiques et non-disponibles sur le marché comme l'encre OVI (Optical Variable Ink) ou le papier de sécurité avec filigrane. - Technologie limitant les contrefaçons Nouv technologiei permet les reproductions faciles et rapides de billets de banque-> dvlp de moyens techniques pour tracer et limiter la contrefaçon. Il existe deux systèmes de dissuasion de la contrefaçon. >le code latent (bitmap) qui permet d'identifier les imprimantes. séquences de points jaunes comprenant le type et modèle d'imprimante sur chaque feuille imprimée en couleur. >Counterfeit Deterrence System (CDS) [CDS] qui a pour objet de prévenir l'utilisation d'ordinateurs personnels ainsi que d'équipements et de logiciels d'imagerie numérique pour la contrefaçon de billets = reconnaît les billets de banques et refuse de les numériser et/ou de les imprimer Fiable si - introduction systématique - implantation de ces systèmes est de toute évidence limitée par l'intérêt de la protection de la personnalité. En effet, la communication d'une surveillance dans les imprimantes ou les ordinateurs prob sur r le plan politique ou social . Du point de vue économique également, se poserait le problème de la résistance des producteurs face à ce type de matériel. Ces derniers n'ont aucun intérêt direct à introduire des options coûteuses Cette question peut être illustrée par les discussions actuelles autour du code latent de l'imprimante. Ce code a été utilisé depuis les années nonan-324 3/13 En 2004, le magazine PC WORLD a révélé au public la présence de ce système de traçabilité [16]. -Cela a entraîné l'opposition des défenseurs des libertés individuelles comme la fondation «Electronic Frontier Fondation» ou le site internet seeingyellow.com fondé par le «Computing Culture Group -Cette opposition s'est soldée par une large diffusion de l'existence de ce phénomène, la publication de listes d'imprimantes dotées ou non de ce système et la multiplication de plaintes collectives (seeingyellow.com a organisé l'envoi de plus de 31'000 plaintes adressées aux fabricants >L'existence de plus en plus répandue de ce système de traçabilité dans les imprimantes laser pourrait jouer un rôle dans la diminution de l'usage de ce type de d'imprimantes pour la fabrication de faux billets de banques. Cependant, plusieurs autres aspects, purement économiques (baisse du coût, accessibilité) et techniques (amélioration de la qualité d'impression), expliquent peut-être la commercialisation à large échelle des imprimantes à jet d'encre. -Education du public Une connaissance générale des billets de banque - en particulier des éléments de sécurité - peut aider à détecter les faux mis en circulation. La vulgarisation en la matière est délicate car elle fournit des info autant au public qu'aux éventuels faussaires. Seules 30 % des banques nationales mettent à disposition des informations exhaustives et bien structurées, détaillant les éléments de sécurité. A l'inverse, 30 % des banques nationales ne diffusent aucune information sur leur monnaie. Le restant des banques, qui en représente 40 %, publie des informations partielles [21]. >former les professionnels qui manipulent l'argent liquide, tels que les employés postaux, les vendeurs ou les agents de change. Mais le niveau de formation varie beaucoup dans son contenu, dans sa durée et quant au public cible entre les entreprises et d'un pays à l'autre.

identifier jet d'encre

eencre sont composants les + critique des imprimante : donne qualité mais caracteristique éjection et fiabilité du système encre = eau +pigment : projet black carcateristique sur buse defectueuse + parametre : modif par user ou par fabricant determiner la résolution

type de sécurité - transparence

-Registre transparent traditionnel(dep 10 ans). C'est un exemple typique d'élément imprimé qui est intégralement imprimé en même temps que le dessin d'impression global et ne nécessite pas d'étapes supplémentaires ou l'utilisation de techniques d'impression différentes de celles du reste du document. catégorie 1 (public) vérifiable à l'œil nu. Cepdt, des études montrent que la transparence n'est pas facilement comprise par le public et que sa vérification prend beaucoup de temps. savoir si tjrs pertinent ou remplacé par un autre -Production élément transparent est imprimé par impression offset simultanée (impression recto (le recto) et verso (le verso) de l'objet en même temps) de sorte que le motif du dessin est divisé en deux parties : une partie de l'image est présente au recto et l'autre au verso. - en lumière transmise - sur un substrat transparent ou semi-transparent - les deux images deviennent visibles et créent une image complète - la transparence. - Conception caractéristiques de transparence a) les éléments créant le motif principal, b) les éléments créant le fond, c) deux tailles différentes de la même forme, d) les lignes fines créant un motif. -Design Le contraste de l'encre par rapp papier est essentiel, et encore plus lorsqu'il est utilisé au verso (le dos du document) Transparence peut ê vu des 2 côté mais est faite pour le recto. choix des couleurs importante car certaines sont peu visibles en raison de leur faible contraste lorsqu'elles sont observées en lumière réfléchie. En lumière transmise, les encres très claires, surtout si proche du papier, peuvent disparaître. -Utilisation actuelle de la transparence Pour les billets de banque, la transparence est la caractéristique qui est généralement présente quel que soit le support utilisé. ID papier + pages indiv passeport -Transparence n'est pas compatible avec les substrats polymères + épais qui peuvent être utilisés dans les cartes d'identité, ni avec la page de données en plastique des passeports. or utilisation des fausse ID + passeport est sujet à contrefaçon + modification des données, la valeur de la transparence est inférieure à celle des billets de banque, où la plupart des contrefaçons sont des reproductions de l'original.

Auj contrefaçon

-augmentation du nombre de faussaires produisant davantage de petites quantités de contrefaçons [1]; -augmentation de la popularité des outils bureautiques de reproduction (imprimantes, photocopieuses); -Un partage de l'information via Internet. . Les sources disponibles ne mentionnent pas si cette augmentation est induite par des raisons de coût de matériel et d'amélioration de la qualité ou aussi en réaction à l'introduction connue de mesures de sécurité dans les imprimantes laser. A titre d'illustration, une recherche sur un moteur de recherche Internet avec la mention «how to print banknotes» propose automatiquement des alternatives comme «how to print fake banknotes» et «how to print banknotes in photoshop». et parle pas du dark net

fil de sécurité

-basée sur le substrat + niveau 1 + largement utilisé enhaute sécurité + jeune Ce dispositif a connu une grande évolution ces dernières années et est passé de la soie au fil métallique pour devenir un dispositif plus large, complexe et multicouche portant des motifs interactifs. -désigne un élément de sécurité intégré dans la structure du papier, comme c'est le cas par exemple pour les fibres de sécurité. Les fils peuvent être incorporés dans le papier de sécurité dans le sens machine de la fabrication du papier peuvent être -soit invisibles en lumière réfléchie (fil dit incorporé), -soit apparaître et disparaître périodiquement sur une face du papier (fil de fenêtre). Classification des fils de sécurité - basée sur la manière dont ils peuvent servir de caractéristiques de premier niveau. - Pour la vérification à ce niveau, aucun outil technique n'est nécessaire, mais cela révélera "seulement" la présence du fil. - de fils entièrement intégrés, l'examen se fait en lumière transmise. -le cas de fils fenêtrés, l'observation peut se faire en lumière réfléchie + la lumière transmise confirmera si le fil est continu et donc authentiqu ou l'effet optique basé sur l'utilisation d'encres à couleurs changeantes, l'holographie ou les structures lenticulaires -Ces effets optiques rendent les fils de sécurité encore plus complexes contre la contrefaçon, tout en permettant une vérification simple Sécurité La taille du texte + grande que microtexte ( 0,25 mm) -texte négatif sur le fil est généralement aussi bien communiqué par les autorités émettrices que les caractéristiques de niveau 1 (principalement dans le cas des billets de banque). - Le texte, les valeurs numériques ou les images plus complexes à l'intérieur du fil peuvent être obtenus par démétallisation, impression ou intégration -peut aussi intégrer des caractéristiques UV (ultraviolets) vérifiables par une lumière UV portable. -niveau 3 comprendre des propriétés lisibles par machine (magnétisme). Billets - couramment utilisés -fil de sécurité n'est pas présent sur les billets de banque en polymère en tant qu'élément incorporé, mais certains billets en polymère comportent un "fil de simulation imprimé", d'autres un "fil imprimé". Mais valeur d'un "fil imprimé" (simulation de l'apparence d'un véritable fil incorporé) est plutôt faible car il est moins difficile pour un faussaire d'imiter que d'imiter les véritables fils . Passeports et cartes d'identité -Le substrat épais en polycarbonate utilisé pour la page de données des passeports ou des cartes d'identité permet pas œuvre un fil de sécurité . - fil est présent dans certains cas sur les timbres fiscaux pour l'alcool lorsque l'utilisation d'une bouteille et d'un liquide transparent permet l'observation en lumière transmise. -mais comme épaisseur du papier des timbres fiscaux (qui est généralement inférieure à celle des billets de banque) et de leur taille, la taille de la fenêtre du fil devrait être très petite pour garantir qu'au moins une fenêtre du fil sera visible. Idéalement, la zone devrait également être vierge, sans surimpression, ce qui réduirait l'espace pour les autres éléments de sécurité. Contrefaçons - L'imitation d'objets authentiques produite par simple reproduction sur des appareils à jet d'encre ou à toner conduira, dans le cas d'un fil, soit à une absence d'imitation (fils incorporés), soit à une imitation partiellement imprimée (dans le cas de fils fenêtrés)= médiocre à l'impression, car il manque couleurs que l'imprimante ne peut pas imprimercar gamme inférieure de couleurs disponible - D'autres imitations de fils par des amateurs consistent généralement à dessiner les fenêtres de fil sur le document avec des stylos à gel argenté ou à couper des parties de fils similaires ou de feuilles d'aluminium et à coller les parties coupées sur la zone du document où le fil fenêtré mais pas très efficace

filigrane

-caractéristique basée sur le substrat, sort image, un nombre ou un texte sur papier qui apparaît sous une teinte différente contrastant avec le "fond" (papier sans filigrane) en raison de l'épaisseur ou de la densité différente du papier. -peut être créé à la fois sur des feuilles faites à la main et sur du papier fabriqué à la machine. -Un exemple de contrefaçon presque parfaite de filigranes se trouve sur les livres britanniques pendant l'opération Bernhard. Le papier et surtout le filigrane ont été développés sur une période de près de deux ans. Classification des filigranes - basée sur le processus de production : le filigrane sur substrat et les filigranes chimiques sont diff -basé sur le substrat, deux types: -le filigrane à moule cylindrique et le filigrane Fourdrinier. Ce dernier utilise un rouleau dandy. Une classification simple basée sur le résultat visuel observé par un profane peut être divisée en quatre catégories : -positif (l'image du filigrane est plus foncée que le fond), -négatif (l'image du filigrane est plus claire que le fond), -bicolore (positif et négatif) -multiton (graduation continue des nuances) que avec cylindre rond Des filigranes à fort contraste peuvent également être créés sur des moules cylindriques - le filigrane électrotype est principalement utilisé pour la valeur nominale. -moule cylindrique (cylindre recouvert d'un treillis métallique sur lequel est gravé le dessin du filigrane). Le moule cylindrique tourne dans un bain entouré de fibres de coton et d'eau. Un treillis métallique retient la matière fibreuse dans les zones creuses. Ce procédé permet de produire à la fois des filigranes d'ombre (multiton) et des filigranes de type électrique. - + clair et détaillé que ceux obtenus par le procédé de Fourdrinier-dandy roll. -Filigrane Fourdrinier utilise le rouleau dandy - un rouleau recouvert d'un filet qui est gaufré d'un motif. Le motif est transféré sur le papier formé et réduit l'épaisseur dans cette zone. -méthode courante de production de filigranes positifs et/ou négatifs -Filigrane chimique le papier a la même épaisseur mais est modifié par des produits chimiques qui créent une impression de filigrane. Ces filigranes peuvent, à première vue, ressembler aux filigranes classiques mais portent qu'un simple motif (logo) en une seule tonalité. -Filigrane numérique -e modification visible ou invisible d'une image numérique qui sert à protéger l'information selon laquelle l'image est protégée par le droit d'auteur- copyright utilisé comme mécanisme pour incorporer des informations cachées dans un fichier vidéo, audio ou image. Classification du filigrane en tant qu'élément de sécurité -niveau 1 (public) (tableau 1)- suffit que l'objet portant le filigrane soit maintenu contre la lumière (transmise) ou vu en lumière réfléchie sur un fond plus sombre. -Auj les filigranes restent des éléments de sécurité importants. La plupart des études relatives à la perception des billets de banque montrent constamment que les filigranes sont très bien cotés par le grand public -peut aussi servir de caractéristiques de niveau 2 ou niveau 3. La modification intentionnelle de détails fins peut également fournir des informations supplémentaires telles que le lot ou l'année de production. Contrefaçons Les filigranes contrefaits produits par la reproduction d'un billet authentique par des dispositifs à jet d'encre ou à toner ne seront pas du tout visibles et le contrefacteur doit faire des efforts supplémentaires pour imiter cette caractéristique basée sur le support. donc de qualité inférieure = contraste beaucoup plus faible ou beaucoup plus fort, une simplification des détails, etc. Billets de banque -Si différents substrats utilisés pour les billets de banque, un filigrane est couramment mis en œuvre dans le papier -Mais ne sont pas présents sur les billets en polymère, même si parfois une image d'ombre observable en lumière transmise (créée par l'absence/la présence de surimpression blanche) est nommée à tort comme filigrane. - donc plus sur ID mais reste sur Visa

microtexte

-dispositif de sécurité basé sur l'impression et le dessin de niveau d'inspection (niveau 2), avec offset et en creux sécurisée. -diverses techniques de création et de finition. Dans ce cas, le texte est présent soit sur un support complètement différent (par exemple, sur des OVD à base de feuilles o) et/ou ds tailles de texte beaucoup + grandes ou plus petites que tandard. Fig 1 : Un exemple de microtexte sur un billet de banque (50 francs suisses, 2016). - la taille du microtexte ? définition du microtexte tirée de "Documents de voyage lisibles à la machine, Partie 1 - Introduction" définit le microtexte comme "un texte imprimé ou des symboles inférieurs à 0,25 mm/0,7 pica points" (OACI, 2015). -Mm la littérature scientifique n'est pas cohérente sur la Q de classification microtexte Par exemple, Ruud Van Renesse affirmait que le microtexte faisait partie de la catégorie des dispositifs de sécurité de première ligne (définis par la même source que ceux vérifiés sans équipement). Une autre partie de la même source affirme que "les micro-impressions sont de bons éléments pour certifier l'authenticité d'un document, - la sécurité de niveau 3 (nécessitant l'utilisation d'un macroscope ou même d'un microscope) peut augmenter avec espaces différents dans le microtexte ou en modifiant légèrement les polices de caractères. Microtexte imprimé il peut apparaître -sous forme de texte (positif) -absence de texte sur le fond (microtexte négatif) - peut avoir une taille constante ou variable -plsrs couleurs possible En fonction du grossissement nécessaire, on peut trouver trois catégories de tailles : le macrotexte - lisible à l'œil nu ; le microtexte - lisible à la loupe inf 0.2 mm le nanotexte inf 25 micron - nécessitant une microscopie optique ou même électronique. -utilisé par banque + imprimé par toner + timbre fiscaux et ici mentionné dans la catégorie des éléments de sécurité semi-couverts. Le DPT définit le microtexte comme "un texte imprimé en très petits caractères qui doit être agrandi pour être lisible à l'œil nu". - très facile à intégré + sans besoin etape supp : gain tps + cout

examen machine à écrire

-examen préliminaire du document: > -Suit une description des éléments généraux en distinguant les caractéristiques de la machine et des caractères. -solidaire de la machine est un caractère de machine -ce qui est solidaire aux caractères est une caractéristique de caractères. -> Codification pour des recherches dans les bases de données (investigatif, lorsque l'on ne dispose pas de machine(s)) toujours classés par fiche signalétique ou base de donnée pour les répertorier. -Après avoir identifié le type de machine il faut se poser la question de l'individualisation et savoir si on peut associer le texte et la machine. -description générale précède l'ESDA sur le document. -le type d'impression est analogue à la typographie et peut donc être détecté par analyse du relief. -L'ESDA permettra donc d'observer le relief produit par les caractères et donc permettre d'identifier la machine à écrire comme instrument scripturant et permet de detecter les foulage - examens optiques -la recherche et le prélèvement des traces

falsification du dollars

-mis du tps à ê detecte car il avait tous les element de sécurité trad comme filigrane diff : -absence de fluorescence en UV -trame légèrement diff -filigramme forme diff + lumi diff -fibre rouget et bleu sont introduite ds masse du papier : fibre rouge luminesce diff + en viscose alors que vrai sont en nylon

police de caractere machine à ecrire

-pas fixes, chaque box est à peu près le même. -marquage d'un caractère est inconstant, certains caractères sont plus forts que d'autres (ou sur le haut/bas) -possible de voir la trame du ruban si la pression est forte= se caractérise par des petits points ou motifs dans la lettre ou sur ses bords, qui est en fait la maille du ruban. -un ruban à passage unique on, la lettre sera plus foncée. - ruban carbone il n'est pas possible de distinguer la trame du ruban mais il est possible de d'observer des éclats de ruban qui sont en fait des petits morceaux de carbones qui se sont détachés pour se coller au papier. -Le type de caractère , il y a une classification par la taille et une classification par le type. Il y a des caractères sérifs avec des enjolivures du caractère. Les caractères sans sérifs n'ont pas d'enjolivures. -Les sérifs améliorent la qualité typographique et la lecture mais ils sont fragiles sur une machine à écrire. -italique -cubique forme carré des o,p -gothique minuscule et majuscule au forme similaire

crayon

déposition de matiere par friction mine composéde graphite et d'argile cuite dureté varie H mine dure HB moyen B grasse epaisseur de la mine varie quand on la taille donc pas interet forensique foulage visible car on dout appuyer pour tarcer notre trait dépôt depend e l'etat de la mine + position de la main et pression donc depot pas tootalement homogene . depot a lieu sur les bosses du papier donc peut ê discontinu : zone plus dure ou plus tendre que d'autre Arrive que trait blanc = pas de depot de matière = ligne pertée (mais permetterait pas de distinguer deux crayon)

type sécurité - timbre fiscaux transparence

-situé sur les cigarettes et le tabac ne sont pas transparents, car il faut une surface d'impression relativement grande pour cette caractéristique +impression recto-verso est nécessaire, Toutefois, éléments de sécurité mis sur timbres fiscaux : -filigranes,(lumière transmise) -Vérification filigrane nécessite le retrait du timbre collé. -Des fils de sécurité ont également été observés dans les timbres fiscaux pour l'alcool= peut être facilement vérifié si la bouteille + contenu = clairs. Mais l'examen visuel du fil n'est généralement pas possible. -Pour la protection de la marque, l'intégration directe de la caractéristique de transparence sur l'emballage n'est pas possible. -Dut à l'épaisseur du carton + que nécessite au lieu d'une impression commerciale standard en offset/ flexographie une autre type d'impression - Caractéristique obsolète ? Des études récentes dise que si long tps de vérification est nécessaire + a méconnaissance et à la mauvaise compréhension du public, a conduit à son retrait de la deuxième série de billets en euros. -L'absence de transparence sur la deuxième série ne doit pas être confondue avec les marques de registre sur les billets qui sont présentes pour le contrôle de la qualité et qui peuvent ressembler à des transparents miniatures. -Pourquoi le conserver ?car peu cher par apport aux caractéristiques appliquées. car mm encre que si pas de transparence -plus dure pour contrefacteur a faitr : augmente leur cout + déchets o. Le temps de verif peut ê réduit si l'élément est placé à proximité d'autres éléments qui doivent être vérifiés en lumière transmise (filigrane ou fil de fer). NEW image transparentes comme marque SIM de KBANotasys (figure 3) Orell Füssli Security Printing contenant des images en couleur qui sont observées selon différentes conditions d'éclairage (figure 4). ->peut être utilisé pour imprimer dans une fenêtre transparente des substrats polymères et des papiers hybrides q.

sécurité des fibres

-très utilisé basée sur le substrat,+ niveau 1 ou 2 en fonction de leur aspect visuel et de leur taille. --def pour les dispositifs de sécurité généralement fabriqués à partir de matériaux synthétiques et intégrés dans la structure du papier (c'est-à-dire mélangés à la pâte avant de former le papier). -mélangé de manière chaotique mais répartit de manière homogène bien qu'on peut décidé de mettre que ds une zone - observables des deux côtés du papier et, selon l'épaisseur du papier et la taille des fibres, même une seule fibre peut être partiellement visible des deux côtés du papier. Planchettes Comme les fibres, les planchettes sont un autre élément de sécurité intégré utilisé dans certains documents de sécurité. - disques ronds ou hexagonaux en cellulose, en matière synthétique ou en matériaux spéciaux (s propriétés holographiques) qui sont mélangés à la pâte à papier -peut être observées dans différentes conditions d'éclairage. Classification des fibres de sécurité -classées comme visibles ou invisibles - ou une combinaison des deux. -Les fibres visibles sont observables sans aucun outil, à la lumière du jour ou à la lumière artificielle. -Les fibres invisibles sont observables sur la base de leurs propriétés spécifiques et nécessitent souvent l'utilisation de sources d'éclairage dédiées pas ds visible (comme les sources ultraviolettes ou infrarouges) -Les fibres peuvent être classées en fonction de la manière dont elles sont réparties dans le document. - sur le fait qu'1 seule fibre a des propriétés homogènes ou, comme dans le cas de fibres plus sophistiquées, sur le fait qu'elle a des propriétés qui alternent sur la longueur de la même fibre (par exemple, les fibres bicolores). Fibres tricolores dans un billet de 5 euros (deuxième série). trois catégories : manifestes, semi-couverts et dissimulés. fibre classé en 2 catégories : -semi-couvertes (fibres visibles à la lumière du jour) -cachées (fibres visibles aux UV). -cette classification est délicate étant donné la difficulté de classer les fibres comme visibles (TPD : manifestes) ou invisibles (TPD : semi-couvertes ou cachées). -Car fibre avec contraste qui ne sont pas surimprimées peut être visible à œil , les fibres à faible contraste sur des surfaces fortement surimprimées sont souvent plus difficiles à discerner. -selon le DPT, sont pertinentes dans le cas des timbres fiscaux sur papier. Si ces fibres devaient être incorporées directement dans l'emballage en carton du paquet de cigarettes, l'épaisseur du carton nécessiterait une grande quantité de fibres Billets de banque - très courante des supports à base de papier , deux couches de papier et la couche interne de polymère permettent l'utilisation de différentes combinaisons de fibres au recto et au verso. - pas concidéré comme élément le plus important -aussi ds ID et visa -Les deux sections soulignent la nécessité d'un "papier UV mat ou d'un substrat à réponse contrôlée aux UV - de sorte que, lorsqu'il est éclairé par la lumière UV présente une fluorescence dont la couleur se distingue de la luminescence bleu-blanc utilisée dans les matériaux courants contenant des azurants optiques" -Papier de bureau standard avec azurants optiques (en haut) et papier de sécurité UV mat (en bas) Contrefaçons -Les contrefaçons primitives n'ont pas de fibre . Si fait très facile à voir

Production d'un filigrane

-à forme ronde : rouleau se trouve directement ds le bac de la pâte à papier ce qui permet d'obtenir des transition douce - différense dut au diff de densité + meilleur qualité + effet tridimentionnel -à forme plate : le dessin imprimé se trouve sur le rouleau qui se situe après le tamisage, trace au diff de densité ds le papier à certain endroit cela conduit à des opacités différente

Examen papier

1) comparaison (Q évaluative ) contexte + Q de nature papier , origine 2) Source Q investigatrice , determiner origine du papier (si pt commun entre fabricant , si production volé) 3) Age dater la piece en accord avec date de fabrication

Analyse crayon et agent scripturant

1) examen préliminaire -œil nu .macroscope microscope 2) Analyse optique : -polilight -docubox -Lampe Mac Beth 3) Analyse élémentaire par ICP-MS (sélectif + très cher) a spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif, type de spectrométrie de masse capable de détecter les métaux et plusieurs non-métaux à des concentrations très faibles, pouvant aller jusqu'à une partie par billiard lorsque le bruit de fond isotopique est assez faible ou interfère peu. Cette analyse est effectuée en ionisant l'échantillon au moyen d'une torche à plasma, puis en analysant le plasma résultant par spectrométrie de masse pour séparer et quantifier ces ions.

Analyse imprimante jet encre

1-ESDA mise en evidence d'un default de roue (petit point) 2-exa optique : luminescence des encres Micro spectrophotométrie des encres : permet de mesurer la couleur de manière objective. Ceci est utile lors de l'examen des impressions couleur avec des colorants ou des pigments. 3-chromatographie des encres 4-reperage overspray 5-determination de la résolution 300 dpi ou 360 dpi (canon) Une méthode consiste à compter le nombre de lignes dans 1 mm et multiplier le résultat par 25.4 (= 1 pouce (inch) pour obtenir la résolution en dpi." 6-repérage dee buses occluse, defaut 7-mesure aire des lettres

encres date

1564 : crayon fait de graphite 1795 : crayon a mine (révolution 1850 : plume à réservoir 1944 : stylo à bille 1964 : Stylo à pointe poreuse 1970 : Stylo à bille flottante 1984 : Gel Pens

Classification et expertise des contrefaçons

4 catégorie de billet de banque : • Billets authentiques: produits par les autorités compétentes pour l'émission des billets de banques. • Billets modifiés: billets authentiques dont un des éléments est modifié. • Contrefaçons: faux billets produits avec des matériaux différents des authentiques. • Imitations: faux billets proches des contrefaçons. La production des imitations est cependant licite. Il s'agit par exemple des productions autorisées à des fins artistiques ou commerciales (tournage de film, SAISIE : 1er examen à effectuer consiste à déterminer s'il s'agit de billets authentiques, modifiés,contrefaits ou imités cette analyse peut se faire par une comparaison physique entre les billets suspects et un spécimen authentique. --> peut ê fait soit par les banques nationales soit la police, . Pour simplifier l'analyse, les experts divisent la contrefaçon d'après leur qualité en quatre ou cinq catégories selon les pays. Par exemple, la Banque nationale tchèque utilise l'échelle suivante: • Très dangereux: fabriqués selon les mêmes techniques et matériaux queles authentiques. Tous les éléments de sécurité sont parfaitement reproduits.détectés qu'au moyen de techniques spécifiques réservées aux experts et/ou fabricants. • Dangereux: fabriqués selon des techniques similaires aux authentiques.La majorité des éléments de sécurité sont bien reproduits. Ces billets ne sont généralement pas identifiés sur le marché, mais le sont par les employés de banque. • Moyens: fabriqués selon différentes techniques d'impression. Seule une partie des éléments de sécurité est imitée. Ces faux billets ne sont acceptés que dans des conditions particulière • Faibles: fabriqués selon différentes techniques d'impression. Les éléments de sécurité ne sont pas reproduits. Ces billets sont acceptés uniquement en cas d'inattention. • Très faibles: imitation grossière, impression partielle et/ou manuelle, parexemple édités en noir et blanc plutôt qu'en couleur Par l'analyse des techniques d'impression, l'expertise forensique vise • La mise en relation avec un suspect par le rapprochement entre le matériel saisi et les faux billets; • La mise en relation de saisies par la détection de liens entre les contrefaçons.

autre pâte de papier

>Chiffon (jusqu'au début du 19ème siècle) - papiers valeurs >coton, lin >qualités mécaniques, longévité >filasse (bast) >chanvre de Manille (abaca), jute, flax >herbes >paille, bagasse (canne à sucre),

Dommage

>Personnelle: perte de la valeur du billet en cas de saisie; >Psychologique: perte de crédibilité de la monnaie tant vis-à-vis du public que des marchands qui, dans le pire des cas, refuseront soit la monnaie dans son entier, soit certaines coupures. Perte de confiance dans la monnaie et ainsi avoir des conséquences allant jusqu'à des considérations de sécurité nationale. Nous pourrions naturellement nous attendre à ce que le dommage principal causé par la contrefaçon de billets de banque soit de nature économique. Mais il faut noter que la valeur de la contrefaçon de billets de banque représente entre 0.0001 % et 0.01 % de la valeur des billets authentiques en circulation. >Le préjudice économique de la contrefaçon de billets de banque est négligeable par comparaison avec les dommages causés par l'utilisation frauduleuse de cartes de crédit ou la contrefaçon de biens. >L'utilisation frauduleuse de cartes de crédit engendre un dommage estimé aux USA à 1.5 milliard de dollars américains.

but analyse optique faible grossissement

>permettent d'identifier > un type d'encre > type d'instrument >différencier sur un même document >documents avec histoire diverse > jaunissement > âge >peuvent donner des résultats trompeurs

utilité analyse optique gros grossissement

>permettent d'identifier > un type d'encre > type d'instrument >différencier sur un même document >documents avec histoire diverse > jaunissement > âge >peuvent donner des résultats trompeurs

Classification des faussaires

Avant 2 types de faussaires: • Les professionnels qualifiés effectuant des productions à large échelle et sur une longue période; • Les amateurs produisant de petites quantités à la demande. A cause des «petits» producteurs changé la classification définis auparavant comme amateurs et caractérisés par un manque de qualificationet de savoir-faire, ont déjà démontré leur capacité à s'informer viaInternet et à produire à de nombreuses reprises de petites quantités qui représentent, à terme, de grandes quantités- -L'échelle de l'USSS, basée en partie sur la motivation des faussaires, • «Primitive»: ils n'utilisent pas les technologies numériques, mais modifient manuellement les valeurs nominales à la hausse; • «Hobbyists»: ils fabriquent de faux billets occasionnellement en exploitant les possibilités avancées d'un équipement de bureautique standard; • «Petty criminals»: ils investissent volontairement dans des équipements informatiques et du matériel spécialisé à des fins de contrefaçon; • «Professionnal counterfeiters»: groupe de personnes organisé pour la production sophistiquée et la distribution d'une large quantité de faux; • «State-sponsored counterfeiters»: Production soutenue par un Etat pour la fabrication de fausse monnaie d'un autre Etat.

caractéristique de la machine à écrire

Avec la vie et l'usage de la machine il peut y avoir plusieurs marques spécifiques ou défauts qui vont devenir des caractéristiques acquises. -Les machines électriques à boules demandent moins de travaux de maintenance ou de mécanique. -Les machines éclectiques peuvent être équipés de rubans à passage unique ou à passages multiples. -Les machines marguerite portent au sommet de chacune de ces pétales le caractère, elle se tourne et un marteau viens frapper le caractère pour imprimer la lettre.

expl de faussaire

Bojarski : faussaire passionné par impression de billet . fabriqué li mm tout le matériel nécessaire ds sa cave billet extrêmement bien fait Abagnale : faussaire /escroc qui a produit de nb type de faux diff film catch me if you can

doc officielle suisse KILA

But de l'équipe KILA Service de coordination en matière de documents d'identité et de légitimation: -faire des communiqués pour les policiers, gendarme pour les rendre attentif au bon truc. -assurer que les machines font des qualités semblable et occupe de récupérer les certificat pour valider ensuite les passeports -Souvent la police a peu de tps à accorder au Doc donc s'occupe de contacter les pays internationaux. Organisation de l'aviation de civil international. OACI : fondé traité de Chicago en 1944. precise les aspects du transport de passager et marchandise avec des standard = les passeport doivent suivre certaines norme. l'annexe 9 ; 9303 : consiste en 12 parties diff . NORME - la zone de lecture automatique MRZ qui dépend du type de document - police de caractère fixe : OCR-B, densité de 10 caractère par pouce : on reprend un certain nb de donnée de la zone visible et somme avec modulo 10 .TYPE DE DOC , PAYS émetteur, noms , prénoms, numéro de doc , date de naissance, nationalité et genre , date 'déchéance », donnée -Controle de la MRZ : module de vérification , cpdt les faussaires peuvent calculer la MRZ grâce à un calculateur KILA BDD étatique : -système produit par l'office fédéral de la logistique. -Tous les spécimens sont collectés, ce qui permet de créer une base de données sur les éléments de sécurités. Ainsi, tous les policiers et ceux qui contrôlent les identités ont une référence sur laquelle se baser (= AKILA). Cette base de données contient : -Une photo du document -Une description du documents (techniques d'impression) -Éléments de sécurités de niveau 1 (UV, IR, réactions du support, ...) -Information sur la personnalisation La collecte de ces doc assez difficile car certains pays vont directement envoyer leur document, tandis que d'autre ne vont pas le faire. De plus il faut que la base de données soit mise à jour car il se peut que les documents changent. -En moyenne, on détecte 10 faux-documents par jour. -Ces faux-doc sont ensuite transmis à la police, qui vont les utiliser pour faires des recherches sur ce dernier Puce électronique -données électroniques qui sont stockées dans des petites puces. - d'authentifier les informations présentes dessus quand on voyage, ce qui a conduit à la mise en place d'un système de certificat permettant de confirmer l'intégrité des informations. Les faux doc peuvent avoir des puces personnelles fabriquées par les faussaires, mais elles ne possèdent pas de données électro (ce qui rend difficile de les contrer) Les faux en blanc eux n'ont pas de certificat. Au niveau Suisse, Adoc travaille sur un nouveau design de passeport en trouvant le meilleur rapport entre la sécurité, le cout et l'esthétique. Le système AKILA est également utilisé par les gardes-frontières, dans le but de vérifier les documents étrangers.

HPTLC

But: Identification / comparaison des colorants > Principe: Migration par capillarité et séparation selon l'affinité des molécules entre une phase mobile et une phase stationnaire. facteur de rétention : Rf?b/a

type doc

Contrefaçon : Document entièrement produit par le faussaire imitant un modèle de document officiel existant •Faux fantaisiste : Document entièrement produit par le faussaire n'imitant aucun modèle de document officiel existant Alternative document en anglais Falsification : Document à l'origine authentique et finalisé par l'autorité officielle sur lequel est intervenu un faussaire afin d'y apporter une ou plusieurs modifications •Faux en blanc : Document à l'origine authentique mais non finalisé par l'autorité officielle sur lequel est intervenu un faussaire pour y apporter une ou plusieurs modifications, généralement dans le but de le finaliser

corps noir

Corps noir : corps théorique qui absorbe toute l'énergie qu'il reçoit. Il va chauffer et émettre peu de lumière (lumière rouge) à basse température et beaucoup de lumière (bleue) à haute température. Plus il chauffe, plus il renvoie de lumière. Bleu = chaud, rouge = froid 7500 blanc entre rouge et bleu et 5000 rouge

Q qu'on se pose (instrument scripturant)

Date : Microscopie electronqiue permet de distinguer diff encre ainsi -niveau investiagtif : souvent utilse de connaitre instrument scripturant, datattion encre , si plsrs peut reagrder ds BD -Niveau evaluatif : pas tjrs concidéré mais comparaison entre instrument scripturant et du texte + détermination de l'usage d'une mm encre sur plsrs doc

Analyse et comparaison encre (instrument scripturant)

Examen non destructif : 1) optique : -oeil nu , loupe -microscope stéréo -lumière réfléchie, transmise, frisance -lumière Mac Beth standardisé 7500 K -filtre colorés -UV : luminescence, réflexion -IR : réflexion , luminescence 2) particularité du trait 2) microspectrophotométrie (MSP) La spectrométrie (mesure absorbance est utilisée principalement pour connaître la concentration d'une solution colorée (procédé appelé dosage colorimétrique) Sommaire Examen destructif : -a la touche (à éviter) -MSA 1) chromatographie sur couche mince TLC extracttion selon type d'encre , séparation par detection optique 2) 4) examen spécifique RAMAN (pigment)_IR (colorant)_ Chromato (HPLC) (colorant + additif)-electrophorèse capillaire _ analyse de spectro de masse - GC (solvant)

ESDA

Examen non destructif qui permet de detecter les foulages latents et aussi trace pap fraiche attention par le crayon gris car graphite car simplement deposé . complémentaire à observation de la lumière rasante

Système d'impression généralité

Existe des moyens d'impression avec ou sans document maitre = piece physique portant les info à imprime. -t en général binaire : encre soit il n'en pas mis peut faire des degradés. - Seules la tailles et la densité des pts imprimés varient et l'œil humain perçoit un degradé car il a une résolution limiitée qui est supérieure à la distance entre 2 pt imprimés. -Par synthèse additive entre des pts composé d'encre de l'1 des 3 couleurs complémentaires aux couleur primaire : magenta, cyan et jaune en plus du noir pour ajouter de la densité . -Cpdt attention de ne pas avoir des interférence constructive et destructive + figures répétitives géométrique (interférence de Moiré) + image apparait flou et décalé si une couleur est pas alignée . Ainsi le tramage (position des pt ne doivent pas ê régulier)

parametre interligne machine à écrire

INTERLIGNE standardisé interlignes programmés sont de 1, 2 ou 3. -possible de faire sauter la mécanique permettant de sauter d'un incrément à l'autre ce qui permet au rouleau de tourner librement. donc laisse la possibilité de remettre le papier dans la machine pour ajouter une ligne mais doit remettre papier exactement au bon en droit -Il en est de même pour les ALIGNEMENT VERTICAUX FONTE ET POLICE -limitén -fabrication des caractères était distincte de la fabrication des machines. -manivelle sur le côté sert à faire monter le papier d'un intervalle -Pour faire monter la ligne des majuscules, il faut faire monter l'ensemble du mécanisme porte caractère. La barre porte caractère s'use et les barres vont avoir un peu de jeu et en fonction de la vie de l'instrument la barre aura subit des torsions. -Ces caractéristiques acquises peuvent faire que les caractères peuvent être imprimé un peu trop haut ou trop bas. - Les caractéristiques qui sont intéressantes d'un point de vue forensiques vont être effacés lors d'une révision. -nb défauts que l'on peut acquérir sur une machine mécanique est plus grand que sur une machine électri

passeport suisse

Jusqu'en 85 : passeport avec photo collé. -2003 :Donnée écrite avec imprimante matricielle et format relativement libre changement sur les norme de l'OACI , 1er à ê lisible à la machine, données personnelles condensées sur une page avec photo intégrée et donnée gravée au cœur de la carte -utilisation du polycarbonate = plastique très dure donc très durable et protège les données personnelles enregistrées dans le passeport. Ce plastique est constitué de plusieurs couches dans le but d'éviter les grattage -Principe de 1 personne = 1 passeport -Tous les infos essentielles sont concentrée sur 1 page contenant plsrs éléments de sécurité les données personnelles ainsi que qu'une photo gravée au laser. La puce ne contenait uniquement la photo ainsi que les données personnelles. (ajouté en bas à droite) La biométrie a été ajoutée en 2010 seulement + déploiement à large échelle du stockage des données sous forme électronique et adjonction de 2 empreintes digitales et mécanisme des protection spécifique Le format respecte les règles des organisation internes : -pages du passeport ne possèdent pas d'azurant optique. -6 différents types de passeport en Suisse, avec des pages présentant un lay-out rouge. -Sur les croix, impressions en sérigraphies (texte imprimé à chaud) et luminescente en UV car imprime par-dessus les croix en sérigraphie . -40 pages cousu dans le plis format , couverture a motif gaufré 0.5 mm Couverture : -securalin (base papier saturée de latex) -gaufrage à la feuille à chaud du tex sur les croix -impression des éléments lumi par sérigraphie : impression sans relief, bord - net , utilisé pour les encre métalissés + encre à varibilité -contient la puce -plat de la couverture: à des impressions en taille douce sur les éléments imprimés en offset, avec la possibilité d'incorporer un micro-texte (la croix comporte le nom des cantons). - Encre en relief avec viscosité élevé donc chauffé puis mis dans une plaque d'impression puis pression : donc des fois déformation du papier et du relief. Page de donnée personnelles : pourcent de peinture les 2 feuille n'arrive pas à se coller donc fait un treillis suffisamment de surface avec les trou pour le polycarbonate puisse bien se coller. - plusieurs couches ; la couche centrale contient la photo et les données, intégrer par gravures. - éléments de sécurités imprimé en offset. Cette page est reliée au livret ; on peut voir une bandelette sur la couche supérieure, mais maintenant, elle est intégrée dans les couches. Lors de la fusion des différentes couches, des plaques ayant des reliefs sont utilisé pour faire micro-textes. COULEUR : vert : apatride et étranger bleu = réfugié , diplomatique, de service : utilisé pour certaine catégorie diplomatique = expl personnel d'entretien suisse. Passeport d'urgence seulement 7 pages : valable que pour un voyage (1 an max). La police de caractère uniformisée de telles sortes qu'il y ait partout le même espace =Choisis pour éviter que l'on puisse modifier trop facilement des chiffres (un 1 en 4, ou un 3 en 8). -Certaines écritures sont en reliefs (utilisé de les regarder car pour les modifier, on doit gratter, ce qui signifie qu'on doit l'endommager. -encre spéciale et avec axe coaxiale va avoir le tout (environ 90 degré entre diff de couleur) -La page est perforée au laser reproduit le portrait de la personne possédant le document. Si on modifie la photo, on devrait aussi modifier les trous en les remplissant. Ne faisant cela, on rendrait plus facilement détectable le fait qu'il s'agisse d'un faux document. Des encres à variations optiques (comme pour la page de couverture). Des OVI sont utilisées aussi. Les fau ssaires ont la possibilité de les acheter mais, en général, ils sont de mauvaises qualités Personnalisation : 2 technique -gravure laser (page donnée personnelle) + microimpression -impression jet d'encre -edelweiss utilisé, garantit le substrat -DOVID : diffractive optically varibale image device : effet cinématique + effet d'inversion de contraste , effet de changement de couleur -pages papier contiennent des filigranes de forme ronde ainsi que des impressions offset sur les deux côtés. -Chaque page a un motif cantonal, ainsi qu'un motif luminescent. -Le tout est imprimé en recto verso de manière très précise comme le démontre les corin qui, si on les observe ,en transparence, se complètent. -En lumière transmise, on peut observer les mots « Suisse » ainsi que des perforations. - fil de couture luminescent en UV est utilisé (pas visible car caché par la couverture), ce qui fait que les faussaire ne pavent pas le changer sans abimer le document. -perforation mécanique : trou uniforme sur toutes les pages ou laser : au fur a mesure que le laser traverse la matière : les trous sont de plus en plus petit et si il est trop énergétique le tour du trou est un peu brun/brûlé et particularité du suisse : forme d'ovale

machine à ecrire

On distinguera les machines manuelle pour les machine dont la force avec laquelle la lettre est imprimée dépend de la force du doigt des machines électrique dont la frappe + homogène --> l'ESDA permet également de déterminer si la machine est manuelle ou électrique + voire si autres chose avant écrit dessus -->Les examens optiques permet caractéristiques physiques comme le type d'encre par exemple. MECANIQUE - à barre : la pression du doigt dicte la frappe peut ê électricé =dispositif fait bouger mécaniquement la page . espace entre caractere : echappement ici donc echappement fixe pour chaque lettre -ruban à tissus ELECTRIQUE -à boule -à marguerite : (ruban encreur à tissu ou a film) par pression de forme en relief sur les barres marguerite peuvent ê echappement proportionné entre certaine lettre :boule et marguerite ont des pièces interchangeable -revenir à la ligne : retour de chariot pour machine à ecrire -interligne de 1,5 ou 2 -Ruban tissu mono ou plsrs couleurs : passage du noir au rouge se faisait mécaniquement le ruban rouge montait mais habituellement en noire. -Ruban film en carbone

Analyse statistique des contrefaçons

Pour une analyse cohérente, il faut en outre distinguer les faux billets qui ont été détectés alors qu'ils étaient déjà en circulation - cela inclut égalementles billets identifiés lors d'une transaction en vue de les introduiredans la circulation - des faux trouvés dans le cadre d'opérations policières,, avant leur mise en circulation. «The United States Secret Service (USSS)» pour 1er cas =«passed» et 2ème = terme «seized» [24]. D'après une étude empirique basée sur l'analyse des rapports annuels des banques centrales (2009 à 2012) et des sites des polices nationales, - de 20 % des pays du monde publient des statistiques au sujet des contrefaçons. -> Sans connaissance du nombre de contrefaçons, du nombre de billets en circulation ainsi que de la façon dont ils ont été détectés («passed» ou «seized»), l'étude de l'étendue de la contrefaçon est nécessairement incomplète. Mm si banque transmette donnée à interpol mais statistiques publiées pourraient également s'avérer incomplètes et le nombre supposé de contrefaçons sous-évalué car: -La personne qui a reçu un faux ne souhaite pas le révéler soit pour éviter de perdre la valeur du billet qui ne peut ê compensée, soit par peur d'être questionnée par la police ou encore par crainte de représaille - La contrefaçon n'a pas été identifiée par le système d'inspection bancaire si la contrefaçon est de bonne qualité et/ou si système d'inspection des billets est peu efficace; -La publication de données partielles ou la rétention d'informations car veut éviter une perte de confiance dans la monnaie. Spécificités par pays Zone euro en augmentation de façon linéaire depuis 2003 où il se situait à 500'000 jusqu'à 860'000 en 2009. Il faut préciser que le nombre de billets authentiques a également augmenté dans les mêmes proportion. Les coupures de 20 et de 50 euros =80 % des contrefaçons. productions offset (environ 80 %), le solde émanant d'impressions jet d'encre. USA 50 % Jet d'encre Canada Les contrefaçons ont atteint leur maximum historique en 2004 avec la valeur de 470 contrefaçons par million de billets authentiques en circulation. Après le lancement de la campagne mentionnée dans le chapitre 3.5, ce nombre a baissé linéairement jusqu'à atteindre le nombre défini comme objectif par la Banque Nationale du Canada de 50 faux billets par million. Ces deux dernières années, le nombre s'est stabilisé à 34 faux billets par million. Depuis 2009, le nombre de contrefaçons imprimées au moyen de jet d'encre a augmenté de 90 à 97 % éradiquant dans sa presque totalité les contrefaçons faites par impression laser. Les contrefaçons fabriquées par offset sont stables et représentent entre 0.2 et 0.7 % des contrefaçons [25, 27]. 328 3/13 Revue internationale de criminologie et de police technique et scientifique Figure 1: Quantité relative de faux billets de banque par pays en 2011. Source des données: Etude empirique des rapports annuels des banques centrales et des sites web des polices nationales de chaque pays mentionné. -Grande-Bretagne La livre sterling est actuellement la monnaie souffrant le plus de contrefaçons 719'000 contrefaçons saisies en 2012 Russie La contrefaçon imprimée par jet d'encre a touché la Russie très tôt. 1997 où elle représentait déjà 40 % des contrefaçons. Suisse L'analyse des données publiées entre 2003 et 2012 = contrefaçon est relativement stable en Suisse avec 4'000 à 5'000 contrefaçons par année. L'impression par jet d'encre a évolué de 20 % en 2002 à 53 % en 2004, et représente actuellement 90 % des contrefaçons. Les coupures =100, 50 et 200 francs. L'euro saisie en CH nviron 2'000 pièces par année mais provienne de mm endroit que autre euros

composition d'encre

additif , résine, colorants pigment, solvants encre : doit tenir ds le tps interagir aveec la surface , ne sèche pas trop mais quand mm assez rapidement une fois apposé , qu'elle alimente la pointe en continu eau + adjuvant : pour conservation dans le tps composé mineurs : additifs -surfactant-agent ati-corrosin.

Le papier

avec le bois (dont on obtient la cellulose) diff qualité de production -avec ou sans traitement chimique : enlevement de la lignine + blanchiment + fibres - pâte mécanique (résineux): bois coupé ,écorcé , tamisée meulé pour donner des fibres courte et humdide les pates amen la liberation des fibre puis tamisage +, ajout de cellulose pour papier journal, carton -pâte chimique (plutôt bois durs) processus au sulphite; processus alcalin sur élément de bois pour enlever un max composé indésirable pour avoir que la cellulose suivi d'un blanchiment à l'aide de dérivés chlorés jusqu'à récemment; auj processus sans chlore meilleur résistance mécanique

laser couleur

code bitmap de Xerox : présente num série, date (horloge interne imprimante + imprimé en jaune pas visible à œil nu mais distinguable en lumi -peut faire BD sur imprimante toner public si pas de code : peut demander au fabricant le plan permettant d'expliquer le fonctionnement de la machine si particule deplacé vers la gauche

"faux" filigrane technique

comme vrai diff reproductible sans le matériel adéqat -pression sur papier humide: comprimer le papier comme un gaufre pour donner diff densité . Ceci dit le dégradé ombre-lumière est absent , ce qui en résulte en un filigramme de - bonne qualité . utilisation d0un sceau. -en amincissat le papier en le gratant a travers un pocheoir -en imprimant des parties opaque et encre blanche pour partie clair en sandwiche * Methode chimique -on rend le papier localement + transparent en utilisant des corps gras . Si cette technique peut ê observer en UV (voit zone d'absorption) -> pas vraiment des faux juste des filigramme de moisns bonne qualité --> DETECTION > lumière frisante pour voir si plissure des fibre est anormale + comparaison à des authentique

Papier générale

date : papyrus -1000 av JC -Produit de fabrication à base de fibre comprimé en feuille compacte et d'épaisseur uniforme, levé la pate avec un tamis ce qui fait une deposition aliéatoire -Les fibres en suspension sont mis sous forme de feuille pour donner des particularité aux papiers -Cadre de tamis a des structure sous-jacente des barrettes= vergeur et trace de ceci ds la structure des fibres quand on a va lever le cadre et visible en transparence ainsi indique papier vergé. -cellulose bois XIX eme siècle

A quoi sert l'esda ?

detecter : -les foulages latent mm les plus vieux - l'ordre d'apposition entre un élément écrit et un élment imprimé ou 2 signature -examiner les caractères altérés , sceaux peu visible, timbre sec qui recouvre des caractère -traits sous-jacent d'une fausse signature impressions sans impacts sur les zones adhésives séquencer les impressions par rapport au surligneur -datation par ESDA on peut se retrouver dans les situations suivantes : 1. Les foulages latents retrouvés sur le document indiciaire peuvent être identifies comme provenant d'un document dont la date est connue et pas contestée. (= le doc indiciaire est donc obligatoirement antérieur à l'autre) 2. Les foulages latents retrouvés sur un document de référence de date connue proviennent du document indiciaire. (= le doc de référence est antérieur) 3. Les foulages, d'origine inconnue, sont très similaires au texte du document indiciaire et peuvent faire surgir des doutes quant à une éventuelle substitution de page. (si des bouts de texte n'apparaissent pas sur le document...) 4. Les foulages latents du texte indiciaire se superposent à des mentions manuscrites de date connue et permettent d'évaluer la séquence de rédaction (voir après)

principe de fonctionnement ESDA

difficile à expliquer donc diff à prouver au tribunal . Principe de base : on crée une différence de charge entre partie epaisse et moins epaisse du document chargé . Le toner est + et le changement de potentiel electrostatique est - -théorie 1 Le frottement du stylo sur le papier provoque la formation d'un relief et donc une différence d'épaisseur. Le papier est un élément diélectrique où changement d'épaisseur dû au foulage provoque un changement du potentiel électrostatique (-) en surface, qui est détecté par le toner (+). La constante diélectrique varie avec l'épaisseur car les charges sont proportionnelles à celle ci. Il y a donc un changement de concentration de charge dans les creux lorsque le toner passe. - Théorie n°2 lorsque l'on écrit avec un stylo, la surface est aplanie et a une rugosité différente des surfaces sur lesquelles on n'a pas écrit. Ecrire avec une bille aplanit les fibres du papier. La théorie stipule que le film aura un contact beaucoup plus proche avec les surfaces planes que les surfaces modifiées ce qui changerait les charges. L'humidité changerait l'intensité du contact entre le papier et les transparents. L'humidité est le facteur déterminant qui influence la résistance électrique. Sous humidité, le papier est conducteur (même potentiel que le plateau). Le condensateur est donc formé par l'air entre la feuille et le polymère. Prob : explique pas pk avec frappe machine à ecrire on observe que le contour des lettres -Theorie 3 : la dynamique du mouvement va perturber électroniquement la surface du papier creant des diff de charge locale explique le prob d'avant . --> Cpdt humidité est quand mm importante et la taille des bille de toner aussi si petit mieux donne meilleur rsltat mais plus de bruit de fond . Si la pièce est immergée, le papier gonfle et le foulage est perdu.

Caractéristique à relevé papier et examen

du - au + destructif donc physique puis chimqiue : EXA PHYSIQUE: -grammage : g/m^2 on pèse et mesure son aire -epaisseur : mesure plsrs fois avec compas de palmer -couleur (L*A*B) , etude de la tonalité des couleur, leur fluorescence, UV, microphotométrie + lampe Mac Beth -Qualité de la surface : si papier est satiner : on laisse couleur une goutte d'eau ou mesure l'encollage (destructif ) -transparence avec bon éclairage pour observer filigramme , tramage, vélin gaufré, vergé -Normalité: il s'agit d'étudier si le papier respecte les dimensions standards comme A4 . Pour cela il s'agit de vérifier si l = racine (2) + grande que la largeur plateaux de mesure GKC -Impression : si lignes ou quadillage distinguer si av ou après découpage papier -Timbre: déterminer si timbre humide (ADN ou à sec - Tranches et déchirures: lors du découpage le massicot laisse une trrace sur la tranche des feuilles et si sont empilé peut retrouvé que mm bloc. -perforation : si il y en a voir si de maniere industrielle , si perfore plsrs feuille celle vers fin bord moins net -sonorité pour doc de sécurité ou billet EXAM OPTIQUE -sous UV : distinction basé sur azurant optique mesure azurant OBA OBA = OBA (Optical Brighteners Agent) est la désignation anglaise des azurants optiques. Les azurants optiques sont des agents chimiques très souvent employés dans les papiers photographiques (papiers RC par exemple), ils sont incorporés au niveau du couchage, parfois dans la base même du papier. Les azurants optiques ont pour mission de blanchir artificiellement un papier (dégrade avec le tps) OBA par chromato TLC (pour éviter faux positif avec billet qui aurait juste été lavé à la machine) -exploitation de la texture des fibres : mesure de la dispersion aléatoire des fibres en prenant une photo en transparence de la feuille + transfo de Fourier et relever ainsi la fréquence de la structure EXA CHIMIQUE cherche a determiner si papier est alcalin ou acide et determiner ces adjuvant (silicate alu ), azurant optique , si il y a de l'amidon par Py_GC , FTIR , determiner la compo des fibres bcp sont cher et destructif

carateristique fabrication + acquise jet d'encre

fabrication : rouleaux entrainement du papier forme petit trou avec dent + mesurant d entre trou peut reconnaitre le rayon de la piece et trouver une liste d emachien encre taille des gouttes overpray(direction taille d'impression ) résolution acquise : rouleaux d'entrainement du papier buse occluse mais souvent temporaire = defaut repet accident

carcateristique fabrication et acquise laser

fabrication : rouleaux d'entrainement du papier = bande + ou - marqué sur feuille Acquise : -corona : rayure de ligne blanche, image de fond -photoconducteur : rayures, défault tache noire repet ,ou tache blanche = info très discriminate -rouleau de fixation : si sale = rayure repetitive sur caractere -lame de nettoyage du tambour photo : défault possible

additifs

fonction : agent anti-corrosion , et antioxydant , dissolution des colorants, ajustement de la fluidité et viscosité de l'encre, ajuste le ph et la polymérisation , evite les formations microbiologique

résine

fonction ajuste la viscosité , effet lubrifiant et élasticité , adhésivité du film , réduction du cout structure : monomère ou polymère synthétique (résine cétone, phtalate , phénolique )

solvants

fonction de dilution du colorant et application sur le papier , sa structure est acqueuse ou organique visqueux aliphatique ou aromamtique

Lubrifiant

fonction de rotation libre de la bille et ajustement de la viscosité , structure organique , il faut avoir une bonne fluidité pour bien faire tourner la bille et pas sécher

composition crayon

graphite : materiel cristallin amorphe 15-70 % ) argile : deposé granuleux fin (3-60 pourcent ) alu ou Mg Graisse : ester d'acide gras et hydrate de carbone saturé peut aussi avoir colorant (in) ou soluble expl talc , caolin

Plume

instrument à bec avec 2 branchent qui s'écartent et qui permettent l'écoulement de l'encre liquide par capilarité Trait conditionner par la forme du bec, sa largeur et flexibilité + pression + large . type de façon d'écrire donne bcp infos sur la personne -Encre base acqueuse ; eau > 90 % -colorant synthétique 1-5 % =phtalocyanine bleu. -Foulage faible -depot d'encre à la fin du trait -trait uniforme -apparition de sillon au centre du à ecratement -facile de déterminer le sens d'écriture

Etude sur jusqu a ou on peut observer un foulage

issu d'un instrument scripturant depend de la densité du papier et la pression de l'écriture mais max 6 et pic vers 75 g/m2

colorant et pigment

leur fonction est de colorer l'encre et leur structure présente un chromophore organique ou synthétique -colorant : sels basique , soluble dans des solvants organique , dégradation rapide de la lumière, pénétration ds les fibres du papier , : nature organique + analysable en CCM + vieillit - bien que pigment -Pigment : complexe aromatisé (plus de liaision) ou oxides inorganique (oxide de fer ou de titane) , non soluble , stable à la lumière , pas d'affinité avec la surface . ici pas de CCM mais peut faire de la spectrométrie RAMAN pas solubilisé mais en suspension

mesure relative des contrefaçon

mesure quantitative de faux par rapp au vrai donné en ppm si taux à 10 = faible très faible comparé au médicament ampleur depend du pays -qualité des faux variabes

instrument scripturant

objet que l'on a utilisé pour ecrire un texte comme les crayons -macroscope permet de déterminer le type d'instrument et d'encre -microscope indique type de machine + direction du trait oriente analyse suivante

taille douce

particulier à gravure de meilleur qualité + condition de T : 50-60 et pression = 10000 N/cm permet de faire des micro-impressions , (plaque maitresse gravé à la main, puis cette première gravure est reproduite sur le reste de la plaque maitresse. Processus d'intaglio permet d'atteindre dyes résolution exceptionnelles , en plus d'une sensation de relief peut ê monochromme ou polychromme ds ce cas plusieurs passage 1er élément de sécurité sur les billet

Papier

passage au tamis (continu) essorage, calandrage, coupage

condition et matériel nécesaire ESDA

plateau en bronze permeable , pompe à vide , doc plaqué sur plateau film polyester chargée électristatiquement négative electrode 65% humidité environ 20 degrés hauteur de la corona env 2cm bien faire un contrôle positif avec

stylo à pointe fibre

pointe poreuse , composé de fibre, bamboou ou polymère qui dépose de l'encre sur le support de manière continue >Encre acqueuse non grasse : eau + xylène colorants acide -ruban continu -foulage faible car peu de pression ncessaire au trait - Il arrive que la pointe se brise = trait divisé en 2 -bord sont moins défini car encre est absorbée (suit les fibre du papier ) -depot + important au deb et fin de trait

toner

poudre pour laser constitué à base de polymère , pigment , additifs 2 type : bi-composant : contient un supp magnétique qui n'est pas transféré sur le papier et particules grises magnétique sont recyclé ds l'imprimante . Résine , liants , additifs , le fer pas transférer sur le papier Mono-composant : il y a peu près la mm quantité de pigment liants additifs que de supp magnétique Tte composant transféré mm le fer ainsi peut mesurer présence de fer avec analyse complémentaire fabriqué de manière chimique ou mécanique chimique = particule sphérique alors que le classique est plus sans forme et gros mais plus sphérique + haut est efficacité de transfert

Stylo à bille flottante ou roller ball

proche stylo à bille mais encre fluide non grasse : solvant organique (ethylène de glycole) + colorant (sels acides ) -trait uniforme la largeur ne varue pas -foulage très faible car peu de pression nécessaire -presque pas d'empattement car son sertissage est plus fin -encre est pompée par le papier ->Qualité du stylo dépend de son sertissage ; si séchée empeche rotation de la bille . donc des x laisse empatement en début de trait . Peut avoir aussi des traits discontinue = forme de stries , si la bille manquee localement d'encre ou si la partie est séchée . Ce genre de trait pas = trace outils car temporaire . donc reproductibilité pour cette caractéristique faible -mais stries peuvent faire comprendre la construction du traits ou des lettres en se basant sur le sens de rotation de la bille

système d'impression et sécurité billet

produit par un etat et utilisateurs doivent avoir une certaine confiance pour garantir valeur economique du pays et but est de rendre plus diff les contrefaçon -billet CH : jet encre : jamais utilisé car + commune offset pour tonalité générale du billet : encre en alignement diagonal système oléphile sérigraphie pour imprimé les nb non visible à œil nu visible en photolumi sous UV : niveau sécurité A : nb magique (chiffre à encre Iriodin , niveau de sécurité E : nb de caméléon (encre é effet optique variable) taille douce : utilisée pour imprimer le num du billet celui visble - reliedf au touché mais diminue cette impression avec usure du billet -typographie pour imprimé numéro de série : donc ligne de superposition avec offset doit ê parfaite + plus encre sur les bords

Stylo à bille

provient du roulement d'une bille sur le support qui dépose alors de l'encre . Bille alimenté en encre par capillarité ce qui permet d'utiliser les stylos bille ds n'importe quelle position mm au plafond . - besoin d'une pression donc foulage fort - possible de déeterminer la direction des trait des x Encre grasse (reste en surface ) parfois empattement : glycols (50 % ) , phenoxyethanol colorant basique + pigment (25 %) -dépôt -bronzing reflet bronze comme stylo sur laser -amas d'encre -largeur constante si pression va avec Le stylo a bille laisse des résidus non uniformes d'encre qui dépendent de comment la bille se balade lors de l'écriture. L'observation du dépôt d'encre, qui est graisseux, peut être observé au macroscope comme un liquide gras qui ne pénètre pas dans le papier. Parfois ces billes peuvent avoir des défauts, comme par exemple u défaut de sertissage ou d'angle provoquant des marques dans le papier Le phenoxyethanol est la produit cible des personnes qui veulent dater les encres. Il y une courbe de dégradation dans le temps qui est intéressante. Il est plus lent dans sa disparition que le glycol.

approche initiale- pré

pré-evaluation avant de faire toute les analyse on doit pouvoir envisager les rsltats qu'on va obtenir pour avoir une idée si le travail a effectué en voudra la peine . important de poser des Q pour obtenir des infos contextuelle qui vont permettre d'orienter les anal<ses et éviter des exas inutile et doit discuter de Q avec le mandant : quel est le délit, que disent les partie, que cherche ton à determiner, quels sont les possibilités de technique, quels sont les pièces à dispositions, quels techniques vont nous apporté comme contribution. demander si il y a d'autre document comme des copies d'autres authentique

imprimante laser

périphérique lié à ordi . génére signal electrique contennat info à imprimé -utilise poudre : toner donc relief (visible frisance ) -quelques petits points sur le coté -impression se base sur élément mécanique, electronique, optique + thermique -tambour photosensible , rouleau métale recouvert d'une fine couche de matériel photoconducteur . 1) préparation : processus de realisation : tambour uniformément chargé en electricité statique par un fil conducteur en tungstene = Corona 2) image latente ligne par ligne , le faisceau laser dessine image elctrostatique latent de l'info à imprimer . Cas :potentiel electrique du Tambour s'éleve = + 3) arrivée du toner : toner qui ds notre cas est - , attiré par charge + de image latente . forme une image sur tambour 4) transfert sur papier : charge electrique du papier a un potentiel bien + élevé que celui du toner grace à la corona . Dernier = attiré vers le papier + transfert = instable 5) fixation de image : feuille est ensuite pressée entre 2 cylindres dont le sup est porté à une T de 150-190 degré . Toner fond + fixé sur papier Pour couleur mm chose mais repet 4 x -> synthèse additive

opération bernhard

responsabilité transférée à Krüger, -Il a abandonné l'utilisation du papier à partir de Spechthausen et a continué à n'utiliser que du papier de Hahnemühle. -La composition du papier = 90 % de coton + 10 pour cent de lin (Byatt) 40 g/m2 et chaque feuille de papier pourrait être utilisée pour l'impression de huit faux billets. Le papier était laissé à vieillir pendant quelques semaines, puis triés selon la qualité. Environ 1'461'000 feuilles produites de 1943 à 1945. -Le complexe le filigrane d'une contrefaçon peut être vu dans les lumière -Sous la valeur nominale de dans le centre, il y a un code qui se compose de une lettre et 4 chiffres. lettre ?? mais les quatre chiffres portent la date - Ceux qui répondaient à ses critères ont été transportés à Sachsenhausen. -Ce projet a été gardée complètement secrète et deux bâtiments (blocs 18 et 19) ont été maintenus en dessous du maximum sécurité où l'équipe de prisonniers-contrefaiteurs est passé d'un nombre initial de quelques dizaines à finalement le numéro 144. -La préparation des plaques a été effectuée par le employés de la section technique et a eu lieu sur le château Friedenthal -La tâche principale des prisonniers = imprimer. -Ce processus impliquait la séparation d'une feuille de papier originale (telle que produite par la papeterie) en deux parties et sur celles des feuilles (qui porteraient quatre notes) l'impression s'est faite en deux étapes : - l'impression du principal partie de la note suivie de la numérotation. En déchirant le papier à la main avec l'utilisation d'une règle a été fait d'imiter l'apparence des bords d'un véritable notes. Pour imiter l'apparence des notes utilisées, les contrefaçons ont été pliées, emballées et modifiéespar pliage ou déchirement. - contrefaçons étaient classées en fonction de leur qualité et c'était la tâche la plus difficile car elle consistait d'un examen visuel minutieux de l'impression détails et les filigranes à la fois sous reflet et lumière transmise. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)Les meilleures qualités étaient utilisées pour les paiements effectués aux espion et qualités inférieures étaient réservées aux t jetées des avions, et la catégorie la plus basse était recyclée à Hahnemühle. - le point faible ne se situe pas dans la fabrication des matériaux, mais dans leur distribution. Il n'est pas facile de faire circuler des millions de faux billets sans attirer l'attention. La surveillance des criminels qui mettent les billets en circulation aboutit généralement (tôt ou tard) à la localisation de la production. Ce n'était cependant pas le cas de l'opération Bernhard. -Les contrefaçons n'ont pas seulement été utilisées pour de multiples acquisitions anonymes de secrets et de matériel militaire, mais aussi dans au moins deux grandes transactions internationales. -Comme la grande quantité de billets produits en valeurs nominales élevées a commencé à éveiller les soupçons, les principaux efforts du projet se sont déplacés pour se concentrer sur la production de valeurs nominales plus faibles, - la Turquie a cessé de livrer des chiffons à l'Allemagne pour sa production de papier et les matériaux de remplacement étaient de qualité inférieure et ne permettaient pas de produire un papier de même qualité. -alors essayer de contrefaire le dollar américain, avec l'aide de Sally Smolianoff - faussaire professionnel de billets avant et après la guerre . - comme diff offset décidé d'imiter le processus en utilisant plutôt le type collo (McNally). -La contrefaçon dans le Sachsenhausen ne se limitait pas aux billets de banque - elle comprenait la préparation de faux documents de tous types - . À mesure que les forces américaines et russes avançaient, décidé de déplacer. -on estimer à tort que le nombre de faux billets en circulation constituait 40 % Enquête après la guerre - L'ampleur de la contrefaçon allemande n'apréoccupé la Banque d'Angleterre lancer une enquête approfondie et a produit le rapport Reeves (Byatt). r dans le lac Toplitzsee une énorme quantité de billets de banque a été retrouvée (Löhde). Malgré bcp publication , nous n'avons toujours pas une compréhension complète du projet de contrefaçon qui a eu lieu en Allemagne. Cela peut s'expliquer en partie par les éléments suivants : 1. La contrefaçon de billets de banque est en général une pratique très secrète. Personne dans les institutions impliquées n'a intérêt à discuter de ses informations privilégiées car il craint qu'elles ne soient utiles à de futurs contrefacteurs potentiels. 2. L'absence d'informations ne signifie pas que les informations classifiées ou secrètes nécessaires sont cachées dans les archives - il est très probable qu'un grand nombre de documents et de matériels ont été perdus ou détruits au fil du temps. incendie ils ont detruit les preuve. 3. Des informations et des matériaux pourraient avoir été saisis par les forces des armées américaines ou soviétiques 4. Les contrefaçons étaient utilisées dans les opérations de renseignement et ces opérations étaient soumises à des mesures de sécurité nationale et étaient donc considérées comme secrètes. 5. Une opération de contrefaçon similaire a eu lieu après la guerre (Cooley). 6. Les pays de l'Est ont "modifié" l'histoire et ont utilisé l'opération Bernhard à des fins de propagande parce que les principaux auteurs n'avaient pas été punis. 7. Pour la Banque d'Angleterre, contrefaçon constituait une mauvaise publicité, menaçait la stabilité économique du Royaume-Uni bonnes raisons de sous-estimer l'ampleur de l'opération Bernhard. -ont émis une nouvelle génération de billets.

ruban correcteur

ruban abrasif qui vient au contact de la feuille de papier et enlève le caractère qui reste ensuite sur le ruban correcteur (important pour le caractère forensique). une machine type tronique car elle avait un aspect électronique, elle gardait en mémoire une ligne de caractère, ce qui rendait les corrections plus faciles.

police de caractere

se distingue par le format : si taille fixe utilise police bitmap : mais qualité :( police vectorielle expl PostScript Type 1 pour améliorer la résolution . caractère decrit par une operation mathématique = chaque fabricant à sa propre police donc aide pour identifier fabricant et mm dater corps = taille du caractpre de extrémité in de lettre bas é extrémité sup 1pt = 0.3528 mm Bitmap: Elles sont utilisées dans deux contextes : • L' affichage sur un écran d'ordinateur! • L'impression sur des vieilles imprimantes! • La résolution et la taille sont fixes sur une grille de pixel. Par exemple 12 points ou 18 points, etc.

prélevement crayon

soit par découpe au scalpel (destructif) soit par sorte de boule de polymère organique (frottant ) ramasse un peu de matière : moins destructif + boule est pas détecté ds ces analyses donc interfère pas

Gel pen

sorte de roller ball suralimenté + encre à base de pigment -impression proche de la plume donc foulage faible - largeur trait uniforme -Bronzing -sillons -particule d'aluminum - peut avoir défault d'alimentation = trait plus léger au centre du trait - consommation encre importante mais penetre pas trop ds le papier - tube + réservoir sont en principe transparent et le capuchon aussi . >Encre très fluide à base acquese : eau 60-80 % et pigment

difference taille douce et gravure

taille douce long et continu et condition particulière

multi couleur

trame de point ou on peut choisir taille forme des points

caractéristique machine à écrire

usure de la machine il peut y avoir plusieurs marques spécifiques -à boules : besoin - de travaux de maintenance ou de mécanique. possibilité de changer la boule - éclectiques soit rubans à passage unique ou à passages multiples. -marguerite portent au sommet de chacune de ces pétales le caractère, elle se tourne et un marteau viens frapper le caractère pour imprimer la lettre et possibilité de changer > caractéristiques groupale avant de pourvoir être individualisées ou même identifiées. Les paramètres de groupe peuvent êt grandeur des caractères ou le type de dessin. -Le pas l'espace entre deux caractères mesuré sur un ensemble de 100 caractères. -L'espace n'est pas frappé sur la feuille mais le chariot se déplace de l'équivalent d'un caractère. -Les pas fixes et les pas proportionnels sont différents. -interligne est défini par le rouleau et sa roue dentée. - motion = caractéristique des barres porte caractères, égale à la distance sur le marteau entre la base de la minuscule et la base de la majuscule. -il faut déterminer le type, la marque, le modèle. L'ensemble des bases de données est aujourd'hui disponible sous forme film maker. - -critères d'angle, de pas, de taille, de forme. -la classification de certaines qualités. - on va faire une liste des caractères de comparaison. -attention les listes fournies par lesBDs ne sont pas exhaustives. matériel de référence -> refaire le texte mais plusieurs fois de façon à avoir une bonne reproductibilité en faisant varier la vitesse et la pression de frappe + quantité suffisante. Le but : comparer les dessins de caractères, de rechercher les défauts de caractères (manque ou blanc, empâtements du trait et déformation du dessin) et de frappe (inégalités de frappe ) ATTENTIF Changements de police et de caractères Désalignement d'une partie du texte Modification d'interligne Différences de foulage Modification du degré d'encrage des caractères Croisements illogiques... Identification systématique de l'origine du défaut observé -Si la machine à écrire n'est pas disponible il faut demander des textes de comparaison (avant, contemporain et postérieurs à la date en question). -Si est disponible il faut faire une inspection totale de la machine. Il faut noter : Marque, modèle, n° série Mécanique, électrique ? Position des marges Fraction d'interligne Fonctionnement


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